Null Jean de BOLOGNE (Douai, 1529 - Florence, 1608), d'après un modèle de 
Les c…
Description

Jean de BOLOGNE (Douai, 1529 - Florence, 1608), d'après un modèle de Les chasseurs d'oiseaux ou oiseleurs Deux bronzes patinés sur un socle de forme ovale à gradins Fin du XVIIe siècle. Haut : 25 cm ; Larg : 17 cm (oiseaux rapportés) Note. Ce modèle est à rapprocher, avec de légères variantes, d'un des sujets des plus célèbres et les plus originaux créés par le sculpteur Jean de Bologne dit Giambologna (Douai, 1529 - Florence, 1608) au cours de la fin du XVIème siècle dont un exemplaire, attribué à Antonio Susini (1558-1624), est notamment conservé au musée du Louvre ( numéro d'inventaire OA 9946).

121 

Jean de BOLOGNE (Douai, 1529 - Florence, 1608), d'après un modèle de Les chasseurs d'oiseaux ou oiseleurs Deux bronzes patinés sur un socle de forme ovale à gradins Fin du XVIIe siècle. Haut : 25 cm ; Larg : 17 cm (oiseaux rapportés) Note. Ce modèle est à rapprocher, avec de légères variantes, d'un des sujets des plus célèbres et les plus originaux créés par le sculpteur Jean de Bologne dit Giambologna (Douai, 1529 - Florence, 1608) au cours de la fin du XVIème siècle dont un exemplaire, attribué à Antonio Susini (1558-1624), est notamment conservé au musée du Louvre ( numéro d'inventaire OA 9946).

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

École lombarde ; XVIe siècle. "La décapitation du Baptiste". Huile sur toile. Relié. Dimensions : 50 x 65 cm ; 58 x 72 cm (cadre). L'école lombarde est, au sein de la peinture italienne, une rareté car elle ne présente pas les caractéristiques qui unifient d'autres écoles comme la romaine ou la vénitienne. Ainsi, au sein de cette école septentrionale, on peut distinguer plusieurs sous-écoles, centrées sur les villes de Milan, Gênes, Piémont, Bologne, Crémone, Modène, Ferrare et Parme. Cependant, le terme d'école lombarde est souvent identifié à l'école milanaise. Dans ce cas précis, l'œuvre suit les modèles établis par Bernardino Luini (1481 - Milan, 1532), qui a produit plusieurs versions du même sujet, comme l'attestent les œuvres de la Galerie des Offices (Florence) et le tableau du Musée du Prado (Madrid). Selon la tradition, Salomé, une femme d'une grande beauté, dansait pour son beau-père, qui lui proposa avec enthousiasme de lui accorder le prix qu'elle souhaitait. La jeune femme demanda alors, selon les instructions de sa mère, la tête du Baptiste, qui lui fut donnée "sur un plateau d'argent". Cette histoire biblique a souvent été représentée en peinture, car elle offre la possibilité de représenter des décors exotiques et des femmes à moitié nues sans abandonner le répertoire biblique, bien qu'il ne s'agisse pas de cette œuvre en particulier. Salomé était une princesse, fille d'Hérode Philippe et d'Hérodiade, et belle-fille d'Hérode Antipas, liée à la mort de saint Jean-Baptiste dans une histoire racontée dans le Nouveau Testament (Matthieu et Marc). Hérodiade, épouse d'Hérode Philippe, se maria de façon scandaleuse avec le demi-frère de celui-ci, Hérode Antipas, ce qui provoqua une guerre, puisque Hérode Antipas avait répudié pour cela sa précédente épouse, fille du monarque nabatéen. L'attitude du nouveau mariage fut très critiquée par le peuple, car il était considéré comme un péché, et l'un de ceux qui le dénoncèrent le plus fut Jean-Baptiste, ce qui lui valut d'être arrêté, bien qu'Hérode n'ait pas osé l'exécuter par crainte de la colère populaire. Selon la tradition, Salomé, une femme d'une grande beauté, dansait pour son beau-père, qui lui proposa avec enthousiasme de lui accorder le prix qu'elle désirait. La jeune femme demanda alors, selon les instructions de sa mère, la tête du Baptiste, qui lui fut donnée "sur un plateau d'argent".

[BILLARDON DE SAUVIGNY (Louis-Edme)]. Racconti orientali dell’idioma tedesco nell’italiana favella recati. Bologne : A San Tommaso d’Aquino, 1771. — In-8, 181 x 117 : iv, 127 pp. Demi-veau brun, dos à nerfs, tranches mouchetées (reliure du XIXe siècle, dos refait). Seule édition italienne de ce recueil de 62 contes orientaux présentés comme étant l’œuvre d’un certain « Amed Ben Mohamed », traduite de l’allemand par Francesco Mugliorini. Il s’agit en fait de la traduction italienne des Apologues orientaux parus à Paris en 1764, composés par l’auteur dramatique, librettiste, poète et polygraphe Louis-Edme Billardon de Sauvigny (1736?-1812) sous le pseudonyme d’Amed Ben Mohamed. L’édition comporte une très belle vignette de titre ainsi qu’une lettrine, gravées en taille-douce. Petites mouillures claires sans gravité. Restauration sur le haut du titre et sur le bord du feuillet D8. Reliés à la suite : - La filosofia di un turco A 81. Code, A 3. Penne D’Airone A 2. Spennacchi, E A 1. Collana di Smeraldi. Constantinopoli, 1780. — 62 pp. Édition originale de la traduction italienne de l’ouvrage attribué à l’écrivain et aventurier dalmate Stjepan Zanović (1751-1786) intitulé en français La Poésie et la philosophie d’un turc à 81 queues, à 3 plumes de héron, à 2 aigrettes et à 1 collier d’émeraudes. Il parut pour la première fois en 1779, ou 1775 selon certaines sources mais aucun exemplaire physique à cette date ne semble avoir été réellement recensé. Publiée sous la fausse adresse de « Constantinopoli », cette édition italienne aurait été imprimée à Florence par Giovanni Battista Stecchi ou selon d’autres sources à Venise (cf. Parenti, Dizionario dei luoghi di stampa, p. 70). - Amusemens à la grecque. Copenhague : Pierre Steinmann, 1768. — (1 f.), 190 pp., (1 f.). Collection complète de ce périodique paru en 24 numéros d’avril à septembre 1767. Publié anonymement, il serait tout entier l’œuvre de Nicolas-Jacques-André Yanssens Descampeaux (1732-1795) natif de Rouen, qui fut notamment l’un des instituteurs du prince royal Frédéric jusqu’en 1771. À part 5 pièces en vers, chaque numéro comprend une dissertation ou une histoire en prose sur divers sujets tels que les éclipses sublunaires, l’étude des langues, le sacre des rois, les procédés injustes envers le sexe, les jardins des Chinois, la pierre philosophale, etc. Ce périodique aurait pris le relais d’un autre intitulé Amusemens littéraires. L’épithète « à la grecque » se réfère à une coiffure en vogue et annonce le ton humoristique de la publication. (cf. Dictionnaire des journaux 1600-1789, sous la direction de Jean Sgard, Paris, Universitas, 1991: notice 92.) Le dernier numéro est en second tirage, avec le mot « Fin » imprimé page 190. Le rare premier tirage possède la mention « Fin de la première demie année ». - Lettere scritte da Donna di Senno e di spirito per ammaestramento del suo amante. Venize : Antonio Graziosi, 1764. — 71 pp. Nouvelle édition de ce livre rare paru pour la première fois en 1737. Elle contient douze lettres anonymes envoyées par une dame à son amant, plus jeune et moins expérimenté dans la vie. Cette dame, cultivée et raffinée, nous offre une savoureuse fresque des coutumes du XVIIIe siècle. L’auteur raconte à son lecteur naïf les secrets les plus cachés du monde féminin, lui révélant, avec un soupçon de malice, toutes les ruses que la gent féminine imagine pour tromper et piéger les hommes. Rousseurs. Exemplaire en reliure du XIXe siècle mais avec le dos refait et moderne à l’imitation, avec une pièce de titre rapportée indiquant « Variétés amusantes ». Galeries de vers au milieu du volume, touchant essentiellement les feuillets des Amusemens à la grecque, avec atteintes au texte, et dans la marge inférieure des derniers feuillets du volume, sans atteinte au texte.