Null Comte de FLEURIEU, Charles Pierre CLARET (Lyon/ Rhône 1738 - 1810) Ministre…
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Comte de FLEURIEU, Charles Pierre CLARET (Lyon/ Rhône 1738 - 1810) Ministre de la Marine 26 Oct 1790 au 17 Mai 1791 - Lettre signée FLEURIEU Le Ministre de la MARINE et des COLONIES par intérim (En-tête impr., M.F.) - Paris 21 Brumaire An 12 (13 Novembre 1803) - à l’Inspecteur de MARINE à ROCHEFORT - Il le prévient que le Premier Consul a nommé le Citoyen GACHOT au grade de Commissaire de la 2° Classe. “.. En conséquence le personnel de l’Inspection au Port de ROCHEFORT sera provisoirement composé des deux Sous-Inspecteurs...”

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Comte de FLEURIEU, Charles Pierre CLARET (Lyon/ Rhône 1738 - 1810) Ministre de la Marine 26 Oct 1790 au 17 Mai 1791 - Lettre signée FLEURIEU Le Ministre de la MARINE et des COLONIES par intérim (En-tête impr., M.F.) - Paris 21 Brumaire An 12 (13 Novembre 1803) - à l’Inspecteur de MARINE à ROCHEFORT - Il le prévient que le Premier Consul a nommé le Citoyen GACHOT au grade de Commissaire de la 2° Classe. “.. En conséquence le personnel de l’Inspection au Port de ROCHEFORT sera provisoirement composé des deux Sous-Inspecteurs...”

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[TAITBOUT]. Essai sur l’isle d’Otahiti, située dans la mer du sud ; et sur l’esprit et les mœurs de ses habitans. Avignon, Paris : Froullé, 1779. — In-8, 194 x 121 : frontispice, xxiv, 125 pp. Demi-veau marbré, dos lisse orné, tranches mouchetées rouges (reliure de l’époque). O’Reilly, Reitman, 9291. - R. du Rietz. Biblioth. Polynesia, 1271. Édition originale rare attribuée à Taitbout. Véronique Dorbe-Larcade, dans son ouvrage Ahutoru ou l’envers du voyage de Bougainville à Tahiti, affirme qu’il s’agit du juriste et polygraphe Jean-Baptiste Taitbout, alors que d’autres (sudoc) désignent Julien Taitbout, greffier de l’Hôtel de Ville de Paris. « L›auteur, en disciple fervent de Montesquieu, s›empare des observations rapportées par les découvreurs de Tahiti, Cook et Bougainville, observations qu›il résume de manière impersonnelle, pour étudier la véritable nature de l›homme et rechercher quels enseignements on peut en tirer pour “opérer la révolution générale et tant désirée›”. La vie des indigènes reflète les conditions de leur milieu. Leur régime ne saurait subsister et l›arrivée des Européens leur sera fatale. » (O’Reilly, Bibliographie de Tahiti et de la Polynésie française, 9291). L’édition est illustrée d’un beau frontispice représentant une vue de l’île, gravé par Jean-Jacques Avril (1744-1831). Exemplaire en reliure de l’époque, provenant de la bibliothèque du Charles-Pierre Claret de Fleurieu (1738-1810), officier de marine, théoricien des sciences nautiques, membre de l’Institut et du Bureau des Longitudes. D’abord appelé Eveux de Fleurieu, il prit le nom de Claret de Fleurieu à la mort de son père. Garde de la Marine à Toulon en 1755, il participa à la guerre de Sept Ans puis reçut un congé pour mener des études scientifiques. Il suivit les leçons de l’horloger Berthoud dont il expérimenta les horloges en mer en 1768-1769 sur la frégate l’Isis. La relation de ce voyage, rédigée par Fleurieu et Pingré, fut publiée en 1773. Il devint inspecteur en second du dépôt des cartes et plans de la Marine et inspecteur adjoint de l’Académie de Marine en 1776. L’année suivante, il fut nommé directeur des ports et arsenaux. Il prépara à l’intention du ministre de la Marine les plans de campagne pour la guerre d’Amérique, prit part à la création du port de Cherbourg et rédigea les instructions pour le voyage de La Pérouse. Il devint ministre de la Marine en 1790. Pour vivre, il vendit sa bibliothèque et sa collection de cartes et dirigea l’exécution du Neptune américo-septentrional publié par Bonne. Jusqu’à sa mort, il travailla au Neptune des mers du Nord. Fit partie du bureau des longitudes. Nommé conseiller d’État en 1799, il devint sénateur en 1805, puis administrateur du palais des Tuileries. [Sources : Data BNF]. Reliure habilement restaurée. Quelques traces de mouillures claires. Provenance : Charles-Pierre Claret de Fleurieu, avec ex-libris (1810, n° 1296)