2 pistolets XIXe.
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2 pistolets XIXe.

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SORBIER, Jean-Joseph-Augustin (Général). Deux lettres autographes signées adressées à Monsieur Dupont, maître de poste à Venise. 1. Milan, 4 mars 1802Bifolio in 4to. 248x185 mm. Texte sur une page. Adresse et cachet en relief sur la quatrième page. Lui demande d'acheter des chevaux : "3 chevaux à ma disposition à Mestre". 2. Milan, 12 marsBifolio in 4to. 250x204 mm. Texte sur deux pages. Adresse et cachet en relief sur la quatrième page. "Je compte sur deux chevaux de votre façon mon cher Dupont, faites-les soigner à Stra ou à Mestre, montez-les pour les essayer, faites-les tirer des pistolets et des canons aux oreilles. Si vous pouvez en avoir trois dressés, endurcis au feu, légers, avec une belle bouche et quatre jambes.... achetez-les et achetez-les vite. J'arriverai avec des palefreniers, de l'argent, des selles, des pistolets. Et à chaque victoire que nous remporterons, à chaque charge de cavalerie, je penserai à vous et vous enverrai des choux gras, des remerciements et des comptes-rendus de batailles qui vous mettront l'eau à la bouche. Le cousin du prince vous remettra la lettre, c'est un jeune homme sympathique qui n'a pas encore baisé depuis son départ d'Espagne. C'est une honte. Il faut qu'il lâche son premier coup dans une gondole...." SORBIER, Jean-Joseph-Augustin (Général). Deux lettres autographes signées adressées à Monsieur Dupont, maître de poste à Venise. 1. Milan, 4 mars 1802Bifolio in 4to. 248x185mm. Texte sur une page. Il lui demande de lui acheter des chevaux : "3 chevaux à ma disposition à Mestre". 2. Milan, 12 marsBifolio in 4to. 250x204mm. Texte sur deux pages. Adresse et cachet en relief sur la quatrième page : "Je compte sur deux chevaux de votre façon mon cher Dupont, faites-les soigner à Stra ou à Mestre, montez-les pour les essayer, faites-les tirer des pistolets et des canons aux oreilles. Si vous pouvez en avoir trois dressés, endurcis au feu, légers, avec une belle bouche et quatre jambes.... achetez-les et achetez-les vite. J'arriverai avec des palefreniers, de l'argent, des selles, des pistolets. Et à chaque victoire que nous remporterons, à chaque charge de cavalerie, je penserai à vous et vous enverrai des choux gras, des remerciements et des comptes-rendus de batailles qui vous mettront l'eau à la bouche. Le cousin du prince vous remettra la lettre, c'est un jeune homme sympathique qui n'a pas encore baisé depuis son départ d'Espagne. C'est une honte. Il doit lâcher son premier coup dans une gondole...."