Null Honoré de Balzac, Lettre autographe.
[17 ou 24 octobre 1841], 3p in-8. 
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Description

Honoré de Balzac, Lettre autographe. [17 ou 24 octobre 1841], 3p in-8. A Hippolyte Souverain (1803-1880) : «[…] il m'est impossible de donner des bons à tirer sur placards dans une imprimerie où après un an, on ne sait pas encore que l'on compose des lettres […] Je n'admets pas les niaiseries que l'on vous a dites, car il n'y a rien de difficile dans ce qu'ils ont et ont eu à faire. Donc, il dépend entièrement d'eux et de vous, de m'envoyer au plus tard lundi toutes les feuilles jusqu'à la nouvelle composition. […]Vous trouverez jointe aux épreuves la préface corrigée de Catherine de Médicis expliquée, et comme c'est en st-augustin, on peut la faire simultanément.» Souverain fut incontestablement l'éditeur le plus important et le plus fidèle de Balzac. Ses relations avec Balzac commencèrent dès 1836 avec l'édition des OEuvres complètes d'Horace de Saint-Aubin. De 1839 à la mort de Balzac, il publia de nombreuses œuvres inédites du romancier, conservant avec lui d'excellentes relations et se chargeant de nombreuses commissions pendant les séjours de l'auteur en Ukraine. Cette intéressante lettre concerne la composition du tome II des Mémoires de deux jeunes mariées et la correction de la préface du Martyr calviniste; on y relève avec intérêt les habitudes de travail de Balzac ainsi que sa précieuse connaissance du monde de l'édition et de l'imprimerie dont il fut l'un des acteurs de 1825 à 1828 (Correspondance, II, n°41-110).

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Honoré de Balzac, Lettre autographe. [17 ou 24 octobre 1841], 3p in-8. A Hippolyte Souverain (1803-1880) : «[…] il m'est impossible de donner des bons à tirer sur placards dans une imprimerie où après un an, on ne sait pas encore que l'on compose des lettres […] Je n'admets pas les niaiseries que l'on vous a dites, car il n'y a rien de difficile dans ce qu'ils ont et ont eu à faire. Donc, il dépend entièrement d'eux et de vous, de m'envoyer au plus tard lundi toutes les feuilles jusqu'à la nouvelle composition. […]Vous trouverez jointe aux épreuves la préface corrigée de Catherine de Médicis expliquée, et comme c'est en st-augustin, on peut la faire simultanément.» Souverain fut incontestablement l'éditeur le plus important et le plus fidèle de Balzac. Ses relations avec Balzac commencèrent dès 1836 avec l'édition des OEuvres complètes d'Horace de Saint-Aubin. De 1839 à la mort de Balzac, il publia de nombreuses œuvres inédites du romancier, conservant avec lui d'excellentes relations et se chargeant de nombreuses commissions pendant les séjours de l'auteur en Ukraine. Cette intéressante lettre concerne la composition du tome II des Mémoires de deux jeunes mariées et la correction de la préface du Martyr calviniste; on y relève avec intérêt les habitudes de travail de Balzac ainsi que sa précieuse connaissance du monde de l'édition et de l'imprimerie dont il fut l'un des acteurs de 1825 à 1828 (Correspondance, II, n°41-110).

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