Null Gustave Le Gray (1820-1884)
Camp de Châlons, 1857.
La musique des sapeurs…

Description

Gustave Le Gray (1820-1884) Camp de Châlons, 1857. La musique des sapeurs et les voltigeurs de la Garde impériale. Le campement. Deux (2) épreuves sur papier albuminé, d’après négatifs verre au collodion humide, dont une (1) contrecollée sur carton. Tampon-signature du photographe à l’encre rouge en bas à droite (1). 29,5x35,5 et 28,5x36,5 cm

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Gustave Le Gray (1820-1884) Camp de Châlons, 1857. La musique des sapeurs et les voltigeurs de la Garde impériale. Le campement. Deux (2) épreuves sur papier albuminé, d’après négatifs verre au collodion humide, dont une (1) contrecollée sur carton. Tampon-signature du photographe à l’encre rouge en bas à droite (1). 29,5x35,5 et 28,5x36,5 cm

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Estim. 2 000 - 4 000 EUR

Peter BERGHEIM, Photographe amateur actif au Moyen-Orient dans les années 1860 à 80, élève de Gustave Le Gray Album : Vues de Jérusalem et ses environs, vers 1865 37.5 x 48.5cm Note : - Album comprenant 43 épreuves sur papier albuminés d'après négatif papier, contrecollées sur carton, titrés au crayon sur carton, dont un panorama composé de 3 tirages et une gravure à partir de photographie. Veuillez demander les rapports de condition avant la vente : ils ne sont pas intégrés dans les fiches.

Estim. 8 000 - 11 000 EUR

Le Brick au clair de lune vers 1856 Gustave Le Gray (1820-1884) épreuve sur papier albuminé à partir d'un négatif verre au collodion 41,5 x 32,2 cm Etat : quelques pliures et salissures 1 exemplaire au Musée d'Orsay Présentés lors des mêmes expositions qui, des deux côtés de la Manche, ont captivé le monde de la photographie en 1857, les études de Marville et le célèbre Brick de Le Gray (divulgué l'année précédente à Londres) témoignent de deux manières différentes d'appréhender une même difficulté, celle du rendu des ciels en photographie, à partir des possibilités nouvelles offertes par le procédé au collodion. L'un de ses inventeurs, technicien hors pair et pédagogue très actif, Le Gray n'avait d'ailleurs eu qu'à sous-titrer fièrement son épreuve Marine avec nuages obtenus simultanément pour créer la sensation, voire l'incrédulité. Au-delà de la prouesse revendiquée d'avoir été obtenue à partir d'une seule prise de vue, cette marine, réalisée en 1856 sur la côte normande, s'impose avec la force d'un tableau photographique de grande dimension. Son auteur, élève du peintre Delaroche, est pénétré de la tradition picturale, qu'il interprète avec une sensibilité proche d'un Courbet (ampleur du cadrage, frontalité radicale, accent sur la ligne d'horizon...). Cette communauté de vision est du reste confirmée par la spectaculaire série de Vagues immortalisées l'année suivante sur la côte méditerranéenne : fugacité du motif oblige, la recherche du "sublime de l'art" passe alors par la combinaison, au tirage, de deux négatifs complémentaires, l'un pour la mer, l'autre pour le ciel.

Estim. 3 000 - 4 000 EUR

« Mer Méditerranée — Cette. No 10. » Port de Cette. 1857 Gustave Le Gray (1820-1884) épreuve sur papier albuminé à partir d'un négatif verre au collodion 41,2 x 30 cm Etat : quelques pliures et salissures 1 exemplaire à la BNF, Paris La ligne de chemin de fer de Bordeaux à Sète est inaugurée dans sa totalité le 2 avril 1857. Ce jour-là, chacun des frères Pereire prit un train, Isaac au départ de Sète et Émile au départ de Bordeaux, les deux se retrouvant à la gare de Toulouse. Gustave Le Gray est vraisemblablement missionné par le tout nouvel hebdomadaire Le Monde illustré afin de rapporter des photographies qui doivent servir de modèles aux graveurs. À cette occasion, Le Gray réalise plusieurs vues du port de Sète (orthographié Cette à l'époque). Les photos de Sète datent d'avril ou mai 1857. Le joli brick (non identifié) au premier plan, qui semble bien lège, nous offre à voir sa carène doublée de cuivre. Derrière, le navire Orient. À gauche, l'église Saint-Louis (1703).

Estim. 3 000 - 4 000 EUR

« Mer Méditerranée — Cette. No 10. » Port de Cette. 1857 Gustave Le Gray (1820-1884) épreuve sur papier albuminé à partir d'un négatif verre au collodion 41,2 x 30 cm Etat : quelques pliures et salissures 1 exemplaire à la BNF, Paris La ligne de chemin de fer de Bordeaux à Sète est inaugurée dans sa totalité le 2 avril 1857. Ce jour-là, chacun des frères Pereire prit un train, Isaac au départ de Sète et Émile au départ de Bordeaux, les deux se retrouvant à la gare de Toulouse. Gustave Le Gray est vraisemblablement missionné par le tout nouvel hebdomadaire Le Monde illustré afin de rapporter des photographies qui doivent servir de modèles aux graveurs. À cette occasion, Le Gray réalise plusieurs vues du port de Sète (orthographié Cette à l'époque). Les photos de Sète datent d'avril ou mai 1857. Le joli brick (non identifié) au premier plan, qui semble bien lège, nous offre à voir sa carène doublée de cuivre. Derrière, le navire Orient. À gauche, l'église Saint-Louis (1703).

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