Null VERLAINE (Paul). 
Poème autographe. 20 vers et 4 vers de variante ; ratures…
Description

VERLAINE (Paul). Poème autographe. 20 vers et 4 vers de variante ; ratures et corrections. Pièce de vers publiée en 1893 sous le n° IX dans le recueil Odes en son honneur, dont le titre ici mentionné en marge de la main de Paul Verlaine. « ... S’il arrive que tu me battes, Soufflètes, égratignes, tu Es le maître dans nos pénates, Et moi le cocu, le battu, [« Je vais content étant ta chose », en partie biffé et corrigé en] Suis content et vois tout en rose... » Version présentant des variantes avec le texte définitif imprimé, notamment une réécriture des 4 derniers vers de la dernière strophe. À la fin de sa vie, Paul Verlaine entretint des relations tumultueuses avec deux anciennes prostituées, Eugénie Krantz et Philomène Boudin dite « Esther ». Elles lui inspirèrent de nombreux poèmes de ses derniers recueils, dont ceux d’Odes en son honneur.

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VERLAINE (Paul). Poème autographe. 20 vers et 4 vers de variante ; ratures et corrections. Pièce de vers publiée en 1893 sous le n° IX dans le recueil Odes en son honneur, dont le titre ici mentionné en marge de la main de Paul Verlaine. « ... S’il arrive que tu me battes, Soufflètes, égratignes, tu Es le maître dans nos pénates, Et moi le cocu, le battu, [« Je vais content étant ta chose », en partie biffé et corrigé en] Suis content et vois tout en rose... » Version présentant des variantes avec le texte définitif imprimé, notamment une réécriture des 4 derniers vers de la dernière strophe. À la fin de sa vie, Paul Verlaine entretint des relations tumultueuses avec deux anciennes prostituées, Eugénie Krantz et Philomène Boudin dite « Esther ». Elles lui inspirèrent de nombreux poèmes de ses derniers recueils, dont ceux d’Odes en son honneur.

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