Null USA
Liner USM1
Bombe synthétique repeinte en olive drab après-guerre, deux …
Description

USA Liner USM1 Bombe synthétique repeinte en olive drab après-guerre, deux bandes à la peinture dorée et décalcomanie de chaque coté dont l'une de l'USATCI, quelques manques à la coiffe, marquage fabricant au fond de la bombe WW2 et après Liner qui dû resservir après-guerre pour les élèves officiers d'une Université US

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USA Liner USM1 Bombe synthétique repeinte en olive drab après-guerre, deux bandes à la peinture dorée et décalcomanie de chaque coté dont l'une de l'USATCI, quelques manques à la coiffe, marquage fabricant au fond de la bombe WW2 et après Liner qui dû resservir après-guerre pour les élèves officiers d'une Université US

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Une paire de petites têtes en terre cuite. Probablement avant 400 après J.C., Falasha, (Beta Israël), Ethiopie. H 8cm, avec des yeux bombés, une coiffure élaborée, surtout chez la dame, avec des tresses parallèles et des traces de matériel archéologique. Les Falasha, les juifs noirs , sont un petit groupe ethnique d'Éthiopie qui pratique une foi juive vortalmudiste (la Mishna et le Talmud leur sont inconnus) ; leur nom vient probablement du verbe éthiopien fåläsä, qui signifie émigrer. La plupart d'entre eux, qui vivaient à l'ouest, au nord et à l'est du lac Tana, ont été expulsés vers Israël après la guerre civile. Les Falasha ne sont probablement pas des juifs ethniques, mais une partie de la population des premiers Agau convertie au judaïsme par des juifs yéménites. Il y avait également des peuples sabéens du sud de l'Arabie qui ont migré vers l'Éthiopie, qui ont supplanté ou absorbé les Agau et qui, entre le 3e et le 7e siècle après J.-C., se sont installés en Éthiopie. Il n'est donc pas surprenant que le style artistique des Falasha, qui s'exprime par de petites têtes et des figures en terre cuite, ne soit pas différent des premières sculptures de la péninsule arabique ; une tête découverte à l'époque aksumite, qui a peut-être été utilisée comme fermeture d'une amphore, montre également exactement ce style. Des têtes similaires sont représentées dans : K.-F. Schaedler, Erde und Erz (1997) n° 599, p.30 et dans le même, Encyclopedia of African Art and Culture (2009), p. 220. Intacte. Provenance : Ex Galerie Dogon, Monika Edelmaier, Berlin.

Prusse, Guerre Franco-Prussienne 1870-1871. Casque de cuirassier troupe modèle 1867. Bombe se finissant en queue de homard à onze rivets laiton, visière en « escalier », l'ensemble avec petite patine grise. Le pourtour de la bombe est bordé d'un jonc en laiton. Pointe conique en acier escamotable reposant sur une base ovale en laiton, fixée à la bombe à l'aide de quatre vis et écrous carrés en laiton. Plaque à l'aigle au modèle fixée sur la bombe à l'aide de 2 deux vis et écrous carrés en laiton et rondelles acier (rondelles postérieures). Jugulaires à quinze écailles bombées doublées de cuir et rosaces mobiles en laiton retenues à la bombe à l'aide de vis à tête arrondie fendue en fer et d'un écrou non débouchant en fer. Complètes de leur système de fixation en cuir et boucle à ardillon permettant de les attacher ensemble. Cocarde troupe en métal estampée aux couleurs de la Prusse noir et blanc de 67 mm de diamètre, au modèle. Complet de sa coiffe intérieure en cuir marron à 8 dents de loup. Marquage de taille 58 estampée sur le côté droit. (Usure et accidents d'usage, casque restauré anciennement, manque un rivet de fixation de la visière sur la bombe sur le côté gauche, un rivet laiton de fixation de la nuquière remplacé d'époque par un rivet plat en cuivre, manque une vis de fixation de l'embase de la pointe sur la bombe, une vis de fixation du revers de la plaque dessoudée, le blanc de la cocarde repeint anciennement, quelques repeints anciens au vert de la forme intérieure de la visière. Assez bon état de conservation).