Null (Gutmann,A.).
Révélation de la puissance divine, où l'on voit comment le Se…
Description

(Gutmann,A.). Révélation de la puissance divine, où l'on voit comment le Seigneur Dieu s'est d'abord révélé à toutes ses créatures, en paroles et en œuvres,... 2 t. en 1 vol. Hanau, Däsch 1619. 4°. 38 p., 530 p., 13 p., 514 p., 15 p. Reliure d. Zt. avec dorure. (piqûres de vers, manque au chap. inférieur). Wolfstieg 42096. Georgi II, 193. première édition. - Ebert 9137 : "Un commentaire très rare et autrefois très recherché par les alchimistes...". Commentaire sur les chapitres 1-5 de la Genèse à caractère alchimique et cabalistique, contient aussi beaucoup de choses sur les mines. Aegidius Gutmann (1490-1584) est l'un des fondateurs de l'Ordre de la Rose-Croix. - Un peu bruni, en partie légèrement vermoulu, St. et hs. annotation de possession au T.u.V.

445 

(Gutmann,A.). Révélation de la puissance divine, où l'on voit comment le Seigneur Dieu s'est d'abord révélé à toutes ses créatures, en paroles et en œuvres,... 2 t. en 1 vol. Hanau, Däsch 1619. 4°. 38 p., 530 p., 13 p., 514 p., 15 p. Reliure d. Zt. avec dorure. (piqûres de vers, manque au chap. inférieur). Wolfstieg 42096. Georgi II, 193. première édition. - Ebert 9137 : "Un commentaire très rare et autrefois très recherché par les alchimistes...". Commentaire sur les chapitres 1-5 de la Genèse à caractère alchimique et cabalistique, contient aussi beaucoup de choses sur les mines. Aegidius Gutmann (1490-1584) est l'un des fondateurs de l'Ordre de la Rose-Croix. - Un peu bruni, en partie légèrement vermoulu, St. et hs. annotation de possession au T.u.V.

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

École espagnole ; XVIIe siècle. Christ". Bois sculpté et polychrome. Il présente des défauts. Dimensions : 40 x 11 x 9 cm. La crucifixion du Christ est le thème central de l'iconographie chrétienne et surtout catholique. Le Christ a subi les souffrances des esclaves en fuite ou en rébellion, une condamnation essentiellement romaine mais d'origine persane. Cet épisode de la vie du Christ est le fait historique le plus rigoureusement prouvé et constitue également l'argument principal de la rédemption de la doctrine chrétienne : le sang de Dieu incarné en tant qu'homme est versé pour le rachat de tous les péchés. La représentation de la crucifixion a connu une évolution parallèle aux variations liturgiques et théologiques de la doctrine catholique, dont nous aimerions souligner trois étapes : dans un premier temps, l'art chrétien primitif a omis la représentation de la figure humaine du Christ et la crucifixion a été représentée au moyen de l'"Agnus Dei", l'agneau mystique portant la croix du martyre. Jusqu'au XIe siècle, le Christ était représenté crucifié mais vivant et triomphant, les yeux ouverts, conformément au rite byzantin qui n'envisageait pas la possibilité de l'existence du cadavre du Christ. Plus tard, sous la considération théologique que la mort du Sauveur n'est pas due à un processus organique mais à un acte de la volonté divine, le Christ est représenté, comme dans notre œuvre, déjà mort, les yeux fermés et la tête tombée sur l'épaule droite, montrant les souffrances de la Passion, provoquant la commisération, comme l'évoque le Psaume 22 dans sa prière : "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (...) une foule de méchants s'est approchée de moi : ils ont percé mes mains et mes pieds (...) ils ont partagé mes vêtements et tiré au sort ma tunique".

École espagnole ou italienne ; XVIIe siècle. Bois sculpté et polychrome. Il présente des défauts. Dimensions : 94 x 40 x 20 cm : 94 x 40 x 20 cm. La crucifixion du Christ est le thème central de l'iconographie chrétienne et surtout catholique. Le Christ s'est vu infliger la souffrance qui correspondait à celle des esclaves en fuite ou en rébellion, une condamnation essentiellement romaine mais d'origine persane. Cet épisode de la vie du Christ est le fait historique le plus rigoureusement prouvé et constitue également l'argument principal de la rédemption de la doctrine chrétienne : le sang de Dieu incarné en tant qu'homme est versé pour le rachat de tous les péchés. La représentation de la crucifixion a connu une évolution parallèle aux variations liturgiques et théologiques de la doctrine catholique, dont nous aimerions souligner trois étapes : dans un premier temps, l'art chrétien primitif a omis la représentation de la figure humaine du Christ et la crucifixion a été représentée au moyen de l'"Agnus Dei", l'agneau mystique portant la croix du martyre. Jusqu'au XIe siècle, le Christ était représenté crucifié mais vivant et triomphant, les yeux ouverts, conformément au rite byzantin qui n'envisageait pas la possibilité de l'existence du cadavre du Christ. Plus tard, sous la considération théologique que la mort du Sauveur n'est pas due à un processus organique mais à un acte de la volonté divine, le Christ est représenté, comme dans notre œuvre, déjà mort, les yeux fermés et la tête tombée sur l'épaule droite, montrant les souffrances de la passion, provoquant la commisération, comme il est mentionné dans le Psaume 22 lorsqu'il dit : "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (...) une foule de méchants est près de moi ; ils m'ont percé les mains et les pieds (...) ils ont partagé mes vêtements et tiré au sort ma tunique".

École espagnole du 17e siècle. "Christ". Bois sculpté et polychrome. Il présente des repeints. Dimensions : 80 x 32,5 x 17 cm : 80 x 32,5 x 17 cm. La crucifixion du Christ est le thème central de l'iconographie chrétienne et surtout catholique. Le Christ s'est vu infliger les souffrances correspondant aux esclaves en fuite ou en rébellion, une condamnation essentiellement romaine mais d'origine persane. Cet épisode de la vie du Christ est le fait historique le plus strictement prouvé et constitue également l'argument principal de la rédemption de la doctrine chrétienne : le sang de Dieu incarné en tant qu'homme est versé pour le rachat de tous les péchés. La représentation de la crucifixion a connu une évolution parallèle aux variations liturgiques et théologiques de la doctrine catholique, dont nous aimerions souligner trois étapes : dans un premier temps, l'art chrétien primitif a omis la représentation de la figure humaine du Christ et la crucifixion a été représentée au moyen de l'"Agnus Dei", l'agneau mystique portant la croix du martyre. Jusqu'au XIe siècle, le Christ était représenté crucifié mais vivant et triomphant, les yeux ouverts, conformément au rite byzantin qui n'envisageait pas la possibilité de l'existence du cadavre du Christ. Plus tard, sous la considération théologique que la mort du Sauveur n'est pas due à un processus organique mais à un acte de la volonté divine, le Christ est représenté, comme dans notre œuvre, déjà mort, les yeux fermés et la tête tombée sur l'épaule droite, montrant les souffrances de la passion, provoquant la commisération, comme il est mentionné dans le Psaume 22 lorsqu'il dit : "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (...) une foule de méchants est près de moi ; ils m'ont percé les mains et les pieds (...) ils ont partagé mes vêtements et tiré au sort ma tunique".