Null CLAUDE FRANCOIS : Une lettre manuscrite de Sofia Kinkkonen, la fiancée du c…
Description

CLAUDE FRANCOIS : Une lettre manuscrite de Sofia Kinkkonen, la fiancée du chanteur entre 1972 et 1976. Un courrier de rupture de 1976, dans lequel elle exprime ses sentiments et sa séparation : «L'amour est comme une fleur, il est beau un moment, puis il se fane, se dessèche, il ne reste que les feuilles, c'est le souvenir. Tu as été ma vie pour moi, mon âme et mon cœur mais ensuite quelque chose s'est produit entre nous et cela m'a mise en pièce. Tant de fois, je me suis retrouvée seule et plusieurs fois j'ai pleuré, de toute façon tu connais toutes les fois où j'ai voulu essayer. Si tu pouvais être moi et moi être toi, ne serait-ce qu'une heure, si nous avions pu trouver un moyen d'entrer dans l'esprit de chacun, si tu pouvais me voir à travers tes yeux au lieu de ton «égo», je crois que tu serais surpris de voir que tu es aveugle. Celui qui aime ne peut pas oublier, celui qui oublie n'a jamais aimé, celui qui ai et oublie encore, a oublié comment aimer, toi aussi, tu m'oublieras mais je vais oublier ton oublie, parce que je ne t'oublierai jamais. Sofia». On y joint également, un billet manuscrit sur lequel elle a inscrit un adorable mot d'amour : «Amour, je dois t'écrire, ça brulera pour toujours, à toi mon amour, j'ai tellement à donner, ça va prendre une vie - La Sauvage». L'ensemble

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CLAUDE FRANCOIS : Une lettre manuscrite de Sofia Kinkkonen, la fiancée du chanteur entre 1972 et 1976. Un courrier de rupture de 1976, dans lequel elle exprime ses sentiments et sa séparation : «L'amour est comme une fleur, il est beau un moment, puis il se fane, se dessèche, il ne reste que les feuilles, c'est le souvenir. Tu as été ma vie pour moi, mon âme et mon cœur mais ensuite quelque chose s'est produit entre nous et cela m'a mise en pièce. Tant de fois, je me suis retrouvée seule et plusieurs fois j'ai pleuré, de toute façon tu connais toutes les fois où j'ai voulu essayer. Si tu pouvais être moi et moi être toi, ne serait-ce qu'une heure, si nous avions pu trouver un moyen d'entrer dans l'esprit de chacun, si tu pouvais me voir à travers tes yeux au lieu de ton «égo», je crois que tu serais surpris de voir que tu es aveugle. Celui qui aime ne peut pas oublier, celui qui oublie n'a jamais aimé, celui qui ai et oublie encore, a oublié comment aimer, toi aussi, tu m'oublieras mais je vais oublier ton oublie, parce que je ne t'oublierai jamais. Sofia». On y joint également, un billet manuscrit sur lequel elle a inscrit un adorable mot d'amour : «Amour, je dois t'écrire, ça brulera pour toujours, à toi mon amour, j'ai tellement à donner, ça va prendre une vie - La Sauvage». L'ensemble

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