Null (OBJETS DE VITRINE ET CURIOSITÉ-METIER-COMPAGNON) - CHARPENTIER - [Souvenir…
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(OBJETS DE VITRINE ET CURIOSITÉ-METIER-COMPAGNON) - CHARPENTIER - [Souvenir de Compagnon Passant Charpentier du Devoir] - Vignettes compartimentées et légendées, séparées entre elles par des rinceaux fleuris peuplés d'allégories et les initiales des Soubises. Au centre, Bordeaux, et tout autour des images illustrant l'esprit du compagnonnage. En partie inférieure, trois apophtegmes, notamment: « Gloire, honneur au Compagnon, que de tous il soit respecté, partout germent sur son passage, Ordre, Travail & Charité ». - Lithographie colorée par J. Berot (inventeur et graveur) et inventeur) - Raphaël Ribière éditeur - Lithographie Kaepplin et cie.- Milieu du XIXème siècle - Dimensions feuillet : H : 606 x L : 748 mm / Sujet : H : 574 x L : 700mm. - Etat A-B: quelques rousseurs, jaunissement, déchirures marginales, accidents sur l'ensemble de l'oeuvre; elle a été restaurée et appliquée sur un papier fort.

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(OBJETS DE VITRINE ET CURIOSITÉ-METIER-COMPAGNON) - CHARPENTIER - [Souvenir de Compagnon Passant Charpentier du Devoir] - Vignettes compartimentées et légendées, séparées entre elles par des rinceaux fleuris peuplés d'allégories et les initiales des Soubises. Au centre, Bordeaux, et tout autour des images illustrant l'esprit du compagnonnage. En partie inférieure, trois apophtegmes, notamment: « Gloire, honneur au Compagnon, que de tous il soit respecté, partout germent sur son passage, Ordre, Travail & Charité ». - Lithographie colorée par J. Berot (inventeur et graveur) et inventeur) - Raphaël Ribière éditeur - Lithographie Kaepplin et cie.- Milieu du XIXème siècle - Dimensions feuillet : H : 606 x L : 748 mm / Sujet : H : 574 x L : 700mm. - Etat A-B: quelques rousseurs, jaunissement, déchirures marginales, accidents sur l'ensemble de l'oeuvre; elle a été restaurée et appliquée sur un papier fort.

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MARINO AMAYA (Astorga, León, 1927-Andalousie, 2014). Sans titre. Bronze patiné. Signé au burin en bas du dos. Dimensions : 12 x 5 x 5 x 5 cm (figure) ; 3 x 5,5 x 5,5 x 5,5 cm (base). Né à Astorga, Marino Amaya a été dans ses premières années berger, charpentier et tisserand, bien qu'à quinze ans seulement il ait obtenu sa première commande en tant que sculpteur, une statue de l'apôtre Saint-Jacques taillée dans la pierre. Il a commencé sa formation artistique à l'école des arts et métiers de Salamanque, où il a obtenu une bourse pour se rendre à Madrid en 1945, afin de poursuivre ses études. Quatre ans plus tard, en 1949, il entame un long voyage d'études qui le conduit en France, en Italie, en Autriche, en Hollande, au Danemark, en Norvège, en Suède, en Allemagne, en Grèce et, hors d'Europe, en Égypte et en Palestine. En 1950, Amaya retourne en Espagne et participe à l'exposition nationale des beaux-arts de Madrid, où il reçoit une médaille d'argent. Ce succès lui vaut en 1951 une importante commande de l'évêché de León, un monument grandiose dédié à l'Immaculée Conception. L'année suivante, il organise sa première exposition, qui a lieu à l'Association des écrivains et artistes de Madrid, et en 1954, il est présenté pour la première fois à León, lors d'une exposition organisée par le conseil provincial. Toujours au cours de cette décennie, il expose à l'Ateneo de Santander (1956) et au Musée romantique de Madrid (1957). Dans les années soixante, il travaille intensément, organisant également des expositions dans différentes capitales espagnoles, dans des centres tels que le Círculo de Bellas Artes de Madrid (1962). C'est également au cours de ces années qu'il fait le saut à l'international, en se présentant en 1961 à Rio de Janeiro. Il poursuivra sa carrière d'exposant dans les années soixante-dix et, en 1974, il est nommé fils préféré d'Astorga, ville dans laquelle une rue lui sera également dédiée. En 1981, il réalise une exposition exceptionnelle à la Zoma Gallery de New York, où quinze de ses œuvres sont acquises par la Fondation Rockefeller. La même année, il s'installe à Marbella, ville où il vivra et travaillera désormais, parallèlement à son atelier de Madrid. En 1985, le pape Jean-Paul II lui accorde une entrevue pour voir son œuvre "Le droit à la vie", qui est bénie par le Saint-Père et fait désormais partie de la collection du Vatican. Cette sculpture sera à l'origine d'une série d'œuvres qu'Amaya consacre à la vie des enfants. Les figures animales, en particulier les chiens et les chats, sont également très présentes dans son œuvre. C'est un sculpteur très engagé dans la sculpture publique, et aujourd'hui on peut trouver des œuvres de sa main dans des lieux publics de toute l'Espagne, ainsi qu'au musée Mateo Hernández de Béjar et dans d'autres collections publiques et privées.