Null Sceau-cylindre orné d'une scène agraire représentant un taureau tirant une …
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Sceau-cylindre orné d'une scène agraire représentant un taureau tirant une charrue. Un dieu à une rangée de cornes préside la scène. Dans le champ, deux oiseaux aux ailes déployées. Iconographie rare. Pierre marron. Mésopotamie, période d'Agadé. H : 3 cm

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Sceau-cylindre orné d'une scène agraire représentant un taureau tirant une charrue. Un dieu à une rangée de cornes préside la scène. Dans le champ, deux oiseaux aux ailes déployées. Iconographie rare. Pierre marron. Mésopotamie, période d'Agadé. H : 3 cm

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Sceau-cylindre babylonien avec roi et hommes-taureaux. Période Cassite, vers 1400-1100 av. J.-C. Avec trois personnages debout ; accompagné d'une ancienne note scientifique, dactylographiée et signée par W.G. Lambert, ancien professeur d'assyriologie à l'université de Birmingham, 1970-1993, qui stipule : "Sceau-cylindre en agate fauve, incolore et blanchâtre, 22,5 x 9 mm : Sceau-cylindre en agate fauve, incolore et blanchâtre, 22,5 x 9 mm. Le motif représente deux hommes-taureaux debout tenant entre eux un poteau-étalon surmonté d'une sorte de fleur de lys. L'inscription cunéiforme en langue babylonienne est la suivante : sa-ki-in (Que Dieu soit miséricordieux) / na4kisib an-ni (à celui qui est équipé) / ilum li-re-en-s[u] (avec ce sceau). Il s'agit d'un sceau babylonien de la période des Cassites, vers 1400-1100 av. J.-C. Il s'agit d'un motif rare pour cette période et l'inscription est peut-être unique. Le sceau est ébréché sur les bords et est assemblé à partir de deux morceaux sans perte de surface, dans une pierre attrayante. 2,8 grammes, 22 mm (7/8 in.). Recherché et catalogué par feu le professeur Lambert au début des années 1990. Provenant d'une collection acquise auprès de diverses maisons de vente aux enchères au Royaume-Uni. Provenant de la succession de M. R.W., collectionneur privé du Wiltshire, Royaume-Uni, puis par filiation. Accompagné d'une note originale dactylographiée et signée par feu W.G. Lambert, professeur d'assyriologie à l'université de Birmingham, 1970-1993. [Pas de réserve].

Sceau-cylindre dynastique précoce avec parade d'adoration. Vers 2550-2350 av. J.-C. Sceau-cylindre en hématite présentant deux registres horizontaux avec des parades cultuelles composées de prêtres masculins à longue robe portant des vêtements longs jusqu'aux chevilles, assis sur le trône en forme de tabouret, levant élégamment la main gauche pour tenir une coupe ; d'autres prêtres masculins en vêtements longs tenant un récipient contenant de l'eau bénite ou de l'huile, ou se tenant debout dans un geste solennel, les mains levées ou jointes devant la poitrine. 5,26 grammes, 32 mm (1 1/4 in.). Acquis dans les années 1990. Ex collection familiale de l'ouest de Londres. Propriété d'un gentleman de Bristol, Royaume-Uni. Les iconographies et les scènes religieuses figurant sur les sceaux du Dynastique ancien sont réputées pour leur élaboration plus poussée de scènes de combat, représentant généralement des héros nus affrontant des hommes-taureaux ou des lions rampants et rugissants. Cependant, les animaux et les héros n'ont pas été utilisés comme motifs favoris pendant la dernière partie de la période du Dynastique ancien. La popularité croissante de l'art funéraire et des banquets était largement répandue à Ur, comme en témoigne le grand nombre de sceaux-cylindres royaux portant des scènes de banquets ou de rois assis. Sur les sceaux-cylindres du Dynastique ancien, l'image d'un homme assis tenant une coupe ne peut pas toujours être interprétée comme celle d'une divinité en extension. Elle aurait pu suggérer l'identité d'un souverain dans une scène de banquet royal. Cependant, sur ce sceau, le vase sacré et les représentations d'adorateurs masculins indiquent une signification religieuse évidente. Dans la religion mésopotamienne traditionnelle, les rois séculiers auraient obtenu le pouvoir divin s'ils s'étaient unis à la déesse Inanna lors d'un mariage sacré. La coupe contenant de l'huile ou de l'onguent sacré, tenue dans la main du roi, a pu servir d'emblème pour signifier le rang élevé d'un roi déifié. Elle pourrait également avoir été utilisée comme une pratique religieuse alternative, reliant l'autorité séculaire et le pouvoir divin au cours de la période dynastique précoce.