Null Mary CASSATT (1844-1926). Françoise à la couture - 1909. Aquarelle sur papi…
Description

Mary CASSATT (1844-1926). Françoise à la couture - 1909. Aquarelle sur papier. Signé en bas à droite. 50,8 x 35,6 cm. Provenance : - Atelier de l’artiste - Collection Durand-Ruel Paris - Vente par Durand-Ruel, Paris, le 29 mai 1914 - Collection Mancini en 1917 - Vente Galerie Carpentier, Paris, du 13 juin 1958 (n° 5 du catalogue) - Vente Tajan, Paris, du 9 décembre 2008 (n° 14 du catalogue) - Vente Sotheby’s New York, du 6 octobre 2021 (n° 65 du catalogue vendu 35 000 dollars plus frais) - Collection privée. Bibliographie : - “Gazette de l’Hôtel Drouot du 20 juin 1958” (reproduit dans les résultats des ventes sous le titre “Fillette”) - “Mary Cassatt. A Catalogue Raisonné of the Oils, Pastels, Watercolors and Drawings” par Adelyn Dohme Breeskin, Washington, 1970 (reproduit sous le n° 660 p. 231). Expositions : - “Tableaux, Pastels, Dessins et Pointes-Sèches par Mary Cassatt”, Galerie Durand-Ruel, Paris, juin 1914 (n° 30 du catalogue sous le titre “Fillette” Note : Mary Cassatt est la plus célèbre peintre impressionniste américaine. Après des études aux Beaux-Arts de Pennsylvanie, elle arrive à Paris en 1865. Élève de Jean-Léon Gérôme, elle découvre l’impressionnisme à Barbizon. Le portrait, notamment celui d’enfant, demeurera son thème de prédilection, comme le prouve cette aquarelle de 1908, signée, intitulée Françoise à la couture, une œuvre préparatoire à la peinture répertoriée sous le numéro 538 du catalogue raisonné de l’artiste, “Françoise en vert cousant”. La petite fille nommée Françoise fut l’un des modèles favoris de la peintre à cette époque, qui le représenta dans plusieurs moments de sa vie quotidienne, comme ici en train de coudre. Non contente d’être une grande artiste, elle fut aussi un maillon essentiel dans le dialogue culturel franco-américain, et joua un rôle capital d’ambassadeur de l’Impressionnisme outre-Atlantique

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Mary CASSATT (1844-1926). Françoise à la couture - 1909. Aquarelle sur papier. Signé en bas à droite. 50,8 x 35,6 cm. Provenance : - Atelier de l’artiste - Collection Durand-Ruel Paris - Vente par Durand-Ruel, Paris, le 29 mai 1914 - Collection Mancini en 1917 - Vente Galerie Carpentier, Paris, du 13 juin 1958 (n° 5 du catalogue) - Vente Tajan, Paris, du 9 décembre 2008 (n° 14 du catalogue) - Vente Sotheby’s New York, du 6 octobre 2021 (n° 65 du catalogue vendu 35 000 dollars plus frais) - Collection privée. Bibliographie : - “Gazette de l’Hôtel Drouot du 20 juin 1958” (reproduit dans les résultats des ventes sous le titre “Fillette”) - “Mary Cassatt. A Catalogue Raisonné of the Oils, Pastels, Watercolors and Drawings” par Adelyn Dohme Breeskin, Washington, 1970 (reproduit sous le n° 660 p. 231). Expositions : - “Tableaux, Pastels, Dessins et Pointes-Sèches par Mary Cassatt”, Galerie Durand-Ruel, Paris, juin 1914 (n° 30 du catalogue sous le titre “Fillette” Note : Mary Cassatt est la plus célèbre peintre impressionniste américaine. Après des études aux Beaux-Arts de Pennsylvanie, elle arrive à Paris en 1865. Élève de Jean-Léon Gérôme, elle découvre l’impressionnisme à Barbizon. Le portrait, notamment celui d’enfant, demeurera son thème de prédilection, comme le prouve cette aquarelle de 1908, signée, intitulée Françoise à la couture, une œuvre préparatoire à la peinture répertoriée sous le numéro 538 du catalogue raisonné de l’artiste, “Françoise en vert cousant”. La petite fille nommée Françoise fut l’un des modèles favoris de la peintre à cette époque, qui le représenta dans plusieurs moments de sa vie quotidienne, comme ici en train de coudre. Non contente d’être une grande artiste, elle fut aussi un maillon essentiel dans le dialogue culturel franco-américain, et joua un rôle capital d’ambassadeur de l’Impressionnisme outre-Atlantique

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CASSATT (Mary). Lettre autographe signée à Achille Segard. Villa Angeletto à Grasse, « 31 décembre » [1912]. 3 pp. 1/2 in-12, liseré de deuil. « JE VIENS DE LIRE VOTRE ARTICLE SUR DEGAS [dans l’Écho de Paris], c’est M. Durand-Ruel qui me l’a donné [le marchand d’art Paul Durand-Ruel, proche des impressionnistes], il est en visite chez Renoir pour se remettre de la fatigue de la vente Rouart [les deux premières parties de la vente de la collection Rouart se déroulèrent du 9 au 18 décembre 1912, avec Paul Durand Ruel comme expert]. J’ai lu votre article avec beaucoup d’intérêt. Degas n’a jamais été prix de Rome, l’idée seule le ferait bondir... JE NE TROUVE PAS JUSTE DE DIRE QUE LES FEMMES... N’ONT PAS AIME SON ART. Le premier Degas qui est allé en Amérique a été acheté par une jeune fille, et j’en connais d’autres, et à la vente plusieurs femme[s] était parmi les acheteu[rs]. On aurait voulu l’être, seulement les prix ont été tellement au-dessus de ce qu’on a supposé qu’ils serai[en]t. Une amie a laissé un prix de 75000 fcs pour Les Modistes et ne l’a pas eu... Ici nous avons eu beaucoup de soleil, mais il m’a fallu du temps pour m’acclimater et je n’ai pas encore repris le travail... » La peintre Mary Cassatt, liée aux impressionnistes, fut une des rares à trouver grâce aux yeux critiques d’Edgar Degas : les deux artistes nouèrent une amitié non exempte d’orages en raison de leurs caractères bien trempés. L’écrivain, critique d’art et de littérature Achille Segard publierait en mai 1913 chez Ollendorff la première étude jamais publiée consacrée à Mary Cassatt : Un Peintre des enfants et des mères. Mary Cassatt.