DAVOUT LOUIS NICOLAS: (1770-1823) DAVOUT LOUIS NICOLAS : (1770-1823) Maréchal de…
Description

DAVOUT LOUIS NICOLAS: (1770-1823)

DAVOUT LOUIS NICOLAS : (1770-1823) Maréchal de France, Duc d'Auerstaedt et Prince d'Eckmuhl. Connu comme le maréchal de fer, Davout fut le seul maréchal napoléonien à ne pas avoir été vaincu au combat en 1815. A.L.S. inhabituel, 'Davout' sur le feuillet d'adresse. Davout' au feuillet d'adresse, deux pages, 4to, Skierniewice (entre Lodz et Varsovie), en Pologne, 2 février 1808, à sa femme Aimée Leclerc, en français. Davout n'explique que ce qu'il peut à ce stade à sa femme concernant la décision d'ajourner son voyage, déclarant en partie : "Je suis obligé d'ajourner le voyage de ma femme. Je suis obligé d'ajourner ma promesse de te donner dans le plus grand détail connaissance des motifs qui m'ont déterminés à ne plus écouter mes désirs de t'engager à faire le voyage.... ces explications seront longues et je te les donnerai au 1er moment que j'aurai à moi ; mais en attendant, si mon séjour ici devait se prolonger et que tu ne puisses obtenir pour moi la permission d'aller à Paris, il n'y aurait plus de motifs...' (Traduction : " Je suis obligé de remettre à plus tard ma promesse de vous faire connaître dans le plus grand détail les raisons qui m'ont déterminé à ne plus écouter mes désirs de vous encourager à faire le voyage... ces explications seront longues et je vous les donnerai au premier moment que j'aurai pour moi ; mais en attendant, si mon séjour ici se prolongeait et que vous ne puissiez obtenir pour moi la permission d'aller à Paris, il n'y aurait plus de motifs...") Avec un feuillet d'adresse vierge, adressé à ` La Maréchale Davout', portant un cachet à l'encre rouge et de larges restes d'un sceau de cire rouge montrant le monogramme de Davout avec ses initiales. Petites usures d'âge et plis, autrement G

1528 

DAVOUT LOUIS NICOLAS: (1770-1823)

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

. BONAPARTE (famille) et autour. Ensemble de 4 lettres. — BONAPARTE (Élisa). Lettre signée avec 3 lignes autographes à Jean-Pierre-Louis de Fontanes. [Villa Médicis], Poggio a Caiano [en Toscane], 5 mai 1811. « Mon cher Fontanes, j'envoye à Paris deux députés de mes États de Lucques pour féliciter l'empereur sur la naissance du roi de Rome et je lui recommande de vous vous souvent de ma part. Ce sont M.M. Matteucci et Lucchesini... » Luigi Matteucci était ministre dans le Gouvernement de Lucques, et Girolamo Lucchesini chambellan d'Élisa Bonaparte. Grand-maître de la l'Université impériale, Jean-Pierre Louis Fontanes était un ami intime de cette dernière, qu'il fréquenta assidûment avant qu'elle ne devînt princesse de Lucques et de Piombino puis grande-duchesse de Toscane (une p. in-8). — BONAPARTE (Pauline). Apostille signée, dictée à sa dame de compagnie Jenny de Saluces (s.l., juin 1811, environ 2 pp. in-8, sur papier dont la première page est ornée d'une bordure gaufrée) sur un billet de cette dernière (1/2 p. in-8), le tout adressé à Jean-Paul Louis Michelot, ami intime de la princesse et faisant pour elle fonctions d'intendant à Paris. Recommandations pratiques et dispositions financières. — DAVOUT (Aimée Leclerc, maréchale). Lettre autographe signée à son mari le maréchal Louis-Nicolas Davout. S.l., 28 janvier 1812. Très belle lettre dans laquelle elle relate ses entretiens avec Napoléon Ier qui lui demande de donner un grand bal chez elle alors qu'elle n'en a nulle envie ; elle évoque aussi une soirée de jeu avec l'impératrice Marie-Louise. — DAVOUT (Aimée Leclerc, maréchale). Lettre autographe signée à son mari le maréchal Louis-Nicolas Davout. S.l., 8 mars 1813. Elle relate une anecdote sur leur fils Louis qui, interrogé sur ce qu'il avait lu dans le Journal de Paris a dit « Rurusse font la guerre et empêchent papa de venir. Méchants ! » Elle écrit aussi qu'elle a rencontré la reine Hortense qu'elle n'avait pas vue depuis longtemps et qu'elle trouve changée.

[DODE DE LA BRUNERIE (Guillaume)]. Ensemble d'une vingtaine de pièces. 1807-1843. Quelques unes de ces pièces collées à d'autres en marge. Concernant les décorations du maréchal Dode de La brunerie. — Ordre de la Légion d'Honneur : lettre lui annonçant que le maréchal Massena a demandé son avancement dans l'Ordre, signée par le général Nicolas Léonard Bagert Beker en qualité de chef de l'état-major général du Ve corps (Prasnitz, actuellement Przasnysz au Nord de Varsovie en Pologne, 1807) ; lettre lui annonçant que Napoléon Ier l'a fait officier (château de Finkenstein, actuellement Kamienec en Pologne, 1807) ; brevet de commandeur signé par Louis XVIII (griffe) et contresigné entre autres par le maréchal Étienne Macdonald en qualité de grand-chancelier (1817) ; lettre accompagnant l'envoi de son brevet de commandeur, signée par le maréchal Étienne Macdonald en qualité de grand-chancelier (1817) ; lettre lui annonçant que le duc d'Angoulême, général en chef de l'armée des Pyrénées, l'a nommé grand-officier, signée par le général Armand Charles Guilleminot en qualité de major-général de cette armée (Madrid, 1823) ; lettre confirmant sa nomination comme grand-officier, signée par le maréchal Étienne Macdonald en qualité de grand-chancelier (1823) ; brevet de grand officier signé par Louis XVIII (griffe) et contresigné entre autres le maréchal Étienne Macdonald en qualité de grand-chancelier (1823) ; lettre accompagnant l'envoi de son brevet de grand officier, signée par le maréchal Étienne Macdonald en qualité de grand chancelier (1824) ; 2 lettres lui annonçant qu'il a été élevé à la dignité de grand-croix, signée par le maréchal Nicolas Jean-de-Dieu Soult en qualité de président du Conseil puis de ministre de la Guerre (1843) ; lettre lui annonçant l'envoi du brevet de grand-croix signée par le maréchal Maurice Gérard en qualité de grand-chancelier (1843). Avec un plan autographe en couleurs par Guillaume Dode de La Brunerie représentant « la disposition des troupes de l'armée des Côtes, au camp de Boulogne, à l'occasion de la distribution des 1700 décorations de la [Légion d'honneur] remises par l'empereur en personne » le 28 thermidor an XII [16 août 1804]. — Ordre de Saint-Louis : lettres de chevalier, document signé par Louis XVIII contresigné par le général Pierre-Antoine Dupont de L'Étang en qualité de ministre de la Guerre (27 juin 1814) ; lettre lui annonçant que le duc d'Angoulême, commandant en chef de l'armée des Pyrénées, l'a nommé commandeur, signée par le général Armand Charles Guilleminot en qualité de major-général de cette armée (1823). — Ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière : décret le nommant chevalier, signé par le roi Maximilien Ier de Bavière (1807). — Ordre du mérite militaire de Bavière : lettre lui annonçant que Louis XVIII l'a autorisé à porter le décoration de chevalier, signée par le maréchal Étienne Macdonald en qualité de grand-chancelier de la Légion d'honneur (1823). — Ordre de Charles III d'Espagne : brevet de chevalier grand-croix signé par le roi Ferdinand VII et contresigné par plusieurs personnes (1823) ; lettre lui annonçant que le roi a confirmé l'autorisation provisoire que lui avait accordée le duc d'Angoulême de porter la décoration de chevalier grand-croix, signée par le maréchal Étienne Macdonald en qualité de grand-chancelier de la Légion d'honneur (1824). — Ordre de Saint Alexandre Nevski de Russie : brevet de chevalier signé par le tsar Alexandre Ier (1824, en russe avec traduction jointe) ; lettre lui annonçant que Louis XVIII l'a autorisé à porter la décoration de chevalier (1824).