Description
MONET (Claude). Lettre autographe signée à Gustave Geffroy. Giverny, 5 juillet 1899. 2 pp. in-8, en-tête imprimé à son adresse, liseré de deuil, enveloppe conservée. « Mon cher ami, c’est de tout cœur que je vous adresse ces trois cents francs, heureux de participer à votre bonne action, et puisque je vous sais à Paris, je vous réitère ma prière de venir passer une journée à Giverny. Vous m’y trouverez en plein travail. Ça n’a pas été tout seul, n’ayant pas travaillé depuis 18 mois, je n’y étais plus du tout et IL M’A FALLU AVOIR BIEN DE LA VOLONTE POUR CONTINUER CAR JE NE FAISAIS QUE DES COCHONNERIES. Enfin, je ne lâche [pas] et commence un peu à m’y retrouver... Y a-t-il longtemps que nous nous sommes vus, venez donc sans tarder, vous nous ferez un grand plaisir. À vous d’amitié... »
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MONET (Claude). Lettre autographe signée à Gustave Geffroy. Giverny, 5 juillet 1899. 2 pp. in-8, en-tête imprimé à son adresse, liseré de deuil, enveloppe conservée. « Mon cher ami, c’est de tout cœur que je vous adresse ces trois cents francs, heureux de participer à votre bonne action, et puisque je vous sais à Paris, je vous réitère ma prière de venir passer une journée à Giverny. Vous m’y trouverez en plein travail. Ça n’a pas été tout seul, n’ayant pas travaillé depuis 18 mois, je n’y étais plus du tout et IL M’A FALLU AVOIR BIEN DE LA VOLONTE POUR CONTINUER CAR JE NE FAISAIS QUE DES COCHONNERIES. Enfin, je ne lâche [pas] et commence un peu à m’y retrouver... Y a-t-il longtemps que nous nous sommes vus, venez donc sans tarder, vous nous ferez un grand plaisir. À vous d’amitié... »
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