Description
Guillaume APOLLINAIRE (1880-1918). 2 poèmes autographes, [1911]; demi-page grand in-8 (au dos, en-tête et vignette de l’Hôtel zu den vier Jahreszeiten München). Sur Mme Edvard D.r.ks. Distique inédit inspiré par l’épouse du peintre norvégien Edvard Diriks (1855-1930), célébré à plusieurs reprises par Apollinaire dans ses chroniques d’art, notamment comme «Peintre du vent» (1er mai 1908). «Anna sur sa cavale écumante et fleurie Passe dans l’air glacé comme une Walkyrie». Sur M. C..l.n. Amusant quatrain publié sous le titre Sur un magistrat, à la fin d’une chronique de La Vie anecdotique (Mercure de France, 16 juillet 1911), consacrée aux «impromptus de Jean Moréas», avec deux autres «impromptus qui m’avaient échappé»; le magistrat en question est Marcel Coulon (1873-1959), qui était aussi critique littéraire. «Coulon, sous-rival de Bartole Quoi qu’on dise, je le maintiens, Attache en dépit du Pactole Avec des saucisses ses chiens».
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Guillaume APOLLINAIRE (1880-1918). 2 poèmes autographes, [1911]; demi-page grand in-8 (au dos, en-tête et vignette de l’Hôtel zu den vier Jahreszeiten München). Sur Mme Edvard D.r.ks. Distique inédit inspiré par l’épouse du peintre norvégien Edvard Diriks (1855-1930), célébré à plusieurs reprises par Apollinaire dans ses chroniques d’art, notamment comme «Peintre du vent» (1er mai 1908). «Anna sur sa cavale écumante et fleurie Passe dans l’air glacé comme une Walkyrie». Sur M. C..l.n. Amusant quatrain publié sous le titre Sur un magistrat, à la fin d’une chronique de La Vie anecdotique (Mercure de France, 16 juillet 1911), consacrée aux «impromptus de Jean Moréas», avec deux autres «impromptus qui m’avaient échappé»; le magistrat en question est Marcel Coulon (1873-1959), qui était aussi critique littéraire. «Coulon, sous-rival de Bartole Quoi qu’on dise, je le maintiens, Attache en dépit du Pactole Avec des saucisses ses chiens».
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