Travail de marin d'une chimère ou d'une sirène. Anvers, datée 1869, préparation …
Description

Travail de marin d'une chimère ou d'une sirène. Anvers, datée 1869, préparation inhabituelle d'une raie, préparée de manière à évoquer une créature marine humanoïde momifiée, montée sur un socle en bois noir. Hauteur : environ 50 cm. Ces spécimens séchés et préparés de la famille des raies (Rajiformes), également appelés Jenny Haniver, sont censés représenter des créatures marines, mais sont en fait transformés par l'homme en diables grotesques, anges ou dragons. A l'origine, des marins anversois fabriquaient probablement ces figurines pour gagner un peu d'argent en les vendant. Le nom est probablement dérivé du français jeune d'Anvers (jeune fille d'Anvers), qui a ensuite été personnalisé par des marins britanniques en Jenny Haniver. C'est dans l'édition de 1558 de l'Historia Animalium de Conrad Gessner que l'on trouve la première représentation connue à ce jour d'une Jenny Haniver, mais il est probable que l'on puisse remonter jusqu'au début du Moyen Âge. L'un ou l'autre ufologue les identifie également comme des êtres extraterrestres. Un exemplaire presque identique se trouve dans le cabinet de curiosités Collezione Alesandro Orsi, Villa Ca'Mera près de Varese en Italie, reproduit dans : Listri, Massimo, Cabinet of Curiosities, Das Buch der Wunderkammern, Taschen 2020, page 349. Une chimère ou sirène inhabituelle. Anvers/Belge date de 1869, une préparation cartilagineuse, la carcasse momifiée, mutilée d'un rayon qui a été modifié pour ressembler à une créature monstrueuse, vaguement humanoïde, montée sur une base en bois ébonisé. Hauteur c. 50 cm.

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Travail de marin d'une chimère ou d'une sirène. Anvers, datée 1869, préparation inhabituelle d'une raie, préparée de manière à évoquer une créature marine humanoïde momifiée, montée sur un socle en bois noir. Hauteur : environ 50 cm. Ces spécimens séchés et préparés de la famille des raies (Rajiformes), également appelés Jenny Haniver, sont censés représenter des créatures marines, mais sont en fait transformés par l'homme en diables grotesques, anges ou dragons. A l'origine, des marins anversois fabriquaient probablement ces figurines pour gagner un peu d'argent en les vendant. Le nom est probablement dérivé du français jeune d'Anvers (jeune fille d'Anvers), qui a ensuite été personnalisé par des marins britanniques en Jenny Haniver. C'est dans l'édition de 1558 de l'Historia Animalium de Conrad Gessner que l'on trouve la première représentation connue à ce jour d'une Jenny Haniver, mais il est probable que l'on puisse remonter jusqu'au début du Moyen Âge. L'un ou l'autre ufologue les identifie également comme des êtres extraterrestres. Un exemplaire presque identique se trouve dans le cabinet de curiosités Collezione Alesandro Orsi, Villa Ca'Mera près de Varese en Italie, reproduit dans : Listri, Massimo, Cabinet of Curiosities, Das Buch der Wunderkammern, Taschen 2020, page 349. Une chimère ou sirène inhabituelle. Anvers/Belge date de 1869, une préparation cartilagineuse, la carcasse momifiée, mutilée d'un rayon qui a été modifié pour ressembler à une créature monstrueuse, vaguement humanoïde, montée sur une base en bois ébonisé. Hauteur c. 50 cm.

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