Null Chasse - Birnbaum, Johann Abraham. Das Lob der Jagd, in der vertraute Redne…
Description

Chasse - Birnbaum, Johann Abraham. Das Lob der Jagd, in der vertraute Redner-Gesellschafft in Leipzig abgehandelt. Leipzig, J. C. Langenheim, 1737. 28 p. 20,5 x 16,5 cm. Demi-veau de l'époque, plats marbrés (dos avec traces de vers en pied, couverture avant et garde arrière partiellement détachées). Rare impression occasionnelle du rhétoricien de Leipzig, en prose avec des substantifs systématiquement en minuscules. Birnbaum se distingua en 1738 comme défenseur du style de composition de Bach contre les accusations de Scheibes dans le "Critischer Musicus". - Feuillet final détaché, exemplaire propre. VAT : *

194 

Chasse - Birnbaum, Johann Abraham. Das Lob der Jagd, in der vertraute Redner-Gesellschafft in Leipzig abgehandelt. Leipzig, J. C. Langenheim, 1737. 28 p. 20,5 x 16,5 cm. Demi-veau de l'époque, plats marbrés (dos avec traces de vers en pied, couverture avant et garde arrière partiellement détachées). Rare impression occasionnelle du rhétoricien de Leipzig, en prose avec des substantifs systématiquement en minuscules. Birnbaum se distingua en 1738 comme défenseur du style de composition de Bach contre les accusations de Scheibes dans le "Critischer Musicus". - Feuillet final détaché, exemplaire propre. VAT : *

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

BERLIOZ (Hector). Lettre autographe signée « Hector Berlioz » à Johann Christian Lobe. Paris, 21 janvier 1854. 2 pp. in-8, adresse au dos, cachet de cire à l’effigie d’un homme, apparemment le profil de Beethoven. « Je vous remercie d’avoir pensé à m’envoyer vos feuilles, et plus encore d’avoir accompagné votre envoi d’une si aimable lettre. Dieu veuille que je puisse justifier complètement plus tard la sympathie que vous me témoignez et ne pas compromettre votre suffrage. JE TRAVAILLE BEAUCOUP EN CE MOMENT dans l’espoir que l’horrible guerre qui se prépare n’aura pas lieu et ne viendra pas mettre obstacle à mon prochain voyage en Allemagne [la guerre de Crimée contre la Russie allait débuter en mars 1854]. J’AI PRESQUE FINI LA DEUXIEME PARTIE DE LA FUITE EN ÉGYPTE. Cet ouvrage beaucoup plus considérable que celui que vous connaissez, s’appelle L’Arrivée. C’est en effet l’arrivée de la Sainte Famille à Saïs ; il y a (en outre du ténor récitant) trois personnages, la Vierge Marie, st Joseph, un père de famille, et de grands chœurs et de la musique instrumentale, et cela contient 8 morceaux. Je voudrais bien que vous fussiez content de cette partition dont le style, je crois, est plus élevé que celui de la précédente. Mille amitiés sincères... » PARMI LES PREMIERS ET PLUS CHALEUREUX ADMIRATEURS DE BERLIOZ EN ALLEMAGNE, L’ECRIVAIN ET MUSICIEN JOHANN CHRISTIAN LOBE (1797-1881) fut flûtiste à l’orchestre du théâtre de Weimar avant de fonder en 1842 un institut de musique dans cette même ville, puis de s’installer en 1846 à Leipzig où il dirigea sa propre revue musicale. Lobe découvrit la musique de Berlioz lors d’un concert à Weimar en 1837, rencontra le compositeur à Weimar en 1842 et demeura ensuite en correspondance avec lui. Dans ses Mémoires, Berlioz parle de Lobe comme de « ce type du véritable musicien allemand ».