Null Pierre LOTI : "Un pèlerin d'Angkor", La Taille Douce, Paris, 1946, d'après …
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Pierre LOTI : "Un pèlerin d'Angkor", La Taille Douce, Paris, 1946, d'après les aquarelles de François de Marliave, exemplaire ingre crème numérotée de 51 à 300, le nôtre n.184 (NC). Menus accidents. Emboitage décoloré et accidenté

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Pierre LOTI : "Un pèlerin d'Angkor", La Taille Douce, Paris, 1946, d'après les aquarelles de François de Marliave, exemplaire ingre crème numérotée de 51 à 300, le nôtre n.184 (NC). Menus accidents. Emboitage décoloré et accidenté

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Aquarelles réalisées par Jean-Paul ALAUX lors de son périple de huit mois en Polynésie en 1936-1937. Bibliographie : Christel Haffner Lance, Visions japonaises de Jean-Paul Alaux. Du Bassin d’Arcachon au Pacifique, Arcachon, La Librairie Générale, 2018 Nous remercions Madame Christel Haffner Lance pour les informations qu’elle nous aimablement communiquées sur ces dessins. Jean Paul ALAUX 1875-1955 Félicie Tetuanu, petite fille de Tarahu et petite nièce de Pierre Loti Aquarelle, signée et datée “3 aout 1937“ en bas à droite, annotée en haut et sur le côté droit. 26,5 x 19 cm Porte au revers une mention manuscrite du peintre : « Tarahu – Petite nièce de Loti JP Alaux, 12 rue Albert de Mun, Bordeaux. Départ de Papeete, 17 Juillet 1937 Ce portrait a été fait par moi, pendant une traversée de Tahiti à Marseille. Il représente Félicie Tétuanui, petite fille de Tarahu, qui fut l’amie du frère de Pierre Loti, médecin de marine. Le frère de Pierre Loti eut d’elle deux garçons, et Félicie est la fille de l’aîné de ces deux garçons. Cette amie du frère de Loti s’appelait Tarahu. Loti a pris à son compte l’aventure de son frère qui venait de mourir, et c’est de cette Tarahu qu’il a fait la Rarahu de son roman. JP Alaux (à l’ordre du commissaire Ramel) Félicie allait à Lesparre rejoindre un nommé Bariac, médecin vétérinaire à Tahiti. Félicie m’a montré des photos de son père (neveu de Loti). L’air de famille était frappant. C’était le même port de tête relevé à regard fixe, austère et dur, et maxillaire volontaire. Félicie se rappelait le regret de l’évincement raconté par Loti, dans lequel il recherche vainement, avec beaucoup d’anxiété, les enfants de son frère. » Expert: Mme Elisabeth MARECHAUX-LAURENTIN, pour le Cabinet MARECHAUX Nous remercions M.Sébastien LEBOUCHER, du service "documentation / inventaire des collections" des musées de Rochefort, de nous avoir fait part des commentaires de M.Alain Quella-Villéger, biographe de Pierre Loti, lequel précise: "Loti avait conclu qu'aucun des deux fils de Tarahu n'était de Gustave ! L'intéressant est d'apprendre que ladite Tarahu dont on aurait ainsi une identité prouvée racontait encore sa version des faits. Loti étant célèbre, c'était sans doute rentable ! Il est vrai qu'on montra à Raymond Roussel la tombe de Rarahu qui n'a jamais existé, alors les légendes allaient bon train..."