Stäudlin - Selbstmorde
Suicide - Stäudlin, C. F. Geschichte der Vorstellungen un…
Description

Stäudlin - Selbstmorde Suicide - Stäudlin, C. F. Geschichte der Vorstellungen und Lehren vom Selbstmorde. Göttingen, Vandenhoeck und Ruprecht, 1824. XVIII, 284 p., 1 bl. Nouvelle reliure avec . Rost, Selbstmord, 90.- Première édition.- Le théologien et philosophe protestant Karl Friedrich Stäudlin (1826-1781), était le frère du poète et protecteur de Hölderlin, Gotthold Friedrich Stäudlin (1758-1796).- Feuillet XVII/XVIII relié à la fin.

97 

Stäudlin - Selbstmorde

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

FRANS WOUTERS (Lier, 1612- Anvers, 1659). "Pyramus et Thisbe". Huile sur cuivre. Présente des défauts. Elle a un cadre du vingtième siècle. Dimensions : 55 x 72 cm ; 79,5 x 96 cm (cadre). Pyrame et Thisbé est l'histoire mythologique de deux amants qui, incapables d'être ensemble, ont été une grande source d'inspiration pour le Roméo et Juliette de Shakespeare. Il s'agit d'un couple légendaire d'amants babyloniens, dont l'histoire fait partie des Métamorphoses d'Ovide. Les parents de Pyrame et Thisbé, poussés par la rivalité, interdisent leur union, mais ils communiquent par une fissure dans le mur qui sépare leurs maisons. Ils projettent de se rencontrer sous un mûrier, mais une série de malentendus tragiques les conduit à la mort : Thisbé s'enfuit devant une lionne, laissant derrière elle son manteau, que Pyrame trouva et prit pour la preuve de sa mort. Croyant que Thisbé avait été tuée par la lionne, Pyrame se suicida, tachant les mûriers de son sang. Thisbé, trouvant Pyrame mort, se suicida à son tour. Les dieux changèrent la couleur des mûriers pour honorer leur amour interdit. Frans Wouters, peintre baroque flamand, a transposé le style baroque monumental de Pierre Paul Rubens dans le contexte restreint des peintures de cabinet. D'abord apprenti chez Pieter van Avont à Anvers, il rompt son contrat pour rejoindre l'atelier de Rubens en 1634 et devient maître de la Guilde de Saint-Luc l'année suivante. Il passe les années 1630 comme peintre de la cour de l'empereur du Saint Empire romain germanique Ferdinand II. Il est envoyé comme ambassadeur de Ferdinand II en Angleterre en 1637. L'année suivante, il devient le peintre du prince de Galles, le futur Charles II d'Angleterre. En Angleterre, Wouters a certainement eu l'occasion de rencontrer son compatriote Anthony van Dyck, qui était à l'époque le peintre de la cour de Charles Ier d'Angleterre. Son style s'apparente d'abord au maniérisme tardif de Joos de Momper, avant d'être influencé par Rubens et, en particulier, par les paysages de Rubens. Après être entré au service de l'archiduc Léopold Guillaume, l'œuvre de Wouters montre l'influence croissante d'Anthony van Dyck et les figures humaines de ses tableaux deviennent plus allongées et plus expressives sur le plan émotionnel. Il a peint des scènes bibliques et des paysages mythologiques dans ce style.