DELPHINE BOËL ; Delfina de Saxe-Cobourg (Uccle, Belgique, 1968).

"Bla Bla Bla",…

Description

DELPHINE BOËL ; Delfina de Saxe-Cobourg (Uccle, Belgique, 1968). "Bla Bla Bla", 2013. Lumière néon. Exemplaire 1/7. Dimensions : 18 x 60 x 14,4 cm. Dans le langage de Delhphine Böel, les titres, les textes et les mots sont extrêmement importants et révélateurs. Pour l'artiste belge, née d'une liaison extraconjugale du roi émérite Albert II de Belgique, l'onomatopée "bla-bla-bla-bla" a d'abord fait allusion aux ragots et aux conversations du peuple. Mais en 2020, elle prend un nouveau sens : avant de poursuivre son père en justice, il peint une œuvre avec les mots "Bla, bla, bla, bla, bla" intitulée "Mon devoir de me taire". Depuis, la conjonction "Bla, bla, bla, bla" est devenue un élément régulier de sa production. Delphine Boël est une princesse officiellement reconnue depuis 2020 et une sculptrice belge. Elle est la fille extraconjugale du roi Albert II de Belgique et de la baronne Sibylle de Selys Longchamps. Elle a suivi une formation à la Chelsea School of Art de Londres (1991). Il a participé à de nombreuses expositions et manifestations internationales. Sélection d'expositions personnelles récentes : 2023 "Love Imperfection" Bicester Collection, Maasmechelen Village, Belgique 2022 "What Is to Come Is Better Than What Was" Fondation Linda et Guy Pieters, Saint-Tropez, France. 2021 "Je t'aime. No More Blabla". Galerie Guy Pieters, Knokke, Belgique 2020 "Attitude" Galerie Guy Pieters, Knokke, Belgique 2017 "NEVER GIVE UP" Musée d'Ixelles, Bruxelles, Belgique "Obsessed with Love" WM Gallery, Anvers, Belgique. Delphine a pratiqué une grande variété de techniques, et se définit comme une artiste de la couleur. En peinture, vidéo, sculpture et néon, ses œuvres sont vibrantes, ludiques et extravagantes. Expositions de groupe et foires : 2023 ORNAMENTUM - Artists' Jewellery Collection of Diane Venet, Fondation Boghossian, Bruxelles, 2022 "If Cloths Could Talk" Markiezenhof Museum, Bergen Op Zoom, Pays-Bas. Artiste invité spécial, Biennale d'Aardenburg, Aardenburg, Pays-Bas. 2021 "Bijoux D'Artistes - De Picasso a Koons" Diane Venet Collection, Grimaldi Forum, Monaco "Come What May" Aeroplastics, Bruxelles. 2020 "Claire-Obscure" Galerie Paul Janssen, St. Tropez, France 2019 "Habiter L'intime" Fondation Thalie, Bruxelles, Belgique. ART PARIS, Grand Palais, représenté par The Belgian Gallery.

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DELPHINE BOËL ; Delfina de Saxe-Cobourg (Uccle, Belgique, 1968). "Bla Bla Bla", 2013. Lumière néon. Exemplaire 1/7. Dimensions : 18 x 60 x 14,4 cm. Dans le langage de Delhphine Böel, les titres, les textes et les mots sont extrêmement importants et révélateurs. Pour l'artiste belge, née d'une liaison extraconjugale du roi émérite Albert II de Belgique, l'onomatopée "bla-bla-bla-bla" a d'abord fait allusion aux ragots et aux conversations du peuple. Mais en 2020, elle prend un nouveau sens : avant de poursuivre son père en justice, il peint une œuvre avec les mots "Bla, bla, bla, bla, bla" intitulée "Mon devoir de me taire". Depuis, la conjonction "Bla, bla, bla, bla" est devenue un élément régulier de sa production. Delphine Boël est une princesse officiellement reconnue depuis 2020 et une sculptrice belge. Elle est la fille extraconjugale du roi Albert II de Belgique et de la baronne Sibylle de Selys Longchamps. Elle a suivi une formation à la Chelsea School of Art de Londres (1991). Il a participé à de nombreuses expositions et manifestations internationales. Sélection d'expositions personnelles récentes : 2023 "Love Imperfection" Bicester Collection, Maasmechelen Village, Belgique 2022 "What Is to Come Is Better Than What Was" Fondation Linda et Guy Pieters, Saint-Tropez, France. 2021 "Je t'aime. No More Blabla". Galerie Guy Pieters, Knokke, Belgique 2020 "Attitude" Galerie Guy Pieters, Knokke, Belgique 2017 "NEVER GIVE UP" Musée d'Ixelles, Bruxelles, Belgique "Obsessed with Love" WM Gallery, Anvers, Belgique. Delphine a pratiqué une grande variété de techniques, et se définit comme une artiste de la couleur. En peinture, vidéo, sculpture et néon, ses œuvres sont vibrantes, ludiques et extravagantes. Expositions de groupe et foires : 2023 ORNAMENTUM - Artists' Jewellery Collection of Diane Venet, Fondation Boghossian, Bruxelles, 2022 "If Cloths Could Talk" Markiezenhof Museum, Bergen Op Zoom, Pays-Bas. Artiste invité spécial, Biennale d'Aardenburg, Aardenburg, Pays-Bas. 2021 "Bijoux D'Artistes - De Picasso a Koons" Diane Venet Collection, Grimaldi Forum, Monaco "Come What May" Aeroplastics, Bruxelles. 2020 "Claire-Obscure" Galerie Paul Janssen, St. Tropez, France 2019 "Habiter L'intime" Fondation Thalie, Bruxelles, Belgique. ART PARIS, Grand Palais, représenté par The Belgian Gallery.

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Estim. 20 - 30 EUR

Max Brüning, Tête de jeune fille Portrait d'une jeune fille aux longs cheveux de profil, gravure sur papier de Chine contrecollé, signée en plomb sous la représentation "Max Brüning", désignée et datée dans la plaque en bas à droite "Max Brüning Nord de la France 1916", défauts de conservation plus importants, encadrée sous verre, dimensions de la représentation env. 21 x 15,5 cm. Informations sur l'artiste : peintre allemand, graphiste, dessinateur et graveur (1887 Delitzsch à 1968 Lindau/Bodensee), a étudié à partir de 1902 à l'Académie de Leipzig avec Alois Kolb, plus tard élève de Peter Halm à Munich, en 1913 voyage d'étude en France, Belgique, Italie, Grèce, Asie Mineure et la Turquie, à partir de 1914 en tant qu'élève de Franz von Stuck à l'Académie de Munich, pendant la 1ère Guerre Mondiale, il a travaillé avec le peintre et l'artiste. Professeur de dessin du prince héritier Wilhelm de Prusse pendant la Seconde Guerre mondiale, travaille à Leipzig de 1918 à 1923, déménage à Berlin en 1923, son atelier y devient une curiosité très remarquée, il possède l'une des plus riches collections d'art d'origine asiatique, il devient le lieu de rencontre de personnalités nationales et étrangères du cinéma, de l'art, du sport et de la politique, après son mariage en 1935, il s'installe brièvement au bord de la mer Baltique et à Oberstdorf, à partir de 1938 à Igls près d'Innsbruck, en 1943 destruction d'env. 300 plaques de gravure par un bombardement à Berlin, 1945 expulsion d'Autriche en tant que citoyen allemand et installation à Lindau au bord du lac de Constance, dans les années 1950 voyages d'études en Espagne et au Tessin, 1963 accident de la route et fin de la création artistique, source : Vollmer, Dressler, Matrikel der Akademie München et Internet.

Estim. 150 - 225 EUR

Max Brüning, Demi-nu endormi Jeune femme endormie sur un canapé pendant la lecture d'un livre, en partie dénudée, eau-forte avec ton plat en vert foncé sur carton léger, vers 1920, signée en plomb à droite sous la représentation "Max Brüning", signée à nouveau dans la plaque, principalement brunie dans les marges et quelques minuscules taches, sous verre dans un support sans cadre, dimensions de la représentation environ 26 x 35,5 cm, dimensions de la feuille environ 36 x 44 cm. Informations sur l'artiste : peintre allemand, graphiste, dessinateur et graveur (1887 Delitzsch à 1968 Lindau/Bodensee), a étudié à partir de 1902 à l'Académie de Leipzig avec Alois Kolb, plus tard élève de Peter Halm à Munich, 1913 voyage d'étude en France, Belgique, Italie, Grèce, Asie mineure et la Turquie, à partir de 1914 en tant qu'élève de Franz von Stuck à l'Académie de Munich, pendant la 1ère Guerre Mondiale, il a travaillé comme peintre et graveur. Professeur de dessin du prince héritier Wilhelm de Prusse pendant la Seconde Guerre mondiale, travaille à Leipzig de 1918 à 1923, déménage à Berlin en 1923, son atelier y devient une curiosité très remarquée, il possède l'une des plus riches collections d'art d'origine asiatique, il devient le lieu de rencontre de personnalités nationales et étrangères du cinéma, de l'art, du sport et de la politique, après son mariage en 1935, il s'installe brièvement au bord de la mer Baltique et à Oberstdorf, à partir de 1938 à Igls près d'Innsbruck, en 1943 destruction d'env. 300 plaques de gravure par un bombardement à Berlin, 1945 expulsion d'Autriche en tant que citoyen allemand et installation à Lindau au bord du lac de Constance, dans les années 1950 voyages d'études en Espagne et au Tessin, 1963 accident de la route et fin de la création artistique, source : Vollmer, Dressler, Matrikel der Akademie München et Internet.

Estim. 400 - 500 EUR

FORBERG (Friedrich-Karl). Manuel d'érotologie classique. (De figuris veneris). Texte latin et traduction littérale par le Traducteur des Dialogues de Luisa Sigea [Alcide Bonneau]. Paris, pour Isidore Liseux et ses amis, 1882. 2 vol. in-8 maroquin fauve, dos lisse finement orné, titre et tomaison doré, mention "M.S. n°3" en lettres dorées en queue, bel encadrement de filets, guirlandes et fleurons dorées sur les plats, tête dorée, encadrement intérieur doré, couv. et dos conservés, sous étui commun à rebords (H. Capelle). Très rare édition originale tirée à seulement 100 exemplaires sur Hollande non mis dans le commerce. Très bel exemplaire. Avec le prospectus de la réédition de 1932. "Forberg, l'auteur de ce manuel, né à Menselwitz en 1770, mort en 1848 à Hildburghausen, était un adepte et un collaborateur de Fichte, avec lequel il a publié divers gros livres de philosophie transcendante. C'était en outre un fort savant humaniste et, en 1807, il fut nommé bibliothécaire du duc de Saxe-Cobourg. Pour se délasser de ses graves études, il édita, en 1824, l' Hermaphroditus de Beccadelli, surnommé le Panormitain, recueil d'épigrammes sans grande valeur littéraire, mais qui en emprunte au commentaire que Forberg y a joint, et surtout au traité "de figuris Veneris" dont il l'a fait suivre. C'est ce dernier ouvrage qui est publié, texte et traduction en regard, sous le titre de Manuel d'érotologie classique. Cet ouvrage forme le n°3 de ce curieux Musée secret du bibliophile imprimé par Liseux pour lui et ses amis. Ce manuel est bien la plus complète et la plus étourdissante anthologie érotique que l'on puisse concevoir par classification. Ch. Forberg, arrêtant la division de son ouvrage à huit chapitres spéciaux, semble avoir dressé l'échiquier des plaisirs humains physiques et antiphysiques connus et pratiqués, ainsi que de la prostitution depuis les temps les plus reculés. Impossible de se mouvoir et de sauter hors de cet échiquier ; tout y est prévu, tout s'y trouve, et l'imagination la plus exubérante comme dépravation y est faite mat comme un simple roi. De Sade aurait rugi, mais en vain, en se voyant enfermé dans la froide classification érudite de Forberg, où sont encloses toutes les manifestations de la fantaisie priapique. [...] " (Gay III, 23.)

Sandau, Ernst. Victoria Adelheid of Saxe-Cobourg-Gotha. Et : Carl Eduard of Saxe-Coburg-Gotha. Deux portraits. 1916. Photographies originales en couleur. Millésime de l'année. Gélatine argentée. Cadré dans le cadre. Le portrait de Carl Eduard avec le cachet du photographe, le portrait de Victoria Adelheid von Sandau signé de sa propre main. Les deux photographies sont accompagnées de la signature manuscrite et datée des parents. - Légèrement taché, sinon en bon état.

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