Null Foureroy,A.F.
Philosophie chimique ou Vérités fondamentales de la nouvelle …
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Foureroy,A.F. Philosophie chimique ou Vérités fondamentales de la nouvelle chimie. Traduit du français par J.S.T.Gehler. Lpz., Crusius 1796. 182 p. Pbd. simple p. Zt. avec rouge. Rsch. (Éraflé et abîmé). - Nombreux sous-titres au crayon rouge, parfois hs. annotations. - Rare.

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Foureroy,A.F. Philosophie chimique ou Vérités fondamentales de la nouvelle chimie. Traduit du français par J.S.T.Gehler. Lpz., Crusius 1796. 182 p. Pbd. simple p. Zt. avec rouge. Rsch. (Éraflé et abîmé). - Nombreux sous-titres au crayon rouge, parfois hs. annotations. - Rare.

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[Chimie][Pharmacie] GEOFFROY (Etienne-François): Tractatus de materia medica, sive de medicamentorum simplicium. Historia, virtute, delectu & usu. Parisiis, Joannis Desaint & Caroli Saillant, 1741, 3 volumes. 12 par 19,5 cm. (4)-197-(3)-318-(6) pages + 1 pl. dépliant h.t. ; (4)-794-(6) pages et (4)-836 pages. Plein veau d'époque, dos 5 nerfs, caissons ornés, pièces de titre et de tomaison rouges. Petites restaurations anciennes et bien exécutées, très bon état de la reliure. Papier parfois légèrement roussi. 1) De fossilibus ; 2) De vegetabilibus exoticis ; 3) De vegetabilibus indigenis. Edition originale. Conlon 41 : 497 ; European Americana 741 : 93 ; Muller, Biblio. des Kaffee 91. "Previously 1st published, London, 1736, as Geoffroy's "A treatise of the fossil vegetable, and animal substances that are made use of in physick", which purports to be based upon a ms. of the author's lectures. American plants include balsam of Peru, cacao, ipecacuanha, Jamaica pepper, Virginian snakeroot, etc.." (European Americana). "Etienne-François Geoffroy, originaire de Paris, fut maître apothicaire puis docteur en médecine de Paris. Geoffroy propose une classification des substances chimiques suivant leur plus ou moins grande « disposition à s'unir » à une substance de référence. L'idée que certaines substances puissent s'unir plus facilement que d'autres n'était pas nouvelle, mais le crédit de réunir toutes les informations disponibles dans un grand tableau général, appelé plus tard table d'affinité, en revient à Geoffroy. La controverse qui l'oppose à Louis LEMERY, un de ses collègues de l'Académie, témoigne de la nouvelle manière de pratiquer la science où chacun avance une conjecture qu'il essaie de corroborer par des expériences et propose de nouvelles expériences cherchant à réfuter la conjecture adverse. Ce nouvel art du débat scientifique va permettre d'établir sur des bases solides la science chimique en gestation

GOMBERVILLE (Marin Le Roy, seigneur de): La Doctrine des Moeurs Tirée de la philosophie Des Stoiques : représentée en cent tableaux. Et expliquée en cent discours pour l'instruction de la jeunesse. Paris, Daret, 1646. Deux parties en un volume. 21 par 32,3 cm. (18)-105 feuillets (36 et 210 pages). Plein vélin ancien, pièces de titre refaites. Bon état de la reliure. Mouillures marginales sur une dizaine de feuillets, quelques rares rousseurs. Partie 1: Un titre gravé, un titre gravé de la partie 1, une gravure d'hommage au Roy, une gravure en hommage au Cardinal Mazarin, un portrait de Gomberville, 60 emblèmes moraux, et une gravure de fin. Partie 2: Un titre gravé pour la partie 2, 43 emblèmes moraux, et une gravure de fin. Complet (en 103 tableaux). Bandeaux et lettrines. Edition originale de cet ouvrage composé à la demande de MAZARIN pour l'instruction du jeune LOUIS XIV. GOMBERVILLE (1600-1674), écrivain, fut un des premiers membres de l'académie française. Une partie de son oeuvre littéraire est centrée sur la morale, et, devenu janséniste, il finira sa vie dans le recueillement. Très beau livre d'emblèmes. C'est une réédition des Emblemata horatiana d'Otto Vaenius (1607) avec des figures retouchées par Pierre Daret, graveur et éditeur de l'ouvrage. C'est surtout un livre de morale fait pour les enfants, avec un dispositif pédagogique complet et nouveau pour l'époque: une illustration (une scène composée) d'un précepte moral, avec sur la page en regard l'explication de la gravure et l'histoire morale qu'elle raconte. Dessous, en latin, des citations des auteurs anciens sur le même thème. Et sous la gravure, un petit poème lui aussi centré sur le précepte moral évoqué: ce sont quatre voies d'approche du précepte moral.

Togroul Narimanbekov (1928-2013) (ТОГРУЛ НАРИМАНБЕКО) La Cathédrale Saint-Basile (diptyque) 1973 Huile sur toile signée et datée en haut à gauche en cyrillique, marouflée sur panneau contresigné et titré en cyrillique au dos 170 x 184 cm Provenance : > Union des Artistes de l’URSS, étiquette au dos > Художественный салон по экспорту ХФ СССР (salon d’art pour l’exportation de la philosophie artistique de l’URSS) étiquette au dos > Galerie de France, étiquette au dos Rapport de condition : Encadré, manques de matière. Photographie du tableau en cours de réalisation dans l'atelier du peintre. Togrul Narimanbekov, peintre et chanteur azerbaïdjanais, voit le jour à Bakou. Il est le premier artiste de son pays à figurer dans l’encyclopédie de l’art contemporain en France. Son parcours artistique est imprégné d’une diversité culturelle exceptionnelle. Formé à l’École d’art d’Azimzade de Bakou, Narimanbekov poursuit ses études aux beaux-arts de l’Académie des Arts de Vilnius. Dans les années 1960, il introduit en Azerbaïdjan des formes artistiques novatrices, rompant avec les canons des beaux-arts imposés par l’idéologie soviétique. Son approche et son style, en totale rupture avec les critères esthétiques du réalisme socialiste, jettent les bases de l’école de peinture d’Absheron. Aux côtés d’Ashraf Murad, Javad Mirjavadov, Tofig Javadov, Rasim Babayev, Kamal Akhmedov et Gennady Brijatyuk, il contribue à l’émergence d’un nouvel art qui prospère après la chute de l’Union soviétique. L’œuvre de Togrul Narimanbekov se distingue par une fusion singulière des traditions artistiques azéries et européennes, alliant des éléments abstraits et figuratifs. Les motifs ornementaux traditionnels se fondent dans les compositions tourbillonnantes aux couleurs vives, qui évoquent les traditions de l’art azerbaïdjanais. Ses tableaux, faits d’empâtements, sont souvent imprégnés d’une dimension surréaliste, oscillant entre émotions joyeuses et mélancoliques, dansantes et chantantes. Narimanbekov est désigné Artiste du peuple d’Azerbaïdjan en 1967 et reçoit le Prix d’État de l’URSS en 1980. Il termine sa vie entre Paris et Bakou et s’éteint dans la ville lumière en 2013. L’œuvre ici présentée met à l’honneur la cathédrale Saint-Basile-le-Bienheureux, chef d’œuvre du XVIe siècle, emblématique de l’architecture russe traditionnelle. Situé sur la place Rouge à Moscou, ce monument est célèbre pour ses courbes colorées, dont la forme et la palette rappellent les compositions tourbillonnantes et les couleurs vives de Togrul. (MLD)