Null Rare et importante pendule en bronze ciselé et redoré.
Modèle au vase.
Pied…
Description

Rare et importante pendule en bronze ciselé et redoré. Modèle au vase. Pieds galettes et base en marbre blanc bordée d’une frise de postes en bronze doré. Elle est surmontée d’une terrasse architecturée, bordée d’un important tors de laurier, le piédouche à frise d’entrelacs. Le cadran circulaire émaillé blanc à chiffres romains et arabes est signé, comme sur le mouvement «Paté à Paris». Il est flanqué de deux anses terminées en feuillage et sommé d’un fruit à graines. La pendule est signée sur la terrasse «OSMOИD» Robert Osmond (1711-1789). Thomas Paté, horloger rue des droits de l’Homme à Paris jusqu'au début du XIXe siècle. Mort en 1805. Travail de la fin du XVIII ème . H. 47 cm – L. 28 cm – P. 18 cm (Lunette rapporté). Ce modèle dit au «vase» nous rappelle le «goût à la grecques» très en vogue à la fin du XVIII ème siècle et dont Robert Osmond s’inspire grandement. Un modèle similaire est illustré dans H. Ottomeyer et P. Pröschel, Vergoldete Bronzen, Die Bronzearbeiten des Spätbarock und Klassizismus, Volume 1, Munich, 1986, reproduit page 196 - 197, fig.3.13.1. Expert : Cabinet Martel et Lencquesaing

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Rare et importante pendule en bronze ciselé et redoré. Modèle au vase. Pieds galettes et base en marbre blanc bordée d’une frise de postes en bronze doré. Elle est surmontée d’une terrasse architecturée, bordée d’un important tors de laurier, le piédouche à frise d’entrelacs. Le cadran circulaire émaillé blanc à chiffres romains et arabes est signé, comme sur le mouvement «Paté à Paris». Il est flanqué de deux anses terminées en feuillage et sommé d’un fruit à graines. La pendule est signée sur la terrasse «OSMOИD» Robert Osmond (1711-1789). Thomas Paté, horloger rue des droits de l’Homme à Paris jusqu'au début du XIXe siècle. Mort en 1805. Travail de la fin du XVIII ème . H. 47 cm – L. 28 cm – P. 18 cm (Lunette rapporté). Ce modèle dit au «vase» nous rappelle le «goût à la grecques» très en vogue à la fin du XVIII ème siècle et dont Robert Osmond s’inspire grandement. Un modèle similaire est illustré dans H. Ottomeyer et P. Pröschel, Vergoldete Bronzen, Die Bronzearbeiten des Spätbarock und Klassizismus, Volume 1, Munich, 1986, reproduit page 196 - 197, fig.3.13.1. Expert : Cabinet Martel et Lencquesaing

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