Null ENEROTH, O & A. SMIRNOFF. Handbok i Svensk pomologi. Part 1. Allmän inledni…
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ENEROTH, O & A. SMIRNOFF. Handbok i Svensk pomologi. Part 1. Allmän inledning ; 2. Äpplen ; 3. Päron ; 4. Körsbar och Plommon ; 5. Sydfrukter. Barträd. Bärbuskar. Fruktbärande örter. (1896). 5 parties en 2 volumes. Texte-illustrations num. Cont. cl. (Extrémités légèrement usées, inscription d'un nom sur le ti.). -- P. STEDJE & O. SKARD. Norsk pomologi. 3. uitg. 1947. 2 vol. Plaques froides. Ocl. -- C.G. DAHL. Pomologi. Beskrivningar över de viktigaste i sverige odlade fruktsorterna. (Vol. I seulement). (1929). Plaques froides. Cont. h. mor. w. bordures marbrées. -- Et 1 o. (6).

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ENEROTH, O & A. SMIRNOFF. Handbok i Svensk pomologi. Part 1. Allmän inledning ; 2. Äpplen ; 3. Päron ; 4. Körsbar och Plommon ; 5. Sydfrukter. Barträd. Bärbuskar. Fruktbärande örter. (1896). 5 parties en 2 volumes. Texte-illustrations num. Cont. cl. (Extrémités légèrement usées, inscription d'un nom sur le ti.). -- P. STEDJE & O. SKARD. Norsk pomologi. 3. uitg. 1947. 2 vol. Plaques froides. Ocl. -- C.G. DAHL. Pomologi. Beskrivningar över de viktigaste i sverige odlade fruktsorterna. (Vol. I seulement). (1929). Plaques froides. Cont. h. mor. w. bordures marbrées. -- Et 1 o. (6).

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PROUST (Marcel). Lettre autographe signée « Marcel Proust » à Constantin Ullmann. Paris, [25 ou 26 décembre 1918]. 4 pp. in-8 sur papier gris. « ... Quelle mauvaise chance, moi qui ne sors jamais, je dîne en ville samedi [chez la princesse Soutzo], et comme aux précédents dîners je suis arrivé après le potage et parti avant la glace, j’ai promis cette fois de rester un peu. Mais à onze heures je partirai coûte que coûte, je serai à onze heures un quart chez monsieur Guzman Blanco [Roberto Guzmán Blanco, ami de Frédéric de Madrazo et de Reynaldo Hahn, fils d’Antonio Guzmán Blanco, ancien président du Venezuela dont le père de Reynaldo avait été proche]. J’espère qu’il ne trouvera pas cela trop tard. Je viendrai sûrement, onze heures 1/4, onze heures 1/2, peut-être même un peu plus tôt. Dites-lui surtout combien je me réjouis de le connaître, faites-lui tous mes vifs remerciements, prenez-en votre part et croyez-moi, mon cher Constantin, votre ami bien dévoué Marcel Proust. P. S. Je me souviens brusquement (cher Constantin, N’ALLEZ PAS ME CROIRE MONDAIN, je vous en prie, cela ne m’arrivera jamais de sortir ainsi) que J’AI AUSSI SAMEDI UNE SOIREE (rue Raynouard, cela n’est pas tout près !) [sans doute chez la duchesse Clermont-Tonnerre, qui habitait dans cette rue]. J’ai promis mais je ne me rappelais pas que samedi était le 28 décembre. Voici donc ce que je ferai. Au lieu de quitter mon dîner à onze heures, je le quitterai à onze h. moins 1/4. Je serai à onze h. chez monsieur Guzman Blanco (dont j’ignore l’adresse), je resterai un quart d’heure pour avoir la joie de le connaître et je filerai rue Raynouard où je causerai vers 11 1/2 avec les dernières personnes qui seront encore là. Si monsieur Guzman Blanco préférait que je fasse le contraire, je pourrais être à onze heures rue Raynouard, et finir par monsieur Guzman Blanco chez qui j’assisterais dans cette 2e combinaison vers minuit moins vingt. Et je pourrais rester avec vous chez lui jusqu’à 1 heure du matin. LA DERNIERE COMBINAISON ME PARAIT LA MEILLEURE PARCE QU’ELLE ME LAISSE PLUS DE TEMPS AVEC VOUS DEUX mais je suis aux ordres de monsieur Guzman Blanco. »