Null [Contre-culture] [Presse underground] Journaux de squat, Kraakrant + Laatst…
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[Contre-culture] [Presse underground] Journaux de squat, Kraakrant + Laatste waarschuwing (1) Kraakrant. Environ 60 numéros différents, années 1970 et 1980. (2) Laatste waarschuwing. 20 numéros var., années 1980. -et 11 var. autres. Quelques doublons. (total env. 91)

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[Contre-culture] [Presse underground] Journaux de squat, Kraakrant + Laatste waarschuwing (1) Kraakrant. Environ 60 numéros différents, années 1970 et 1980. (2) Laatste waarschuwing. 20 numéros var., années 1980. -et 11 var. autres. Quelques doublons. (total env. 91)

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Réunion de 4 ouvrages 19ème sur le Paris curieux, en 5 volumes reliés: 1. TOURNEUX (Maurice): Paris au XVIIIe siècle. Les promenades à la mode. Eau-forte par Ad. Lalauze. Paris, Librairie des Bibliophiles, 1888. Un volume. 10,5 par 17,5 cm. 1 frontispice gravé-(4)-XV-(1)-112-(3) pages. Demi-maroquin glauque (c'est une couleur) de l'époque à coins, dos à nerfs orné, plats de la couverture conservés, tête dorée. Reliure signée Pierson. "Tiré à très petit nombre". Edition collective de pièces légères relatives aux moeurs parisiennes au XVIIIe siècle 2. BRAZIER (Nicolas): Histoire des petits théâtres de Paris depuis leur origine. Nouvelle édition, corrigée et augmentée de plusieurs chroniques. Paris, Allardin, 1838, 2 tomes en 1 volume. 8,5 par 14,2 cm. XVI-303-(1); (4)-264 pages. Demi-basane brune de l'époque. Quelques frottements, quelques rousseurs éparses. Pp. [247] à 264 du tome 2 : Catalogue des pièces de théâtre que Brazier a fait représenter à Paris, depuis l'année 1803 jusqu'en 1838, avec les noms de ses collaborateurs. 2e édition (E.O. : 1837). Laporte, Biblio. contemporaine II-6. "2e édition plus recherchée que la 1ère, elle est augmentée de quelques aventures assez lestes." (Laporte). 3. PRIVAT D'ANGLEMONT (Alexandre): 1) Paris anecdote. Paris, A. Delahays, s.d., 243 pp. ; 2) Paris inconnu. Précédé d'une étude sur sa vie par M. Alfred Delvau. Paris, Adolphe Delahays,1875, (4)-315 pp. + 1 portrait h.t. ; soit 2 ouvrages en 1 volume. 12 par 15,5 cm. Demi-percaline bleu ciel de l'époque, à coins, plats de la couverture conservés pour le second volume. Très bon état des deux tomes. Privat d'Anglemont, journaliste bohême, "a consacré nombre d'articles au Paris des petits métiers, des industries rares [...], parus dans les journaux, en particulier dans Le Siècle et réunis dans deux recueils : Paris anecdote (1854) et Paris inconnu (1861) [...]. Privat d'Anglemont explore Paris la nuit avec le même esprit d'aventure, le même appétit de découverte qu'on pourrait éprouver pour les pays plus lointains." (Jean-Pierre A. Bernard, Les deux Paris, les représentations de Paris dans la seconde moitié du XIXe siècle, pp. 200-201). 4. VEUILLOT (Louis): Les odeurs de Paris. Paris, Palmé, 1867. Un volume. 13,5 par 22,5 cm. , in-8 de XVI-498 pp. + 1 f. n.ch. (prospectus pour 2 ouvrages). Demi-chagrin brun de l'époque, dos 5 nerfs. Tout petits frottements, quelques rousseurs discrètes. Edition originale. P. Lacombe, n° 1144 ; Van Tieghem, p. 4071. «Véritable édition originale (et seule édition de ce format) de cet ouvrage célèbre qui fit comme on se le rappelle encore, tant de bruit dans Paris lors de son apparition. Les deux premiers livres consacrés à la presse, le troisième consacré aux divertissements parisiens (théâtres, cafés-concerts, etc.) suscitèrent les plus vives réclamations dans le monde et dans les journaux à cause des violences qu'il contenait [...]. Louis Veuillot a souvent peint ses personnages sous des noms supposés. On trouve Passionnard d'Auvergne (Jules Vallès), Eliassin Lupus (Albert Wolff), Amanda Pigeonnier (Marie Colombier), Passe-Partout (Adrien Marx), Lilia (George Sand) [...].» Un condensé de méchanceté érudite et réactionnaire…

Ecole du XIXe siècle d'après Ary Scheffer (1795 - 1858) Portrait en pied de Gilbert du Motier, marquis de La Fayette (1757-1834) Huile sur toile 51,5 x 40 cm Provenance : - Un appartement de l'Isle Saint Louis - Paris La tableau de Ary Scheffer est conservé dans la Collection de la Chambre des représentants des États-Unis, au Capitole. Un autre portrait en buste est conservé à la National Portrait Gallery, Washington. "L'artiste Ary Scheffer a offert ce portrait à la Chambre des représentants en l'honneur de la tournée américaine du général Lafayette de 1824 à 1825. Et ce n'était pas seulement un beau cadeau, c'était une véritable surprise. En janvier 1825, la Chambre des représentants a exposé sa nouvelle oeuvre d'art dans la rotonde du Capitole. Les journaux ont décrit le portrait comme « aussi grand que nature, et... le meilleur portrait que nous ayons jamais vu. Sa fidélité au vénérable original est, en effet, des plus admirables ». Le portrait resta dans la rotonde pendant les 13 mois de séjour de Lafayette aux États-Unis. Des artistes de tout le pays voulaient peindre son portrait. Ceux qui ne parvenaient pas à faire rester assis le général occupé firent des copies du portrait de la Chambre à la place. Chevalets et palettes de peinture encombraient la rotonde. Matthew Jouett, originaire du Kentucky, était l'un de ces artistes. La législature de l'État du Kentucky lui demanda de peindre Lafayette pour le Capitole. Jouett arriva à Washington, mais trop tard. Le général avait déjà quitté la ville, mais il avait laissé derrière lui un message disant qu'il avait une solution. Jouett pouvait peindre une copie du portrait de la Chambre, et lorsque la tournée de Lafayette arriverait dans le Kentucky, il donnerait au jeune homme une heure de temps avec lui pour « corriger » sa version. Lafayette savait à quel point le portrait de la Chambre était utile. Sa disponibilité, associée au fait qu'il savait qu'il s'agissait de son image préférée, en ont fait un objet extrêmement populaire. Lafayette lui a donné un public encore plus large en distribuant des gravures du portrait partout où il allait. Les imprimeurs locaux en ont fait des copies piratées pour toutes sortes de souvenirs imaginables. Le portrait a même été utilisé sur la monnaie. Tous les graveurs de monnaie qui approvisionnaient les banques américaines avaient les images de Lafayette à la disposition de leurs clients, et le portrait a été utilisé par les banques de 27 États. Un demi-siècle après que sa ferveur révolutionnaire l'a amené en Amérique, Lafayette est revenu pour devenir le premier dignitaire étranger à s'adresser au Congrès du pays et à apparaître sur la monnaie du pays." (https://history.house.gov/Blog/Detail/15032391921) Lors de ce voyage aux Etats Unis en 1824/1825 La Fayette est accueilli à plusieurs reprises par la Société des CINCINNATI. Bibliographie : - August Levasseur (trad. Alan R. Hoffman), Lafayette en Amérique en 1824 et 1825 (Manchester, NH : Lafayette Press, 2006). - Marc H. Miller, « La tournée d'adieu de Lafayette et l'art américain », dans Lafayette, héros de deux mondes (Hanover, NH : University Press of New England, 1989).