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LA BRUYERE : Les Caractères. Paris, Panckoucke, 1765 ; in-4, veau jaspé et orné. Reliure de l'époque

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LA BRUYERE : Les Caractères. Paris, Panckoucke, 1765 ; in-4, veau jaspé et orné. Reliure de l'époque

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VOLTAIRE (François-Marie Arouet dit). Lettre signée « V » [à l’imprimeur-libraire genevois Gabriel Cramer]. S.l., [octobre 1767]. Une p. 1/3 in-4, trace de cachet en marge. BELLE LETTRE CONCERNANT PLUSIEURS EDITIONS DE SES ŒUVRES. « Ce monde-cy, à ce que je vois depuis longtemps, est une guerre perpétuelle. Mon cher Caro doit savoir comme j’ai traitté L’EDITION DE DUCHENE "AU TEMPLE DU GOUT" OU DU DEGOUT, et comme j’ai dit et redit, imprimé et réimprimé que L’EDITION DE CET IGNORANT ETAIT DETESTABLE. Sa veuve, qui n’en sait pas plus qu’il n’en savait, a fait une nouvelle édition in-12 conforme à celle de mon cher Caro. Dieu veuille qu’elle soit exacte. Je ne sais si la Duchêne et ses associés ont pris un privilège. Tout ce que je puis faire et dire, c’est que je ne reconnais d’autre édition que celle de mon cher Caro et celles qui lui seront conformes. Je certifierai que l’édition de Panckoucke est parfaitte, quoique je ne l’aie point vue. Ledit Panckoucke doit être parfaittement instruit de l’édition de LA HENRIADE et des pièces de théâtre par Duchêne, lequel Duchêne n’a jamais su que j’aie fait d’autres ouvrages. Je crois que son édition est in-12 et qu’elle n’a pas l’insolence de braver un in-4° qui est fait pour les bibliothèques. On m’a dit que Mr de Sartines [Antoine de Sartine, lieutenant général de Police de Paris] favorisait beaucoup l’ami Pankouke. C’est tout ce que j’en sçais. Je ferai d’ailleurs tout ce que mon cher Caro voudra... » Il évoque ici les imprimeurs-libraires parisiens Nicolas-Bonaventure Duchesne (dont la veuve Marie-Antoinette Cailleau reprit les activités en 1765) et Charles-Joseph Panckoucke.