Stefano Magnasco MAGNASCO, STEFANO
Gênes 1635 - 1672

Titre : Lamentation du Chr…
Description

Stefano Magnasco

MAGNASCO, STEFANO Gênes 1635 - 1672 Titre : Lamentation du Christ. Grisaille. Technique : Aquarelle sur papier. Montage : Monté. Dimensions : 50,5 x 39 cm : 50,5 x 39cm. Encadrement : Encadré. Provenance : Collection Erich Schleier, Berlin ; Vente aux enchères, Sotheby's Londres, 5 juillet 2000, lot 184 (comme École génoise du XVIIIe siècle). Nous remercions Simonetta Prosperi Valenti, Rome, d'avoir confirmé l'attribution du présent tableau sur la base d'une photographie numérique à haute résolution et de nous avoir aidés à le cataloguer. Estimation des frais d'expédition pour ce lot : Arrangement après la vente aux enchères. Explications sur le catalogue Stefano Magnasco Baroque 17e s. Aquarelle / Dessins Encadré Passion du Christ Aquarelle

1063 

Stefano Magnasco

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

École espagnole des XVIIe et XVIIIe siècles. "Christ mort avec saint Jean et Marie-Madeleine". Pâte à papier. Vestiges de polychromie. Présente des défauts, marques d'usage et d'usure. Dimensions : 26 x 22 cm (irrégulier) ; 29 x 26 cm (cadre). Ce relief entièrement réalisé en pâte à papier représente le thème de la Lamentation devant le corps du Christ, thème associé à la Descente de Croix. La scène de la lamentation ou des pleurs sur le corps du Christ mort fait partie du cycle de la Passion, et s'intercale entre la Descente de Croix et la Sainte Mise au tombeau. Elle raconte le moment où le corps du Christ est déposé sur un linceul (dans d'autres cas, sur la pierre d'onction) et où sont disposés autour de lui, éclatant en lamentations et en sanglots, sa mère, saint Jean, les saintes femmes, Joseph d'Arimathie et Nicodème. Il s'agit d'un thème très émouvant, fruit de la piété populaire, qui concentre l'attention sur le drame de la Passion et la contemplation amoureuse et douloureuse, avec un sens réaliste et émouvant. À Byzance, et dans les représentations d'influence byzantine, la figure du Christ repose sur la dalle de l'onction, où son cadavre était parfumé et préparé à recevoir la sépulture, qui deviendra plus tard dans l'art italien un sépulcre. Cette scène n'apparaît pas dans les Évangiles, mais trouve son origine dans la littérature mystique et les textes religieux de piété, ainsi que dans ceux des confréries de flagellants.