André GIDE (1869-1951). L.A.S., Roquebrune 13 novembre 1935, à José David; 1page…
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André GIDE (1869-1951). L.A.S., Roquebrune 13 novembre 1935, à José David; 1page in-8, enveloppe. «Cher Camarade, Je tiens à vous dire et à ce que vous sachiez la profonde joie et le réconfort que m’apporte votre excellente lettre. Votre sympathie trouve écho dans mon cœur»...

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André GIDE (1869-1951). L.A.S., Roquebrune 13 novembre 1935,

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André GIDE (1869-1951) Lettre autographe à Raymond Bonheur, signée. Paris, le 18 novembre 1932 2 pages in 8vo, 210x135 mm. Lettre sur papier à en-tête avec son adresse à Paris, signée et datée "18 nov. 32". Une photo avec portrait est jointe. L'écrivain vient de lire, les larmes aux yeux, la lettre de Bonheur, son grand ami. Tout de même, en passant un jour à Paris, quel plaisir me feriez-vous en venant sonner à ma porte ! Si bousculé que je sois par la vie, je me sens parfois très seul, certaines affections du passé n'ont jamais été remplacées ". [Mais si un jour vous passiez par Paris, quel plaisir vous me feriez en sonnant la cloche ! Autant je suis poussé par la vie, autant je me sens parfois très seul, certaines affections passées n'ont jamais été remplacées".] Le musicien Raymond Bonheur, neveu du peintre Rosa, recevait souvent Gide à Magny-les-Hameaux (où l'école porte son nom). Il mit en musique "Les Elégies" de Gide. Gide écrivit un bel hommage à Bonheur à sa mort et leur correspondance fut publiée. 2 pages in 8vo, 210x135 mm. Lettre sur papier à en-tête avec son adresse à Paris, signée avec la date "18 nov. 32". Une photo avec un portrait est jointe. L'écrivain vient de lire, les larmes aux yeux, la lettre de Bonheur, son grand ami : "Tout de meme, en passant un jour à Paris, que de plaisir me feriez-vous en venant sonner à ma porte ! Si bousculé que je sois par la vie, je me sens parfois très seul, certaines affections du passé n'ont jamais été remplacées ". [Mais si un jour vous passiez par Paris, quel plaisir vous me feriez en sonnant la cloche ! Autant je suis poussé par la vie, autant je me sens parfois très seul, certaines affections passées n'ont jamais été remplacées".] Le musicien Raymond Bonheur, petit-fils du peintre Rosa, recevait souvent Gide à Magny-les-Halameux (l'école lui est d'ailleurs dédiée). Il mit en musique les Elégies de Gide. Gide a écrit un bel hommage à Bonheur à sa mort et leur correspondance a été publiée.