Null [CURIOSA] ANONYME [Paul Perre] – Le roman de mon alcôve 
 Chez feu la Veuve…
Description

[CURIOSA] ANONYME [Paul Perre] – Le roman de mon alcôve Chez feu la Veuve Giroud, très connue au Palais Royal, 1890 – Vraisemblablement une des premières éditions de ce très rare ouvrage érotique publié anonymement et attribuable à Paul Perret. Reliure d’époque en demi-percaline toilée orange, à coins, pièce de titre de maroquin bleu au dos, titre et auteur en lettres dorées. Belle impression sur papier vergé exempt de rousseurs, cet exemplaire est exceptionnellement enrichi d’une suite de 6 eaux-fortes très libres, d’une main sûre et expérimentée dans le genre, l’artiste n’a pas pu être identifié de manière certaine mais il pourrait s’agir de Frédillo (pseudonyme de Louis-Alfred Boisserand), dont on connaît une suite d’eaux-fortes dans le même goût pour le Roman de Violette. Aucun exemplaire n’a pu être identifié avec cette suite. « L'un des spécimens les plus caractéristiques de la littérature galante à la fin du Second Empire » / « Le Roman de mon alcôve, dont la première édition semble remonter à 1869, constitue avec Un été à la campagne, L'Ecole des biches et Le Roman de Violette, l'un des spécimens les plus caractéristiques de la littérature galante à la fin du Second Empire. (...) Ardente, chaude au déduit, aimant à évoquer « les minutes heureuses » et point bégueule, une jeune femme, à l'intention de son amant qui la lui a demandée, écrit la confession de sa vie sexuelle » (Préface signée Gustave Colline, pseudonyme de Pierre Dufay). In-12, 123pp

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[CURIOSA] ANONYME [Paul Perre] – Le roman de mon alcôve Chez feu la Veuve Giroud, très connue au Palais Royal, 1890 – Vraisemblablement une des premières éditions de ce très rare ouvrage érotique publié anonymement et attribuable à Paul Perret. Reliure d’époque en demi-percaline toilée orange, à coins, pièce de titre de maroquin bleu au dos, titre et auteur en lettres dorées. Belle impression sur papier vergé exempt de rousseurs, cet exemplaire est exceptionnellement enrichi d’une suite de 6 eaux-fortes très libres, d’une main sûre et expérimentée dans le genre, l’artiste n’a pas pu être identifié de manière certaine mais il pourrait s’agir de Frédillo (pseudonyme de Louis-Alfred Boisserand), dont on connaît une suite d’eaux-fortes dans le même goût pour le Roman de Violette. Aucun exemplaire n’a pu être identifié avec cette suite. « L'un des spécimens les plus caractéristiques de la littérature galante à la fin du Second Empire » / « Le Roman de mon alcôve, dont la première édition semble remonter à 1869, constitue avec Un été à la campagne, L'Ecole des biches et Le Roman de Violette, l'un des spécimens les plus caractéristiques de la littérature galante à la fin du Second Empire. (...) Ardente, chaude au déduit, aimant à évoquer « les minutes heureuses » et point bégueule, une jeune femme, à l'intention de son amant qui la lui a demandée, écrit la confession de sa vie sexuelle » (Préface signée Gustave Colline, pseudonyme de Pierre Dufay). In-12, 123pp

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