Null Plaque de cheminée, fonderie de Geislautern, datée 1736, armoiries royales …
Description

Plaque de cheminée, fonderie de Geislautern, datée 1736, armoiries royales françaises, écusson avec trois fleurs de lys de Bourbon, surmonté de la couronne royale, désigné sur une bande périphérique, fer, env. 65 x 64.5 cm

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Plaque de cheminée, fonderie de Geislautern, datée 1736, armoiries royales françaises, écusson avec trois fleurs de lys de Bourbon, surmonté de la couronne royale, désigné sur une bande périphérique, fer, env. 65 x 64.5 cm

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FERDINAND BARBEDIENNE (France, 1810-1892). "Bacchus (Antinoüs) et Ariane", vers 1850. Bronze ciselé, patiné et partiellement doré, sur un socle en marbre noir belge. Signé. Présente quelques piqûres sur la base. Avec le cachet de la réduction mécanique. Dimensions : 27 x 12 x 11 cm ; 27,5 x 12 x 11 cm. Paire de bustes en bronze représentant Bacchus et Ariane. La fonderie F. Barbedienne a été fondée à Paris en 1838 par Ferdinand Barbedienne et Achille Collas, ce dernier étant l'inventeur d'une machine permettant de réduire mécaniquement le format des sculptures. Elle se consacre d'abord à la production de reproductions en bronze de sculptures de l'Antiquité romaine et grecque, comme celle présentée ici. Le premier contrat de publication d'œuvres créées par un artiste vivant est signé en 1843 avec le sculpteur François Rude. Au cours des années suivantes, après avoir survécu à l'effondrement économique de 1848, la maison Barbedienne a signé des contrats avec de nombreux sculpteurs actifs à Paris à l'époque, dont David d'Angers, Jean-Baptiste Clesinger, Antoine Louis Barye et d'autres. Achille Collas meurt en 1859, laissant Ferdinand Barbedienne seul à la tête d'une entreprise qui compte alors environ trois cents ouvriers. En 1865, il est nommé président de l'Association des Broncistes, poste qu'il occupe jusqu'en 1885. Cependant, le déclenchement de la guerre franco-prussienne en 1870 et la pénurie de métaux bruts qui s'ensuit obligent Barbedienne à interrompre sa production artistique, bien qu'il signe un contrat avec le gouvernement français pour la fabrication de canons, ce qui lui permet de maintenir la fonderie ouverte. Après la guerre, il reprend sa production sculpturale et redouble d'efforts pour signer des contrats avec différents sculpteurs. À sa mort en 1891, il est salué comme le meilleur fondeur de France, et Albert Susse le qualifie de "fierté nationale". La direction de la fonderie est alors confiée au neveu de Barbedienne, Gustave Leblanc, qui maintient la qualité de la production et ouvre des succursales en Allemagne, en Angleterre et aux Etats-Unis. Elle présente quelques piqûres à la base.

PIERRE MARIE-POISSON (Niort, 1876 - 1953, Paris). "Vénus et Apollon". Bronze. Avec le cachet de la fonderie Bisceglia Frères. Signé par l'artiste. Dimensions : 26,5 et 29,5 cm (hauteur). Pierre-Marie Poisson est un sculpteur et médailleur français. Il étudie la sculpture à l'Ecole des Beaux-Arts de Toulouse de 1893 à 1896, où il est formé aux arts plastiques et au plâtre. Il complète cet enseignement à l'atelier Barrias à Paris. En 1907, il obtient une médaille d'honneur au Salon des artistes français et une affectation à la villa Abd-el-Tif à Alger dont il conçoit et réalise les décors. Il y retourne régulièrement jusqu'en 1914. Il est l'auteur d'un buste de Marianne en style nu et massif, commandé en 1932 par Jean Mistler, sous-secrétaire d'État aux Beaux-Arts, pour remplacer le buste officiel de Marianne par Jean-Antoine Injalbert. Il collabore, avec d'autres artistes, à la réalisation des décorations des paquebots France en 1912, Ile-de-France en 1927 et Normandie en 1935. Il obtient la décoration de commandeur de la Légion d'honneur commandeur de la Légion d'honneur. Pierre-Marie Poisson a été nommé chevalier de l'Ordre national de la Légion d'honneur par décret du 12 août 1923, promu officier par décret du 25 août 1937 et enfin commandeur par décret du 4 février 1952. En ce qui concerne la fonderie, Mario Bisceglia s'installe à Paris en 1906, encouragé par Henri Bouchard qu'il a rencontré en Italie. Vers 1907, il crée sa propre fonderie avec deux de ses frères, travaillant selon la technique de la cire perdue. La fonderie est connue pour ses patines particulièrement fines.