Null Rambach,J.J.
Vérités salutaires de l'Évangile, d'après les évangiles des di…
Description

Rambach,J.J. Vérités salutaires de l'Évangile, d'après les évangiles des dimanches et des fêtes de toute l'année : avec quelques sermons de pénitence,... : Avec les dispositions ajoutées et les registres nécessaires. Ffm. et Lpz., Spring (1737). 4°. 24 pp., 1546 pp., 29 pp. estampées à froid. Ldr. d. Zt. avec dorures. Filets et riches fers à cheval (parfois légèrement vermoulus). VD 18, 12734004. - Vaste ouvrage du surintendant de Giessen, avec préface de son beau-père Joachim Lange. - Bon ex. dans l'ensemble, sans gardes volantes avant. Provenance : bibliothèque de la noblesse.

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Rambach,J.J. Vérités salutaires de l'Évangile, d'après les évangiles des dimanches et des fêtes de toute l'année : avec quelques sermons de pénitence,... : Avec les dispositions ajoutées et les registres nécessaires. Ffm. et Lpz., Spring (1737). 4°. 24 pp., 1546 pp., 29 pp. estampées à froid. Ldr. d. Zt. avec dorures. Filets et riches fers à cheval (parfois légèrement vermoulus). VD 18, 12734004. - Vaste ouvrage du surintendant de Giessen, avec préface de son beau-père Joachim Lange. - Bon ex. dans l'ensemble, sans gardes volantes avant. Provenance : bibliothèque de la noblesse.

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École andalouse ; XVIIIe siècle. "Immaculée Conception". Huile sur toile. Présente des restaurations. Elle porte une étiquette informative au dos de la "Caja General de Restauraciones". Provenance : Duques de la Conquista. Dimensions : 120,5 x 85,5 cm ; 129 x 95 cm (cadre). Cette œuvre représente l'Immaculée selon les modèles esthétiques du baroque espagnol, avec Marie vêtue de blanc et de bleu (symboles de la pureté et des concepts de vérité et d'éternité, respectivement), entourée d'enfants anges, debout sur le croissant et au-dessus d'elle, la représentation du Saint-Esprit. Certains anges portent des symboles des litanies, comme les lys ou la palme. Bien que suivant les modèles mentionnés, l'œuvre abandonne la splendeur théâtrale du baroque en faveur d'une scénographie beaucoup plus sobre, mesurée et équilibrée qui peut être appréciée dans les tons de couleur utilisés par l'artiste et dans la composition elle-même. Le dogme de l'Immaculée défend que la Vierge a été conçue sans péché originel, et a été défini et accepté par le Vatican dans la bulle Ineffabilis Deus, le 8 décembre 1854. Cependant, l'Espagne et tous les royaumes sous sa domination politique défendaient cette croyance auparavant. Sur le plan iconographique, la représentation reprend à la fois des textes de l'Apocalypse (12 : "Un grand signe apparut dans le ciel : une femme enveloppée de soleil, la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles") et de la litanie lauretaine priée après le rosaire et contenant des épithètes de Marie tirées du Cantique des Cantiques du roi David. En joignant les deux textes et après une évolution qui commence déjà à la fin de la période gothique, nous arrivons à une typologie très simple et reconnaissable qui présente la Vierge sur le quartier lunaire, avec les étoiles sur la tête et vêtue de lumière (avec une auréole sur la tête seulement ou sur tout le corps), normalement vêtue de blanc et de bleu en allusion à la pureté et à l'éternité (bien qu'elle puisse aussi apparaître en rouge et en bleu, en relation alors avec la Passion), les mains sur la poitrine presque toujours et représentée jeune en règle générale. Elle porte une étiquette informative au dos de la "Caja General de Restauraciones".