Description
ROHAN (Ferdinand-Maximilien-Mériadec, de) Prince de Guéménée (1738-1813) Frère du Cardinal-Prince Louis de ROHAN - Archevêque de Bordeaux (1769); puis de Cambrai (1781); Régent de la Principauté de LIÈGE en 1790 - Premier Aumônier de l’Impératrice JOSÉPHINE – LETTRE A. S. “Ferd. de ROHAN Arch. duc de CAMBRAI” - Bruxelles (En EXIL) le 28 octobre 1793, à l’Hôtel de la Croix Blanche, rue de la Grecque - 1p grand in-8° - Adressée à M. l’Abbé DUVIVIER, Secrétaire de l’Archevêché de MALINES, ex-chanoine, chez son Éminence le Cardinal Archevêque au palais de MALINES. (Adresse) - beau cachet de cire noire: « j’ai appris, M., ces jours-ci que Monseigneur le Cardinal-archevêque de Malines venait d’inviter les églises de son Diocèse à porter ou faire porter à l’Hôtel des monnaies les argenteries des églises qui se trouveraient inutiles pour le service divin ou cassées, ou trop vieilles; le Souverain en paiera la rente, ce sacrifice est pour la défense de notre Sainte Religion et de nos privilèges constitutifs, ainsi c’est parfaitement bien fait...»
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ROHAN (Ferdinand-Maximilien-Mériadec, de) Prince de Guéménée (1738-1813) Frère du Cardinal-Prince Louis de ROHAN - Archevêque de Bordeaux (1769); puis de Cambrai (1781); Régent de la Principauté de LIÈGE en 1790 - Premier Aumônier de l’Impératrice JOSÉPHINE – LETTRE A. S. “Ferd. de ROHAN Arch. duc de CAMBRAI” - Bruxelles (En EXIL) le 28 octobre 1793, à l’Hôtel de la Croix Blanche, rue de la Grecque - 1p grand in-8° - Adressée à M. l’Abbé DUVIVIER, Secrétaire de l’Archevêché de MALINES, ex-chanoine, chez son Éminence le Cardinal Archevêque au palais de MALINES. (Adresse) - beau cachet de cire noire: « j’ai appris, M., ces jours-ci que Monseigneur le Cardinal-archevêque de Malines venait d’inviter les églises de son Diocèse à porter ou faire porter à l’Hôtel des monnaies les argenteries des églises qui se trouveraient inutiles pour le service divin ou cassées, ou trop vieilles; le Souverain en paiera la rente, ce sacrifice est pour la défense de notre Sainte Religion et de nos privilèges constitutifs, ainsi c’est parfaitement bien fait...»
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