Null ESSONNE. Seigneurie de VILLIERS-LE-BÂCLE. 1547. Copie d’un arrêt du Parleme…
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ESSONNE. Seigneurie de VILLIERS-LE-BÂCLE. 1547. Copie d’un arrêt du Parlement concernant un contrat d’échange entre les Religieux de Sainte-Croix de la Bretonnerie et les Seigneurs de Villiers-le-Bascle. Parchemin (59,5 x 52 cm).

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ESSONNE. Seigneurie de VILLIERS-LE-BÂCLE. 1547. Copie d’un arrêt du Parlement concernant un contrat d’échange entre les Religieux de Sainte-Croix de la Bretonnerie et les Seigneurs de Villiers-le-Bascle. Parchemin (59,5 x 52 cm).

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ÉCOLE DE CUZQUEÑA 18e siècle Notre Seigneur des Tremblements ou Tremblements de Taytacha Huile sur toile Dimensions 126,5 x 84 cm Ce tableau représente Notre Seigneur des Tremblements ou Tremblements de Taytacha. Le surnom dérive de l'union de deux mots en quechua : tayta qui signifie père ou seigneur et cha qui est un diminutif. Il s'agit d'un thème iconographique très populaire dans la peinture de Cusco, où l'on retrouve la véritable effigie de la sculpture du Christ crucifié qui se trouve dans la cathédrale de Cusco. La légende raconte que le début du culte remonte à 1650. Le 31 mai, un tremblement de terre frappa l'ancienne capitale de l'empire inca et pour arrêter les répliques qui dévastaient la ville, on décida de sortir en procession la sculpture du Christ qui, selon la tradition, avait été envoyée par Charles Quint lui-même. Selon les témoignages, le tremblement de terre s'est arrêté et la vénération des habitants de Cuzco pour cette image a commencé, jusqu'à aujourd'hui. Cette peinture reproduit une crucifixion à trois clous. Il s'agit d'un Christ portant les blessures de la Passion, au teint foncé, au corps musclé et mince et aux cheveux longs tombant sur l'épaule droite. Comme d'habitude, il apparaît vêtu d'une jupe courte à plis verticaux, serrée à la taille et réalisée en lin, mousseline, soie et dentelle. La croix est complétée par des coins lobés en argent et une courte poutre supérieure. La composition est complétée par les vases, les nœuds, les plumeaux, les vases, les candélabres et les fleurs qui décorent la scène. Parmi toutes ces fleurs, on remarque le ñucchu, une fleur rouge que les Incas utilisaient comme offrande aux dieux et qui, depuis le XVIIe siècle, est associée à la Taytacha. Bibliographie : - Querejazu Leyton, Pedro, "Le Seigneur des Tremblements de la Cathédrale de Cusco et sa représentation dans la peinture", in Tremblements de terre : Christs miraculeux dans l'art vice-royal sud-andin, Collection Joaquín Gandarillas Infante. Pontificia Universidad Católica de Chile, 2019. - Héctor H. Schenone, Iconographie de l'art colonial, Jésus-Christ. Argentine : Fundación Tarea, 1998. - Lámbarri Bracesco, Jesús, "Images de la plus grande vénération dans la ville de Cuzco : la sculpture au Pérou", dans El Culto Popular. Trésors de la cathédrale de Cusco, éd. Archevêché de Cusco : Direction décentralisée de la culture de Cusco. Lima, Editorial Fábrica de Ideas, 2013.