Null ESSONNE. Seigneurie de VILLIERS-LE-BÂCLE. 1547. Copie d’un arrêt du Parleme…
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ESSONNE. Seigneurie de VILLIERS-LE-BÂCLE. 1547. Copie d’un arrêt du Parlement concernant un contrat d’échange entre les Religieux de Sainte-Croix de la Bretonnerie et les Seigneurs de Villiers-le-Bascle. Parchemin (59,5 x 52 cm).

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ESSONNE. Seigneurie de VILLIERS-LE-BÂCLE. 1547. Copie d’un arrêt du Parlement concernant un contrat d’échange entre les Religieux de Sainte-Croix de la Bretonnerie et les Seigneurs de Villiers-le-Bascle. Parchemin (59,5 x 52 cm).

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[Macon] [manuscrit] LAPLATTE (Abbé François) : Mémoires pour servir à l'histoire sacrée et profane de Macon - Turpe est Atheniensem preregrinum esse - 1766. Un volume. 19 par 25,5 cm. (12)-564 pages, suivies d'une centaine de feuillets vierges. Cartonnage d'époque relié en papier marbré d'attente. Texte manuscrit sur papier bleuté, très lisible, avec quelques ratures, et des notes additionnelles en marge. Il est en parfait état. On joint une lettre manuscrite adressée à l'Abbé LAPLATTE, contenant une précision sur une note érudite de la terre de Leyne en 1363. Lettre adressée à Monsieur La Platte, ancien curé de l'hesne, près de l'église Saint-Pierre à Mâcon. Un manuscrit du même ouvrage se trouve à la Bibliothèque municipale de MACON, et a été transcrit dans le Hors-série N°2 des Etudes Mâconnaises en septembre 2017. Mais le manuscrit que nous présentons n'est pas une copie identique à celui transcrit. On peut supposer qu'il s'agit d'une première version du texte, repris et augmenté plus tard. Pour indice, le manuscrit détenu par la ville de MACON est daté de 1768, le nôtre de 1766. Notre manuscrit s'arrête vers la date de 1702, par un trait en bas de page le cloturant, pour les éléments qui y sont relatés, alors que le manuscrit transcrit va jusqu'aux débuts de la Révolution. Dans la préface, notre exemplaire cite Grégoire de Tours, et le Livre enchainé des archives de Saint-Vincent. Deux sources ignorées par le manuscrit de Macon, qui y ajoute, lui, Guillaume Paradin. Notre exemplaire est souvent moins détaillé que le texte retranscrit, et cela semble confirmer l'hypothèse d'une première version du texte. En voici un exemple : « Un des curés du diocèse qui remplit le mieux les pieuses vues de Mr Leveque fut Mr de Boisfranc curé de Bussières: voyez brochure ». dit notre exemplaire (page 456) « Un des curés qui remplit fort bien les saintes vues de Mr l'évêque fut monsieur de Bois Franc, curé de Bussières, qui ayant été luy même calviniste connoissoit mieux les erreurs du party. Son application à l'étude luy fit connoitre qu'il étoit dans un égarement déplorable ; il bénit Dieu de luy avoir dessillé les yeux, abjura généreusement ses erreurs et voulut comme un autre Paul défendre des vérités qu'il avoit si honteusement combattus. Il entra dans le clergé. On connut ses talents, et Bussières luy ayant été confié, il fit rentrer dans le sein de l'église un grand nombre de calvinistes. » est la version du manuscrit de 1768 (page 196 de sa transcription). Puis le texte se poursuit par un paragraphe, lui identique dans les deux manuscrits. On joint le Hors-Série N°2 des Etudes Mâconnaises où l'exemplaire de 1768 de l'Abbé LAPLATTE a été retranscrit. Un document unique et exceptionnel.

SOMME (80) / Archives familiales d’Albert DAUPHIN (Amiens 1827 – Argoeuves 1898, avocat bâtonnier d’Amiens, Premier Président de la Cour d’Appel d’Amiens, Maire d’Amiens de 1868 à 1873, Préfet de la Somme en 1871, puis Conseiller général d’Amiens, Président du Conseil général de la Somme, bref Député de la Somme mais Sénateur durant 12 ans, en outre Ministre des Finance durant 6 mois en 1887, une rue d’Amiens porte son nom): ces papiers concernent les familles Caumartin et Maressal côté maternel et de Sachy côté paternel / Quelques documents du 18ème (8) font référence à Jean Sachy, Seigneur d’Omécourt (son père fut le premier Echevin d’Amiens) dont on trouve la confirmation de noblesse sur parchemin faite à Amiens en 1698 (extrait des registres), il y est question également des Bultel et des Lepaige (inventaire du 3 octobre 1758 suite au décès d’Antoine Lepaige, bourgeois d’Amiens, ancien commissaire de police décédé qq jours plus tôt,28 sept, à Amiens en la Maison des Pères de l’Observatoire où il s’était retiré et dont on a la renonciation par sa fille de la succession - L’essentiel de ces archives appartient à la succession en 1823 de Jean François Philibert Maressal (arrière-grand-père côté maternel d’Albert Dauphin), gros propriétaire terrien de la région d’Amiens, avec notamment son testament (copie d’époque), les différents actes de succession (expéditions), d’importants cahiers de décomptes de fermages (10 forts cahiers), 3 gros livres de compte de 1820 de sa maison (avec reçus, lettres épinglés) et de tenues divers (coupes de bois), s’en suivent de nombreux actes de partages entre les héritiers – un fort dossier concernant la succession Maressal concerne Grévin Aîné, personnalité importante d’Amiens (auteur du plan d’Amiens et de la numérotation des rues), avec plus de 20 lettres autographes signées, relatives au Domaine de Bertaucourt (cy-devante abbaye qui fut achetée en biens natinaux) que Grévin doit arpenter et estimer – il y est question également de la succession de Jean-Henri Dauphin, père d’Albert – bel ensemble cohérent