Null MALLARMÉ (Stéphane). 
Lettre autographe signée « Stéphane Mallarmé » [à Cat…
Description

MALLARMÉ (Stéphane). Lettre autographe signée « Stéphane Mallarmé » [à Catulle Mendès]. Paris, « samedi soir » [20 juillet 1872]. 3 pp. in-8. « Cher ami, y aurait-il moyen de faire, sans crever l’œil au maître, la petite chose suivante, au Rappel, extraire d’UN ARTICLE QUE JE PUBLIE, AUJOURD’HUI, A L’ILLUSTRATION, SUR L’EXPOSITION DE LONDRES, quelques lignes, celles relatives, par exemple, aux jardins anglais qui sont, maintenant, dessinés par l’ombre elle-même de Lenôtre. Ce passage le découvre aux yeux éblouis du lecteur : colonne première, au milieu du quatrième alinéa. Je voudrais, avant de revoir Marc, le père, lundi ou mardi, passer, devant lui, pour un monsieur considéré de ses confrères. C’est, somme toute, à L’Illustration qu’une fois installé, je pourrais faire des articles meilleurs que ce premier, où l’inquiétude se lit entre les lignes. IL Y A TANT, AU MOINS, A TENTER CETTE CHOSE : ESSAYONS. Merci, cher ami, que vous puissiez ou ne puissiez pas faire ceci... » Stéphane Mallarmé écrivit 6 articles sur l’Exposition internationale de Londres, parmi lesquels 4 publiés d’octobre 1871 à juillet 1871, dont un dans L’Illustration le 20 juillet 1872.

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MALLARMÉ (Stéphane). Lettre autographe signée « Stéphane Mallarmé » [à Catulle Mendès]. Paris, « samedi soir » [20 juillet 1872]. 3 pp. in-8. « Cher ami, y aurait-il moyen de faire, sans crever l’œil au maître, la petite chose suivante, au Rappel, extraire d’UN ARTICLE QUE JE PUBLIE, AUJOURD’HUI, A L’ILLUSTRATION, SUR L’EXPOSITION DE LONDRES, quelques lignes, celles relatives, par exemple, aux jardins anglais qui sont, maintenant, dessinés par l’ombre elle-même de Lenôtre. Ce passage le découvre aux yeux éblouis du lecteur : colonne première, au milieu du quatrième alinéa. Je voudrais, avant de revoir Marc, le père, lundi ou mardi, passer, devant lui, pour un monsieur considéré de ses confrères. C’est, somme toute, à L’Illustration qu’une fois installé, je pourrais faire des articles meilleurs que ce premier, où l’inquiétude se lit entre les lignes. IL Y A TANT, AU MOINS, A TENTER CETTE CHOSE : ESSAYONS. Merci, cher ami, que vous puissiez ou ne puissiez pas faire ceci... » Stéphane Mallarmé écrivit 6 articles sur l’Exposition internationale de Londres, parmi lesquels 4 publiés d’octobre 1871 à juillet 1871, dont un dans L’Illustration le 20 juillet 1872.

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Mallarmé, StéphaneLes Poésies de Stéphane Mallarmé. Bruxelles. Avec une gravure de Félicien Rops. Bruxelles, Edmond Deman, 20 février 1899. reliure en maroquin jaune citron avec titre doré. Bords intérieurs richement doublés de multiples filets dorés. Signé par l'auteur : Gruel. Dans un étui doublé. (Dos légèrement décoloré, peu de frottements). Rops, Félicien Mallarmé, Stéphane Les Poésies de Stéphane Mallarmé. Bruxelles. Avec une gravure de Félicien Rops. Bruxelles, Edmond Deman, 20 février 1899. Reliure en maroquin jaune citron reliée à la main avec titre doré. Bords intérieurs richement doublés de multiples filets dorés. Signé par l'auteur : Gruel. Dans un étui doublé. (Dos un peu décoloré, un peu frotté). Exsteens 526 - Mascha 894 - Talvart/Place XIII, 120, 5 B. - En partie Première édition. Mallarmé envisagea en 1888 de publier les Poésies dans une seconde édition. Cependant, ses nombreuses réserves en retardèrent l'exécution, qui n'eut lieu qu'après sa mort. La dernière édition des Poésies fut publiée par le poète lui-même. Elle contient quinze pièces inédites et révisées, ainsi qu'une bibliographie des publications de l'auteur, établie par lui-même. Prévue depuis 1891, l'édition n'a été imprimée que quelques mois après la mort de Mallarme, en raison de ses retards. Préparée par le poète d'après les textes de l'édition photolithographiée de 1887, elle contient ses dernières adaptations et quatorze nouvelles pièces. Imprimée en italique, en rouge et en noir, et ornée d'un remarquable frontispice de Félicien Rops intitulé "La Grande Lyre", cette édition constituait une œuvre d'art en soi. La gravure sur zinc à l'état 6 (Exsteens) ou 10 (Mascha), sans les remarques et signée à gauche dans la plaque et portant la mention "Ad Astra". - En bon état de conservation. Avec une gravure de Félicien Rops. Reliure en maroquin citron jaune à la main avec titre en application. Bords intérieurs avec une riche doublure de multiples filets dorés. Signé : Gruel. (épine légèrement décolorée, légèrement frottée). Dans un coffret à glissières. En partie première édition. Mallarmé envisageait de publier les Poésies dans une seconde édition en 1888, mais ses nombreuses réserves ont retardé sa réalisation, qui n'a eu lieu qu'après sa mort. La dernière édition des Poésies a été publiée par le poète lui-même. Elle comprend quinze pièces inédites et révisées ainsi qu'une bibliographie des publications de l'auteur, qu'il a compilée lui-même. L'édition, prévue depuis 1891, n'a pas été imprimée jusqu'à plusieurs mois après sa mort en raison des retards de Mallarme. Elle a été préparée par le poète à partir des textes de l'édition photolithographiée de 1887 et contient ses dernières adaptations et quatorze nouvelles pièces. Imprimée en italique, en rouge et en noir et ornée d'un remarquable frontispice de Félicien Rops intitulé "La Grande Lyre", cette édition était une œuvre d'art à part entière. La gravure au zinc en 6e (Exsteens) et 10e (Mascha) état respectivement, sans les remarques et signée et inscrite "Ad Astra" dans la plaque à gauche. - Bien conservé.