Null Philippe DUFALGA, Paris puis Genève, probablement 1711-1794
Montre du derni…
Description

Philippe DUFALGA, Paris puis Genève, probablement 1711-1794 Montre du dernier quart du XVIIIe siècle en or jaune 18k (750 millièmes) ornée de touches d'émail bleu, finement gravée et ponctuée de petits diamants taille rose. Au dos, décor en émail bleu roi transparent sur gravure en guilloché concentrique. Applique d'un trophée figurant un instrument et une partition entourés de fleurs. Mouvement mécanique manuel à la clef (présente). Mouvement à échappement à verge, avec chaine, fusée. Chiffres arabes peints aux index, division minutes sur le haut du cadran. Platine signée, aiguilles poire de type Breguet. Bon état. Fonctionnelle lors de l'expertise. Poids brut: 75,1 g. On sait peu de choses sur Philippe Dufalga, parti de France avec son père, et devenu citoyen de Genève en 1745. Ses montres sont sans conteste de très belle facture et reconnues comme telles à la fin du XVIIIe siècle. Il semble avoir collaboré avec plusieurs firmes tant genevoises que françaises dans les montres de luxe qui sont exposées dans les plus grands musées dédiés à l’horlogerie.

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Philippe DUFALGA, Paris puis Genève, probablement 1711-1794 Montre du dernier quart du XVIIIe siècle en or jaune 18k (750 millièmes) ornée de touches d'émail bleu, finement gravée et ponctuée de petits diamants taille rose. Au dos, décor en émail bleu roi transparent sur gravure en guilloché concentrique. Applique d'un trophée figurant un instrument et une partition entourés de fleurs. Mouvement mécanique manuel à la clef (présente). Mouvement à échappement à verge, avec chaine, fusée. Chiffres arabes peints aux index, division minutes sur le haut du cadran. Platine signée, aiguilles poire de type Breguet. Bon état. Fonctionnelle lors de l'expertise. Poids brut: 75,1 g. On sait peu de choses sur Philippe Dufalga, parti de France avec son père, et devenu citoyen de Genève en 1745. Ses montres sont sans conteste de très belle facture et reconnues comme telles à la fin du XVIIIe siècle. Il semble avoir collaboré avec plusieurs firmes tant genevoises que françaises dans les montres de luxe qui sont exposées dans les plus grands musées dédiés à l’horlogerie.

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