Null Moka kina, Province des Western Highlands, Population Melpa, Mont Hagen
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Description

Moka kina, Province des Western Highlands, Population Melpa, Mont Hagen Papouasie Nouvelle-Guinée Grande nacre d'huitre perlière, pigment, fibre d'orchidée ocre rouge, résine, bambou. Hauteur: 34.5cm L'origine du Moka Kina serait associée aux danses de préparation au combat, cet ornement de poitrine ou pectoral était traditionnellement porté par les hommes lors de certains festivals dans la vallée de Wihgi, dans les hautes terres occidentales de Nouvelle-Guinée. La coquille du kina, qui est un élément important de ce dispositif, est très appréciée. De forme circulaire, la couleur ocre rouge intense, magnifie la nacre écrue épousant la forme d'un croissant.

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Moka kina, Province des Western Highlands, Population Melpa, Mont Hagen Papouasie Nouvelle-Guinée Grande nacre d'huitre perlière, pigment, fibre d'orchidée ocre rouge, résine, bambou. Hauteur: 34.5cm L'origine du Moka Kina serait associée aux danses de préparation au combat, cet ornement de poitrine ou pectoral était traditionnellement porté par les hommes lors de certains festivals dans la vallée de Wihgi, dans les hautes terres occidentales de Nouvelle-Guinée. La coquille du kina, qui est un élément important de ce dispositif, est très appréciée. De forme circulaire, la couleur ocre rouge intense, magnifie la nacre écrue épousant la forme d'un croissant.

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HESSELN (Robert de): Dictionnaire universel de la France contenant la description géographique & historique des provinces, villes, bourgs & lieux remarquables du royaume ; l'état de la population actuelle, de son clergé, de ses troupes, de sa marine, de ses finances, de ses tribunaux, & des autres parties du gouvernement : ensemble l'abrégé de l'histoire de France, divisée sous les trois races de nos rois ; des détails circonstanciés sur les productions du sol, l'industrie & le commerce des habitans ; sur les dignités & les grandes charges de l'Etat ; sur les offices de la judicature & emplois militaires ; ainsi que sur ceux de toutes les autres branches de l'administration. Avec un grand nombre de tables qui rassemblent, sous un même coup d'oeil, les divers districts ou arrondissemens du gouvernement ecclésiastique, civil & militaire. Paris, Desaint, 1771. 6 volumes. 10,5 par 16,5 cm. XVI-664; (4)-680; 675; (4)-714; (4)-659; (4)-645-(2) pages. Plein veau de l'époque, dos 5 nerfs ornés, pièce de titre rouge. Petits défauts mineurs (une coiffe usée, quelques coins légèrement émoussés, trois petits trous de ver sur les reliures). Quelques rousseurs, traces discrètes d'humidité, intérieur convenable. Edition originale. Conlon 71 : 1021 ; INED 2270. Robert de Hesseln, ingénieur géographe et censeur royal, fut à l'origine d'un projet de cadastre qui ne vit jamais le jour. Il donne ici un remarquable aperçu excessivement détaillé, outre la partie géographique, de tout ce qui peut être considéré comme administratif. Importante source documentaire.

Asie. Manuscrit en langue Lolo de la province du Sichuan en Chine (près de Mapien). [2] ff. vierges, [10] ff. manuscrits à l'encre noire, [14] ff. vierges, sur papier fin, [1] f. de couverture de papier noir, le tout enroulé et placé dans un étui tube avec un petit croissant de soie brochée avec rubans vert et rose. Dim. des feuillets déroulés : 50 x 22,5 cm. Les Yi sont un groupe ethnique de Chine. Leur ancien nom, Lolo ou Luóluǒ (倮倮, luóluǒ, « dénudé »), est maintenant considéré comme péjoratif en Chine, mais est toujours utilisé de façon officielle au Viêt Nam (Lô Lô) et en Thaïlande (Lolo, โล-โล), où il ne revêt pas cette signification dans la langue locale. On dénombrait 7,8 millions d'individus en 20002, qui représentent le sixième plus grand groupe ethnique des 56 officiellement identifiés par la république populaire de Chine. Ils vivent principalement dans des secteurs ruraux du Sichuan, du Yunnan (notamment Xian autonome yi d'Eshan), du Guizhou et du Guangxi, habituellement dans des régions montagneuses. Les Yi parlent une langue tibéto-birmane, le yi, dont il existe de nombreuses variétés et qu'ils écrivent avec le syllabaire yi. Les noms Lolo, Lolopu, etc. sont reliés à la vénération des tigres parmi les Yi ; dans leurs dialectes, le mot « lo » signifie « tigre ». « Lo » est aussi la base du nom chinois pour le groupe, Luóluó (猓猓, 倮倮, ou 罗罗). Les Yi sont des descendants du peuple antique des Qiang de l'ouest de la Chine, peuple que l'on pense être l'ancêtre des peuples tibétain, naxi et qiang actuels. Ils ont émigré du sud-est du Tibet au Sichuan et dans la province de Yunnan, où la majorité de leur population réside maintenant. Au Xve siècle, une petite partie de l'ethnie Lolo s'est installée dans la région du Tonkin (actuel Vietnam). On compte aujourd'hui deux sous-groupes au Vietnam : les Lolos Fleuris vivant dans les districts de Méo Vac et Dong Van (Province de Ha Giang) et les Lolos Noirs vivant dans le district de Bao Lac (Province de Cao Bang). En 1726, sous la dynastie Qing, l'officier mandchou, Ortai tente d'abolir le système des tusi dans sa politique de réforme de gouvernance. En 1730, lors d'un de ses rapports à l'empereur Yongzheng, il lui fait remarquer que les populations sont fidèles aux officiers natifs, mais pas à l'autorité chinoise. Plus de 30 000 Yi ont ainsi été abattus dans la petite ville de Mitie. À Wumeng, Dongchuan, Zhenxiong, les peuples des minorités ethniques et les migrants chinois ont été tués par 20 000 militaires conduits par Ortai. Un grand nombre de Yi se sont alors échappés dans les monts Liangshan au Sichuan. (source Wikipédia.)