Null PRÉVERT (Jacques). 
Manuscrit autographe AVEC DESSIN ORIGINAL EN COULEURS. …
Description

PRÉVERT (Jacques). Manuscrit autographe AVEC DESSIN ORIGINAL EN COULEURS. Une p. grand in-folio (42 x 27 cm sur vélin), texte et dessin aux feutres noir et de couleurs et aux pastels gras, quelques notes à la plume et à l’encre noire. Éphéméride pour un « Jeudi », où se lisent différents noms : Brunet, Lasky, Bauer, etc. Il est illustré d’une grande fleur multicolore (37 x 15 cm). LES EPHEMERIDES FLEURIS DE JACQUES PREVERT. À partir des années 1950, Prévert prit l’habitude de composer par lui-même des éphémérides lui tenant lieu d’agenda, sur de grands feuillets de papier soigneusement choisis : « Chaque matin, il utilisait une grande feuille blanche mais d’un merveilleux hollande de chez Lavrut, passage Choiseul, sur laquelle il dessinait une fleur haute en couleur près de laquelle il inscrivait ses rendez-vous et les prénoms ou surnoms des amis dont il attendait la visite » (Yves Courrière, Jacques Prévert. En vérité, Folio, 2000, p. 932). L’inventivité et les qualités esthétiques dynamiques que révèlent les dessins de ces fleurs illustrent à nouveau cette réflexion de Picasso à Prévert : « Tu ne sais pas peindre ni dessiner, mais tu es peintre ».

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PRÉVERT (Jacques). Manuscrit autographe AVEC DESSIN ORIGINAL EN COULEURS. Une p. grand in-folio (42 x 27 cm sur vélin), texte et dessin aux feutres noir et de couleurs et aux pastels gras, quelques notes à la plume et à l’encre noire. Éphéméride pour un « Jeudi », où se lisent différents noms : Brunet, Lasky, Bauer, etc. Il est illustré d’une grande fleur multicolore (37 x 15 cm). LES EPHEMERIDES FLEURIS DE JACQUES PREVERT. À partir des années 1950, Prévert prit l’habitude de composer par lui-même des éphémérides lui tenant lieu d’agenda, sur de grands feuillets de papier soigneusement choisis : « Chaque matin, il utilisait une grande feuille blanche mais d’un merveilleux hollande de chez Lavrut, passage Choiseul, sur laquelle il dessinait une fleur haute en couleur près de laquelle il inscrivait ses rendez-vous et les prénoms ou surnoms des amis dont il attendait la visite » (Yves Courrière, Jacques Prévert. En vérité, Folio, 2000, p. 932). L’inventivité et les qualités esthétiques dynamiques que révèlent les dessins de ces fleurs illustrent à nouveau cette réflexion de Picasso à Prévert : « Tu ne sais pas peindre ni dessiner, mais tu es peintre ».

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