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Description

Nous vous présentons une des plus belles collections de paniers d'Afrique centrale acquise par Mr. Christian Borzykowski au fil des années et réunie dans cette vente. Celle-ci comprend plus de 200 lots provenant entre autre de la République démocratique du Congo, de l'Ouganda, du Rwanda, du Burundi, de l'Angola, de la Zambie ou encore de la Tanzanie. En observant les paniers, on ne peut qu'être fasciné par la finesse du travail technique et par les nombreuses différences esthétique d'après le pays d'origine du panier. L'ensemble de la collection vendue est répertorié dans le livre "Paniers de l'Afrique centrale" par Christian Borzykowski aux éditions Le Livre en Papier.

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Nous vous présentons une des plus belles collections de paniers d'Afrique centrale acquise par Mr. Christian Borzykowski au fil des années et réunie dans cette vente. Celle-ci comprend plus de 200 lots provenant entre autre de la République démocratique du Congo, de l'Ouganda, du Rwanda, du Burundi, de l'Angola, de la Zambie ou encore de la Tanzanie. En observant les paniers, on ne peut qu'être fasciné par la finesse du travail technique et par les nombreuses différences esthétique d'après le pays d'origine du panier. L'ensemble de la collection vendue est répertorié dans le livre "Paniers de l'Afrique centrale" par Christian Borzykowski aux éditions Le Livre en Papier.

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Salvador DALI (1904-1989) E.G.I France PORTE-PARAPLUIE à quatre cheminées gainé de skaï marron à motifs Daligramme. Base circulaire. Haut. 50 cm Si l’activité de Salvador Dalí devait se résumer en un mot, nous pourrions choisir celui de protéiforme. Ses créations artistiques multi-supports semblent, tous les jours, nous paraître un peu plus complètes. Si nous pensions déjà connaître l’artiste peintre, sculpteur, réalisateur ou encore auteur, c’est au créateur de mode que nous sommes aujourd’hui confrontés. Cet exceptionnel ensemble signé Salvador Dalí résulte d’une histoire Daliesque comme on n’en fait plus. Au tournant des années 1970, Salvador Dalí décide, conjointement avec son bras droit et homme de confiance : John Henri Moore, de s’attaquer au marché de la Mode et de la Maroquinerie. Pour ce faire, ils s’associent à la société E.G.I France (Editions Graphiques Internationales) afin de mettre en œuvre une collection de diverses pièces de bagagerie, maroquinerie et petite maroquinerie destinées à être commercialisée au plus grand nombre. La production est lancée, les meilleurs artisans de Paris sont sélectionnés et la production est exposée dans les vitrines passantes des boutiques parisiennes ou belges, dont la société Lancel. En 1971, les premières campagnes publicitaires sont publiées et l’échantillon produit par EGI France -que nous présentons aujourd’hui - est exposé. Elle en fait la promotion dans son numéro de décembre 1971 en titrant « Emporter Dalí en voyage, c’est assez extraordinaire. Et possible (…) ». Sauf que l’aventure tourne court, brutalement, dans les quelques mois qui suivent cette campagne publicitaire. « On arrête tout » mentionne un simple télégramme adressé aux gérants d’EGI France. Pourquoi cette collaboration meurt-elle dans l’œuf ? Pourquoi une campagne pourtant prometteuse doit-elle s’arrêter ? Nous ne le savons pas. Reste que la production, en nombre très limitée, reste sur les étalages des maroquiniers pour arriver, le 2 août 2024, sur les cimaises de Côte Basque Enchères. Outre, les rares pièces vendues au lancement de la collection, un ensemble d’une telle envergure reste inédit sur le marché de l’Art. D’une grande qualité de manufacture, les quelques vingt échantillons que nous présentons ont toujours été soigneusement conservés par ceux qui les ont créés, assemblés. Produit à titre d’échantillons de vente, ils présentent bien sûr quelques usures et traces du temps passé mais reflètent véritablement un pan de l’Histoire contemporaine de la Mode.

Domaine du Chêne Belle Dame Dame jeanne de 5 L sertie d’un collier en cuir rouge, étiquette en cuir naturel gravé, structure en noyer massif avec une base en val chromate teintée masse rouge, finition vernis satin. Artisans et matériaux made in Nouvelle-Aquitaine. Dimensions : Diamètre de 45 cm et Hauteur de 40 cm Créateur de spiritueux depuis plus de 150 ans, le Domaine du Chêne est une maison familiale établie à Saint Palais de Phiolin au cœur de la Charente-Maritime. L’histoire du domaine débute en 1865 par l’acquisition du premier alambic avec pour ambition de distiller ses propres eaux-de-vie de Cognac. En 1993 Jean-Marie BAILLIF donne naissance à la marque actuelle : « Le Domaine du Chêne». Le développement du vignoble et la diversification des cépages nous permettent aujourd’hui, la création de Pineaux Mono-cépage rares et de Cognacs primés dans le monde. En 2024, la nouvelle génération, reprend le flambeau et perpétue avec tout autant de passion et modernisme le savoir-faire de Jean-Marie. Belle Dame : Depuis plusieurs années, par l’évolution de nos process de vinification et de vieillissement, nous élaborons des Pineaux et Cognacs atypiques. Nous présentons aujourd’hui « Belle Dame», une dame jeanne en verre contenant un Pineau d’exception 100% Folle Blanche. Il s’agit du premier Pineau élaboré entièrement à base de Folle Blanche (jus de raisin et Cognac). Ce cépage historiquement très présent dans la région avant le Phylloxera, nous l’avons réintégré dans notre vignoble depuis plus 20 ans. Nous vous proposons aujourd’hui un Pineau mono-cépage rare, contemporain, frais, tendu et peu sucré. Pour sublimer cette forme bulbeuse, Joachim BAILLIF a créé cet écrin, donnant l’impression d’une barrique qui s’ouvre et dévoile ce Pineau en forme de goutte comme suspendue en lévitation. «Le secret des Charentes se révèle à travers cette œuvre».

Elizabeth Taylor (3) Lettres autographes signées au directeur du National Velvet, Clarence Brown : "Je sais que je ne suis pas une star". Trois lettres autographes de l'adolescente Elizabeth Taylor au réalisateur de National Velvet Clarence Brown, toutes signées "Elizabeth", vers 1944-1945. Ces lettres remarquables décrivent la charmante relation entre l'actrice et le réalisateur de son premier rôle principal, en commençant par une lettre d'excuses pour quelques indiscrétions de jeunesse sur le plateau de National Velvet, suivie d'une lettre de reconnaissance pour son travail habile sur le film, et se terminant par une carte postale joyeuse d'une partie de pêche dans le Wisconsin. Comprend : ALS au crayon, signée "Sincerely, Elizabeth", quatre pages sur une carte de correspondance personnelle pliante de 5 x 4, sans date mais vers 1944, pendant la production de National Velvet. En entier (orthographe et grammaire conservées) : "Je suis désolée d'avoir dit ce matin que je n'aimais pas ma robe verte et jaune, je sais maintenant que je ne devrais pas dire si j'aime ou non quelque chose. Je suis aussi désolée de t'avoir parlé pendant que tu parlais à Miss Revere. Maman m'a dit que ce n'était pas bien. Je l'ai fait parce que j'étais pressée de te parler avant que le coiffeur ne m'attrape. Je pensais que tu comprendrais, mais je te promets de ne plus jamais le faire. Je sais que je ne suis pas une star M. Brown, c'était juste une blague quand M. Boil a mis l'étoile sur ma coiffeuse, mais je l'ai déchirée aujourd'hui et je ne veux plus du carpit rouge, s'il vous plaît, ne pensez pas, je pense que je suis une star la façon dont vous l'avez dit ce matin, me fait ne jamais vouloir en être une...P.S. S'il vous plaît, excusez le crayon et la façon dont j'ai mélangé les pages, mais je suis au lit et je n'ai pas pu m'endormir avant d'avoir écrit ceci." ALS signée deux fois, "Love, Elizabeth", trois pages sur une carte de correspondance personnelle pliante de 5 x 4, 6 décembre 1944. En entier : "Tu sais, quand nous étions à Monterey, nous t'avions acheté ce pull bleu en cachemire pour un cadeau de fin de séance, mais pour une raison ou pour une autre, la séance ne s'est jamais terminée correctement, et nous ne nous sommes jamais dit au revoir. Mais j'ai gardé le pull pour toi et j'aimerais maintenant te le donner en guise de remerciement pour m'avoir fait bien jouer dans "Velvet" et pour avoir fait de "National Velvet" un film si merveilleux. Quand tout le monde me dit à quel point je suis bien dans Velvet, je sais que c'est parce que vous m'avez rendue ainsi, parce que vous êtes un réalisateur merveilleux. J'apprécie tout ce que vous avez fait pour moi et pour "Velvet"... P.S. J'aime la façon dont vous recommencez jusqu'à ce que nous obtenions ce que nous voulons, jusqu'à ce que nous nous sentions à l'aise. Oh merci, merci M. Brown pour tout". Pour conclure, Taylor dessine deux chevaux en bas de la page. ALS signé "Love, Elizabeth Taylor", une page sur une carte postale de 5,5 x 3,5 décrivant une route pittoresque près de Minocqua, Wisconsin, oblitérée le 13 août 1945. Au complet : "Il fait si beau ici, dans le Wisconsin, et nous passons des vacances merveilleuses. Nous prenons de plus en plus de poissons, et j'en attrape de très gros. Attendez que je vous les raconte." Très bon état général. Accompagné d'une lettre de sa mère, signée "Sarah Taylor", trois pages, 6,25 x 9,5, papier à en-tête personnel, 6 décembre 1944, également adressée à Clarence Brown. En partie : Je dois vous dire à quel point nous vous sommes reconnaissants... Depuis des semaines, nous entendons les rapports les plus merveilleux sur "National Velvet". Tout le monde s'accorde à dire que c'est le meilleur film qu'il ait jamais vu, quel que soit l'écran, quelle que soit l'année, etc. Naturellement, nous nous en réjouissons. Il n'y a qu'une seule chose qui pourrait gâcher l'excitation et le bonheur de tout cela, et vous savez ce que c'est. Oh, s'il vous plaît, M. Brown, si vous pouviez seulement nous pardonner - si nous pouvions seulement sentir dans nos cœurs que vous êtes nos amis - vous ne savez pas à quel point Elizabeth et moi avons été malheureux à propos de tout cela... Nous étions tellement "sur la sellette" dans toutes les directions... et nous pensions que nous faisions la bonne chose... Je ne sais pas si c'est vrai, mais nous avons entendu de plusieurs sources que le studio essayait d'obtenir "Peter Pan" pour Elizabeth (en Technicolor). Si c'est le cas, nous aimerions beaucoup que vous le fassiez. C'est tout ce à quoi nous pouvons penser. Le feriez-vous, M. Brown ? Nous sommes impatients de voir 'National Velvet' - et nous espérons que dans la joie et le bonheur que vous ressentez pour le grand triomphe de votre film, vous trouverez dans votre cœur la force de nous pardonner - afin que nous puissions nous sentir heureux aussi".