Null ZEUGITANE - CARTHAGE 270-264 Monnayage siculo-punique du temps d’Hannibal
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Description

ZEUGITANE - CARTHAGE 270-264 Monnayage siculo-punique du temps d’Hannibal Tête de Tanit** à gauche, couronnée d'épis de blé, parée de boucles d’oreilles à triples pendants et d'un collier perlé à pendeloques. Grènetis. R/. Cheval libre debout à droite, détournant la tête vers la gauche. ♦ Muller (Afrique) 66 ; Jenkins et Lewis 390 ; SNG Copenhague 181 ; Jenkins & Lewis 390 Trihémistatère d'or équivalant à un statère éginétique. (12,40 g) Très rare. Très bel exemplaire. **Tanit était la divinité primaire de Carthage, une divinité céleste avec quelques aspects de fertilité, un équivalent nord-africain d’Astarté. Elle est toujours représentée sur la monnaie portant une couronne d’épis de blé empruntée à Déméter et Perséphone car les Carthaginois ont assimilé la culture sicilienne à la leur lors des diverses excursions puniques sur l’île. Sur le revers, le cheval, est également lié à la tradition carthaginoise. Selon l’Énéide de Virgile, les colons phéniciens qui ont fondé Carthage ont été invités par Junon (ou Tanit) à établir la nouvelle colonie à l’endroit où ils ont découvert une tête de cheval dans le sol.

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ZEUGITANE - CARTHAGE 270-264 Monnayage siculo-punique du temps d’Hannibal Tête de Tanit** à gauche, couronnée d'épis de blé, parée de boucles d’oreilles à triples pendants et d'un collier perlé à pendeloques. Grènetis. R/. Cheval libre debout à droite, détournant la tête vers la gauche. ♦ Muller (Afrique) 66 ; Jenkins et Lewis 390 ; SNG Copenhague 181 ; Jenkins & Lewis 390 Trihémistatère d'or équivalant à un statère éginétique. (12,40 g) Très rare. Très bel exemplaire. **Tanit était la divinité primaire de Carthage, une divinité céleste avec quelques aspects de fertilité, un équivalent nord-africain d’Astarté. Elle est toujours représentée sur la monnaie portant une couronne d’épis de blé empruntée à Déméter et Perséphone car les Carthaginois ont assimilé la culture sicilienne à la leur lors des diverses excursions puniques sur l’île. Sur le revers, le cheval, est également lié à la tradition carthaginoise. Selon l’Énéide de Virgile, les colons phéniciens qui ont fondé Carthage ont été invités par Junon (ou Tanit) à établir la nouvelle colonie à l’endroit où ils ont découvert une tête de cheval dans le sol.

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Livre "Il popolo de Nuraghi". 1965. Édition italienne. Cagliari 1965. Écrit par Marcello Serra. Dimensions : 31 x 35cm. La culture nuragique est apparue vers 1700 avant J.-C. en Sardaigne (à l'âge du bronze moyen) et s'est également répandue en Corse. Elle couvre une période allant de l'âge du bronze (à partir de 1700 av. J.-C.) à 238 av. J.-C., date de la conquête de l'île par la République romaine. Il doit son nom aux nuraghi, tours-forteresses caractéristiques dans lesquelles est appliqué le principe de la fausse coupole, originaire de la Méditerranée orientale. Les nuraghi sont les vestiges les plus éloquents et sont le fruit de l'évolution d'une culture mégalithique préexistante, bâtisseuse de dolmens et de menhirs. Les tours nuragiques sont unanimement considérées comme les monuments mégalithiques les plus grands et les mieux conservés d'Europe. Leur fonction fait l'objet de débats, certains y voyant des tombes monumentales, d'autres des forteresses, des fours pour la fonte des métaux, des prisons ou des temples de culte solaire. Il semble que l'on s'accorde aujourd'hui à les considérer comme des structures défensives comprenant des greniers et des silos. Peuple de guerriers et de navigateurs, les Sardes commerçaient avec les autres peuples méditerranéens et leur culture a produit non seulement les complexes nuragiques caractéristiques, mais aussi le mystérieux village de Tiscali, les énigmatiques temples de l'acqua sacra, les tombes des géants et les particulières statuettes de bronze nuragiques. Pendant longtemps, sa culture a cohabité avec d'autres civilisations étrangères à l'île, comme les Phéniciens, les Puniques et les Romains, sans être absorbée par elles. Signes d'utilisation et d'usure dus au passage du temps. Quelques dommages. Signes d'utilisation et d'usure dus au passage du temps. Quelques dégâts.