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Hürlimann-Schmidheiny,S.

Contes de fées. Typoscript, corrigé et revu par Aniela Jaffe, 1975-77. 4°. 99 p. dactylographiées. Avec échange de lettres (8 feuilles) entre H. et J., concernant le présent ouvrage. - Susanne Hürlimann-Schmidheiny (1931-2019) décrit dans ce conte "un développement de l'anima sur 3 niveaux de génération ..." (introduction). (introduction). Aniela Jaffe (1903 Berlin-Zurich 1991) était psychologue et auteur.

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Albert CAMUS (1913-1960). Tapuscrit signé avec additions et corrections autographes, [L’Été à Alger, 1937]; 12pages in-4 ou in-fol. et 1page in-12. Tapuscrit de travail d’un chapitre complet de Noces (Alger, Edmond Charlot, 1939); dans l’édition, il sera dédié à Jacques Heurgon. Ce tapuscrit, très corrigé, présente d’intéressantes variantes. Il a servi pour l’impression, avec une indication signalant tel passage qui «doit être mis en note». Camus y dit son amour pour Alger: «Ce sont souvent des amours secrètes, celles qu’on partage avec une ville»… À la fin du premier paragraphe, Camus biffe: «et n’ayant rien à désirer, il peut alors mesurer son présent», et corrige: «et assuré de ses désirs, il peut alors mesurer ses richesses». Il décrit la ville désertée en été, les bains au port, la liberté des corps dorés et brunis sous le soleil, les cubes blancs de la Kasbah, le dancing de la plage Padovani, les cinémas de quartier, l’intensité de vie d’un «peuple sans passé, sans tradition et cependant non sans poésie»… Page 11, sur un petit feuillet joint, Camus rédige cette addition: «Tout ce qui exalte la vie, accroît en même temps son absurdité. Dans l’été d’Algérie j’apprends qu’une seule chose est plus tragique que la souffrance et c’est la vie d’un homme heureux. Mais ce peut être aussi bien le chemin d’une plus grande vie puisque cela conduit à ne pas tricher». Ancienne collection Jacques Millot (Bibliothèque du Professeur Millot, 15 juin 1991, n°44).

Louis-Ferdinand CÉLINE. Manuscrit autographe pour L’École des cadavres, [1938]; 5feuillets in-4 plus 2 ff. dactylographiés corrigés (trous d’épingles). Manuscrit de travail avec tapuscrit corrigé pour un passage du pamphlet. L’École des cadavres, qui fait suite à Bagatelles pour un massacre (1937), a été rédigé pendant l’été 1938 à Dinard et Saint-Malo, et publié le 24 novembre 1938 aux Éditions Denoël. Ce manuscrit présente des variantes avec le texte définitif (p. 243-245 de l’édition originale), et se rattache à la séquence 80. Les feuillets autographes sont paginés 1-5; un feuillet dactylographié, abondamment corrigé, a été inséré et épinglé (comme le montrent les traces) entre les pages 3 et 4; enfin 2 feuillets dactylographiés et corrigés sont paginés 6 et 7 et donnent la fin de la séquence. «Le grand triomphe prolétarien à cette époque de damnés simples ça consistait en mitraillades à toute volée, à coups de culs de bouteilles, en furieuses rafales des protections de cavalerie lourde. Que les tessons éclatent horrible, plein les casques […] J’ai été souvent au contact des émeutiers, très bien placé pour me souvenir. […] C’est tout ce qu’elle avait pu retenir des grands abattoirs 14, la masse de masse: un mot! Capital! Maintenant elle en a plein la gueule de son mot!»… Les dernières phrases de la séquence ont été par deux fois biffées avant de trouver la formule: «Y a pas besoin de lui expliquer. Il est toujours là. Il attend.»