Description
FRANCE ORDRE DE LA LÉGION D’HONNEUR Plaque d’habit de grand aigle de la Légion d’honneur du maréchal Oudinot duc de REGGIO. Etoile à cinq branches double, à pourtour en lamé d’argent et intérieur entièrement brodé de paillettes. Chaque branche double intercalée de cinq rayons en lamé d’argent. Centre bombé avec sur le pourtour traces de la broderie de fil noir de la devise « HONNEUR et PATRIE » et au centre un motif en argent à l’aigle impériale sur un petit fuseau de canetille. Doublure en papier (postérieure). Diamètre : 11 cm. A.B.E. (usures de port) Époque Premier Empire (1805-1814) Provenance : - Souvenirs du Maréchal OUDINOT, Hôtel Drouot (Piasa), vente du 4 décembre 2006, n°105, experts Messieurs Malvaux, Missilier et Palthey. -Collection Jean Louis Noisiez. Historique : Grand aigle depuis 1805, le maréchal eut la vie sauve grâce à une de ses plaques de la Légion d’honneur. A la bataille d’Arcis sur Aube (1814), sa plaque de Grand Aigle arrête une balle qui aurait dû être mortelle, le blessant légèrement. Il s'agit de sa trente-deuxième et dernière blessure de toute sa carrière militaire..
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FRANCE ORDRE DE LA LÉGION D’HONNEUR Plaque d’habit de grand aigle de la Légion d’honneur du maréchal Oudinot duc de REGGIO. Etoile à cinq branches double, à pourtour en lamé d’argent et intérieur entièrement brodé de paillettes. Chaque branche double intercalée de cinq rayons en lamé d’argent. Centre bombé avec sur le pourtour traces de la broderie de fil noir de la devise « HONNEUR et PATRIE » et au centre un motif en argent à l’aigle impériale sur un petit fuseau de canetille. Doublure en papier (postérieure). Diamètre : 11 cm. A.B.E. (usures de port) Époque Premier Empire (1805-1814) Provenance : - Souvenirs du Maréchal OUDINOT, Hôtel Drouot (Piasa), vente du 4 décembre 2006, n°105, experts Messieurs Malvaux, Missilier et Palthey. -Collection Jean Louis Noisiez. Historique : Grand aigle depuis 1805, le maréchal eut la vie sauve grâce à une de ses plaques de la Légion d’honneur. A la bataille d’Arcis sur Aube (1814), sa plaque de Grand Aigle arrête une balle qui aurait dû être mortelle, le blessant légèrement. Il s'agit de sa trente-deuxième et dernière blessure de toute sa carrière militaire..
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