DOSIERE Edouard "Une partie de la ville d' Amiens ( 80000)" traversée par le fle…
Description

DOSIERE Edouard

"Une partie de la ville d' Amiens ( 80000)" traversée par le fleuve la Somme. Pastel sur carton de 40 x 50 cm signé en bas à gauche. Frais de transport offerts pour la France métropolitaine. Le lot se trouve et sera envoyé du pays suivant : France. L’artiste est référencé dans la 23e édition du « Dictionnaire des Artistes Cotés du XVe siècle à nos jours » - Guid’Arts 2024. https://dosiere.dictionnairedesartistescotes.com

70 
Online

DOSIERE Edouard

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

[HEURES À L’USAGE DE PARIS]. [f. a1 r°] : Ces presentes heures a lusage de // Paris tout au long sans riens reque- // rir auecq[ue]s les gra[nd]s suffraiges ont este // nouuelleme[n]t imprimees a Paris pour // Guillaume eustace libraire iure de lu- // niversite de ladicte ville. [Paris : Gilles Cousteau pour Guillaume Eustace, 1513]. Colophon : Ces presentes heures au long sans // rien req[ue]rir avec ses gra[nd]s suffraiges // ont esté imprimees a paris par Gille // couteau Lan mil cinq cens et treize // Pour guillaume eustace libraire de-//moura(n)t en ladicte ville a la rue de la // iuisrie a l’e(n)seigne des deux sagittaires // ou au palais au troisiesme pillier. — In-8, 211 x 132 : (112 ff.) [sig. A-d8/4 e4 f-m8 A8 B-D4 E8]. Maroquin rouge, dentelle dorée aux petits fers sur les plats, dos à nerfs orné, roulette dorée intérieure, tranches dorées (reliure du XVIIIe siècle). Bohatta, n° 286, 287, 289. - Pas dans Lacombe qui cite cette édition mais décrit les heures d’Amiens (238), de Chartres (239) et de Rome (241). Rare livre d’heures imprimé sur peau de vélin par Gilles Cousteau pour le libraire parisien Guillaume Eustace. Ce dernier fit imprimer 4 livres d’heures cette même année 1513, celui-ci à l’usage de Paris, mais également à l’usage d’Amiens, de Chartres et de Rome. Une partie des cahiers est commune aux quatre ouvrages, seuls les cahiers a et e à m sont distincts et portent un repère, ici un « P » ou les lettres « Pa », pour Paris, à côté des signatures. L’édition comporte un calendrier pour 1512-1527, qui a été dans cet exemplaire, au verso du premier feuillet, gratté et modifié à la main à l’époque pour 1532-1547. Elle est illustrée de 35 BOIS GRAVÉS, comprenant la marque de Guillaume Eustace sur le premier feuillet, 18 grandes compositions et 16 petites. Exemplaire rubriqué et dont toutes les gravures ont été enluminées à l’époque. Chaque page comporte également un encadrement soit d’un listel doré entre deux traits rouges, soit architectural pour les pages avec les grandes gravures. Bel exemplaire en maroquin du XVIIIe siècle. Dos légèrement passé, frottements aux coiffes, aux nerfs et aux coins, quelques minimes griffures sur les plats. Deux premiers feuillets légèrement salis et rognés plus courts à la marge côté gouttière. Mouillures marginales aux premiers feuillets. Marge supérieure un peu courte avec atteintes aux encadrements peints, petits manques sans gravité à la peinture de la marque de Guillaume Eustace sur le premier feuillet.

École espagnole ; première moitié du XVIIe siècle. "Apparition en rêve de Jésus-Christ à saint Martin de Tours". Huile sur toile. Dimensions : 101 x 76,5 cm ; 110 x 87 cm (cadre). La figure de Jésus émerge d'une brèche de gloire dorée, flanquée d'anges. Le regard du Christ est dirigé vers le plan terrestre. Il ne pose pas le pied sur le sol, mais se tient sur des nuages, montrant ainsi son origine céleste. Dans la partie inférieure gauche, un soldat repose, endormi, totalement inconscient de la présence divine de Jésus-Christ. Ses vêtements de soldat, ajoutés à la présence du casque brillant au premier plan, indiquent qu'il s'agit de saint Martin de Tours. Saint Martin de Tours (Hongrie, 316 - France, 397) était un soldat de la garde impériale romaine. Après que le Christ lui est apparu, il quitte l'armée et se convertit, rejoignant les disciples de saint Hilaire de Poitiers. Plus tard, il sera nommé évêque de Tours. La légende la plus importante concernant sa vie se serait déroulée au cours de l'hiver 337, alors que Martin se trouvait à Amiens, toujours avec la garde impériale, il trouva aux portes de la ville un mendiant grelottant de froid. Le saint lui donne alors la moitié de son manteau, l'autre moitié ayant appartenu à l'armée romaine dans laquelle il servait. La nuit suivante, le Christ lui apparaît, vêtu du demi-manteau, pour le remercier de son geste. Martin de Tours est l'un des saints les plus populaires de la chrétienté. Il est le patron des soldats, mais aussi de la France et de la Hongrie, ainsi que de nombreuses villes de différents pays. En Amérique espagnole, il est notamment le saint patron de la ville de Buenos Aires, ainsi que de la Colombie, du Mexique, du Chili et du Guatemala. Selon une ancienne tradition, les premiers membres du gouvernement de Buenos Aires, l'année même de la fondation de la ville (1580), se sont réunis pour lui donner un saint comme protecteur et patron. San Martín fut choisi, mais les voisins refusèrent que leur saint patron soit un saint français, et l'élection fut donc répétée. Trois fois, le même nom revint, si bien que les habitants furent convaincus que c'était Dieu lui-même qui voulait ce saint patron.