Null Edgar MAXENCE (Nantes 1871-1954 La Bernerie en Rez)
Étude pour "Jeune femme…
Description

Edgar MAXENCE (Nantes 1871-1954 La Bernerie en Rez) Étude pour "Jeune femme jouant de la mandole", vers 1910 Pierre noire, graphite, craie blanche, aquarelle 46,5 x 44 cm. Signé en bas à gauche : E Maxence Œuvre en rapport : - Jeune femme jouant de la mandore ou "Solitude - Peaceful Seclusion", huile sur panneau, 110 x 145 cm, Paris, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris - Petit-Palais, inv. PPP5022 Notre dessin, qui allie grâce et nervosité, s'inscrit dans le processus d'élaboration d'un des chefs-d'œuvre de l'artiste : Jeune femme jouant de la mandore (aussi titré "Solitude - Peaceful Seclusion"), une des quatre œuvres que Maxence expose au Salon de 1910, récemment préemptée par l'État sur le marché de l'art parisien au profit du Petit-Palais. L'œuvre définitive est riche de tout l'univers personnel d'Edgar Maxence : discrète évocation du folklore breton (avec la coiffe caractéristique) et des temps médiévaux (avec le costume), rêverie nourrie par l'ambiance sylvestre. Le sous-titre "Peaceful Seclusion", en anglais dans le texte, choisi par l'artiste, insiste sur son souci d'une peinture intérieure, nue de drame et d'anecdote, invitant à la contemplation et à la méditation. (Contrecollé, par les marges, sur un papier de soutien. Déchirure ancenne, correctement restaurée, située au niveau de la tête de la viole, et courant verticalement sur 5-6 centimètres) Expert : Pierre-Antoine Martenet

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Edgar MAXENCE (Nantes 1871-1954 La Bernerie en Rez) Étude pour "Jeune femme jouant de la mandole", vers 1910 Pierre noire, graphite, craie blanche, aquarelle 46,5 x 44 cm. Signé en bas à gauche : E Maxence Œuvre en rapport : - Jeune femme jouant de la mandore ou "Solitude - Peaceful Seclusion", huile sur panneau, 110 x 145 cm, Paris, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris - Petit-Palais, inv. PPP5022 Notre dessin, qui allie grâce et nervosité, s'inscrit dans le processus d'élaboration d'un des chefs-d'œuvre de l'artiste : Jeune femme jouant de la mandore (aussi titré "Solitude - Peaceful Seclusion"), une des quatre œuvres que Maxence expose au Salon de 1910, récemment préemptée par l'État sur le marché de l'art parisien au profit du Petit-Palais. L'œuvre définitive est riche de tout l'univers personnel d'Edgar Maxence : discrète évocation du folklore breton (avec la coiffe caractéristique) et des temps médiévaux (avec le costume), rêverie nourrie par l'ambiance sylvestre. Le sous-titre "Peaceful Seclusion", en anglais dans le texte, choisi par l'artiste, insiste sur son souci d'une peinture intérieure, nue de drame et d'anecdote, invitant à la contemplation et à la méditation. (Contrecollé, par les marges, sur un papier de soutien. Déchirure ancenne, correctement restaurée, située au niveau de la tête de la viole, et courant verticalement sur 5-6 centimètres) Expert : Pierre-Antoine Martenet

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