Null PEUL et TOUAREG, NORD MALI, MAURITANIE, NIGER, XIXème siècle
Ensemble de 10…
Description

PEUL et TOUAREG, NORD MALI, MAURITANIE, NIGER, XIXème siècle Ensemble de 10 bracelets, 3 d’entre eux amovibles et 4 avec têtes octogonales. Métal argentifère patiné par l’usage et le temps. H. 6,5 à 10,5 cm.

23 

PEUL et TOUAREG, NORD MALI, MAURITANIE, NIGER, XIXème siècle Ensemble de 10 bracelets, 3 d’entre eux amovibles et 4 avec têtes octogonales. Métal argentifère patiné par l’usage et le temps. H. 6,5 à 10,5 cm.

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

RARE PENDULE EN BRONZE XIXème Pendule en bronze patiné et doré représentant Napoléon Bonaparte à la bataille de Montereau avec son canon. Le cadran indique les heures en chiffres romains. À décor frontal, aux attributs militaires, avec l’aigle impérial, entouré d’une couronne de laurier. Époque premier quart du XIXe siècle. Mouvement à fil Dim : 50 x 40 x 16 cm vendu en l'état, le mouvement est en état de marche, prévoir une petite révision du mouvement. Vendu sur désignation HISTORIQUE: La 6e coalition contre Napoléon Entre décembre 1813 et avril 1814, la 6e coalition - formée par la Grande-Bretagne, la Russie, la Prusse, des états allemands de la Confédération du Rhin et de l'Autriche - mène une campagne en France contre l'Empire napoléonien. Le plan de la coalition est le suivant : l’armée de Bohême, dirigée par le prince Charles-Philippe de Schwarzenberg, marche contre Napoléon pour permettre à l’armée de Silésie, dirigée par le prince Gebhard Leberecht von Blücher, de prendre Paris. Jusqu'au 8 février 1814, les armées alliées progressent à l'est et au sud en direction de Paris. Les troupes napoléoniennes battent alors en retraite. Toutefois, la 6e coalition commet une erreur stratégique en dirigeant l’armée de Silésie au nord de la Marne et l’armée de Bohême au sud de la Seine. Une succession de victoires françaises se déroule alors sur le territoire de la Marne (10-14 février 1814) puis de la Seine-et-Marne et de l'Aube (15-26 février 1814).

Cavalier sur une panthère. Culture Batak, île de Sumatra, Indonésie. XIXème siècle. Pierre calcaire. Provenance : Collection privée, Paris, France. Conservation : bon état. Présente deux lignes de cassure restaurées au niveau de la taille. Dimensions : 85 x 97 x 25 cm : 85 x 97 x 25 cm. Sculpture d'un cavalier chevauchant une panthère ou un shinga, probablement réalisée par la culture Toba, le groupe le plus nombreux du peuple Batak, au nord de Sumatra. Ces statues étaient généralement sculptées à l'effigie d'un chef. L'étrange animal jouant le rôle du destrier pouvait être une panthère ou un singha, un monstre hybride souvent représenté mi-reptile mi-buffle. Avant l'ère chrétienne, les prêtres-mages appelés datu réalisaient des sculptures en bois, ou parfois en pierre, pour leurs villages et leurs familles. La fonction de ces sculptures était toujours magique et religieuse, jamais simplement décorative. Chez les Batak, toutes les figures d'ancêtres, les créatures mythologiques et les objets rituels étaient sculptés exclusivement par les datu. Néanmoins, les sculptures étaient également très prisées pour leur beauté et conservées comme des objets sacrés dans les familles pendant de nombreuses générations. Les Batak sont l'un des peuples d'Indonésie. Leur région principale se situe au nord de Sumatra et leur centre au lac Toba. Avant leur pacification sous la domination coloniale hollandaise des Indes orientales, les Batak étaient connus pour être de féroces guerriers et des cannibales. Plus tard, le christianisme a été largement adopté et l'église batak est aujourd'hui la plus grande congrégation chrétienne d'Indonésie. La société batak est patriarcale et il existe un système de dot. La culture batak excelle dans le tissage, la sculpture sur bois et surtout dans les tombes en pierre ornées. Leur culture funéraire est très riche et complexe et comprend une cérémonie au cours de laquelle les ossements des ancêtres sont ré-enterrés plusieurs années après la mort. Les Batak parlent une variété de langues étroitement liées, toutes membres de la famille des langues austronésiennes. On pense que les ancêtres des Batak ont traversé l'océan Indien et colonisé Madagascar. Ce document est en bon état. Deux déchirures ont été restaurées au niveau de la taille.