Freylinghausen,J.A.
Le livre de l'auteur est un ouvrage de référence sur la théo…
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Freylinghausen,J.A. Le livre de l'auteur est un ouvrage de référence sur la théologie, dans lequel les doctrines de la foi sont clairement présentées... 9e édition. Halle 1734. avec ill. Tvign. 8 p., 487 p., 19 p. Ldr. d. Zt. avec Rsch. (p. ex. petites traces de ver). - Parfois quelques traces de vers (petite perte de lettres). - Provenance : bibliothèque de la noblesse.

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Freylinghausen,J.A. Le livre de l'auteur est un ouvrage de référence sur la théologie, dans lequel les doctrines de la foi sont clairement présentées... 9e édition. Halle 1734. avec ill. Tvign. 8 p., 487 p., 19 p. Ldr. d. Zt. avec Rsch. (p. ex. petites traces de ver). - Parfois quelques traces de vers (petite perte de lettres). - Provenance : bibliothèque de la noblesse.

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SALVADOR DALÍ I DOMÈNECH (Figueres, Gérone, 1904 - 1989). "Le Christ en perspective". 1972. Encre sur papier offset. Signé, daté et dédicacé. Dimensions : 32 x 40 cm ; 55 x 82 cm (cadre). Dessin original sur papier réalisé par Dalí en 1972, vingt ans après son tableau "Christ de Saint Jean de la Croix", où le crucifié est également vu en raccourci, d'un point de vue zénithal. Dalí explore dans ces versions les moyens de suggérer la contemplation céleste de la souffrance de Jésus, en adoptant le point de vue des anges ou d'une entité divine. Dans le tableau de 1951, le titre fait référence au mystique et poète espagnol du XVIe siècle, connu pour ses écrits sur l'union de l'âme avec Dieu par l'amour spirituel. Le choix de ce titre suggère un lien entre la vision de la crucifixion de Dalí et la spiritualité profonde. Dans les années 1970, Dalí, qui a toujours été animé d'une profonde spiritualité, reprend ses réflexions plastiques sur les thèmes de la foi, de la rédemption, de l'au-delà et de la nature divine. Peintre et sculpteur, Salvador Dalí a été l'un des principaux représentants du mouvement surréaliste. Son œuvre a grandement influencé le cours du surréalisme au cours des années 20 et 30, étant reconnu comme le créateur de la méthode paranoïaque-critique, une combinaison essentielle du réel et de l'imaginaire. La majeure partie de sa production est rassemblée au Théâtre-musée Dalí de Figueras, puis dans les collections du Salvador Dalí Museum de St. Petersburg (Floride), du Reina Sofía de Madrid, de la Salvador Dalí Gallery de Pacific Palisades (Californie), de l'Espace Dalí de Montmartre (Paris) ou du Dalí Universe de Londres.

Suiveur de PIETER PAUL RUBENS (Siegen, Allemagne, 1577 - Anvers, Belgique, 1640). "Le triomphe de l'amour divin". Huile sur cuivre. Elle présente des restaurations sur la surface picturale. Elle est encadrée au XIXe siècle avec des défauts. Dimensions : 69 x 87 cm ; 77 x 94 cm (cadre). Dans ce cuivre, l'auteur présente une composition basée sur le Triomphe de l'amour divin, bien qu'elle varie dans certains détails. Selon le Musée du Prado, "en 1625, l'archiduchesse Isabel Clara Eugenia commanda à Rubens une série de vingt tapisseries pour le monastère des Descalzas à Madrid. Elles abordent le thème de l'Eucharistie, le principal dogme du catholicisme que la princesse défendait en tant que souveraine des Pays-Bas méridionaux. Les scènes ont été conçues par Rubens comme des parades triomphales, se faisant passer pour des toiles suspendues à des architectures baroques, ce qui a provoqué un doute dramatique entre la réalité et l'image artistique. Dans le cas de ce tableau, une femme représentant l'Amour divin se tient sur un char de triomphe. Elle est entourée d'enfants anges. L'oiseau nourrissant ses enfants avec le sang de son propre sein a été utilisé depuis le Moyen Âge comme symbole du sacrifice du Christ et de l'Eucharistie. L'un des anges tente de brûler deux serpents entrelacés, qui symbolisent probablement le péché. Le royaume lumineux que nous contemplons dans cette image est le reflet de l'amour du Christ, communiqué par le mystère de l'Eucharistie". Pierre Paul Rubens était un peintre de l'école flamande qui, néanmoins, rivalisait avec les artistes italiens contemporains, et a joui d'une transcendance internationale très importante, étant donné que son influence a également été déterminante dans d'autres écoles, comme c'est le cas du passage au baroque intégral en Espagne. Bien que né en Westphalie, Rubens a grandi à Anvers, d'où sa famille était originaire. Rubens a eu trois professeurs, le premier étant Tobias Verhaecht, un peintre à la technique précise et méticuleuse qui avait voyagé en Italie et qui a inculqué au jeune peintre les premiers rudiments artistiques. Il est également possible que Rubens ait voyagé en Italie sous l'influence de ce premier maître. Le deuxième est Adam van Noort, un peintre romaniste également orienté vers l'influence italienne, avec un langage encore maniériste, et qui a dû également inciter le jeune homme à se rendre en Italie. Enfin, son troisième professeur fut Otto van Veen, le plus remarquable et le dernier d'entre eux. Après sa formation, Rubens entre dans la guilde des peintres d'Anvers en 1598. Deux ans plus tard seulement, il entreprend un voyage en Italie, où il séjourne entre 1600 et 1608. En 1609, il retourne aux Pays-Bas, au service des gouverneurs des Flandres, l'archiduc Albert et l'infante Isabelle Clara Eugenia. En plus d'être peintre de chambre, Rubens exercera pour la cour des tâches diplomatiques qui l'amèneront à se rendre en Espagne, à Londres et à Paris. En 1609, il épouse Isabel Brant à Anvers et organise son atelier, engageant d'excellents collaborateurs avec lesquels il travaille côte à côte, nombre d'entre eux étant des peintres spécialisés (Frans Snyders, Jan Brueghel de Velours...). Il prendra également des disciples et créera un excellent atelier de graveurs, qui travailleront à partir de dessins de sa main, et sous sa supervision. Elle présente des restaurations sur la surface picturale. Elle possède un encadrement du 19ème siècle avec des défauts.