RAUL MARCHISIO Vous avez toujours rêvé de monter dans l'un des bolides du "Profe…
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RAUL MARCHISIO

Vous avez toujours rêvé de monter dans l'un des bolides du "Professor" Raul Marchisio ? Mythique Ferarri F40, surpuissante Porsche Carerra GT ou incroyabkle Lamborghini Aventador SVJ… faites votre choix ! Une expérience unique à vivre une fois dans vie. Cette expérience unique se poursuivra par deux nuits à l'AC hotel de Nice.

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Austerlitz (campagne d'). – NAPOLÉON Ier. Pièce imprimée. Une p. petit in-folio. Célèbre proclamation aux soldats de la Grande armée datée du lendemain de la bataille d'Austerlitz, le 12 frimaire an XIV [3 décembre 1805]. « Soldats. Je suis content de vous. Vous avez à la journée d’Austerlitz, justifié tout ce que j’attendais de votre intrépidité ; vous avez décoré vos aigles d’une immortelle gloire. Une armée de cent mille hommes commandée par les empereurs de Russie et d’Autriche, a été en moins de quatre heures, ou coupée ou dispersée ; ce qui a échappé à votre fer s’est noyé dans les lacs. 40 drapeaux, les étendars de la Garde impériale de Russie, 120 pièces de canon, 20 généraux, plus de 30,000 prisonniers, sont le résultat de cette journée à jamais célèbre. Cette infanterie tant vantée, et en nombre supérieur, n’a pu résister à votre choc, et désormais vous n’avez plus de rivaux à redouter : ainsi en deux mois, cette troisième coalition a été vaincue et dissoute. La paix ne peut plus être éloignée ; mais, comme je l’ai promis à mon peuple avant de passer le Rhin, je ne ferai qu’une paix qui nous donne des garanties et assure des récompenses à nos alliés. Soldats, lorsque le peuple français plaça sur ma tête la couronne impériale, je me confiai à vous pour la maintenir toujours dans ce haut éclat de la gloire qui seul pouvait lui donner du prix à mes yeux ; mais dans le même moment, nos ennemis pensaient à la détruire et à l’avilir, et cette couronne de fer, conquise par le sang de tant de Français, ils voulaient m’obliger à la placer sur la tête de nos plus cruels ennemis : projets téméraires et insensés que, le jour même de l’anniversaire du couronnement de votre Empereur, vous avez anéantis et confondus. Vous leur avez appris qu’il est plus facile de nous braver et de nous menacer que de nous vaincre. Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre patrie, sera accompli, je vous ramènerai en France ; là vous serez l’objet de mes plus tendres sollicitudes ; mon peuple vous reverra avec des transports de joye ; il vous suffira de dire : j’étois à la bataille d’Austerlitz, pour que l’on réponde : voilà un Brave [...] »