Null École espagnole de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle.

"Vi…
Description

École espagnole de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle. "Vierge ". Sculpture de chandelier, bois polychrome. Yeux en verre. La structure articulée des bras est récente (XXe siècle). Présente des restaurations. Dimensions : 135 x 45 x 30 cm. Sculpture de robe, essentiellement travaillée sur le visage et les mains. Elle a dû fonctionner initialement comme une image de procession. Le visage délicat de la Vierge est ici représenté serein dans ses traits doux, idéalisé mais réaliste dans son expressivité. Les images "cap i pota" ou "de candelero" sont des figures travaillées en détail uniquement sur le visage et les mains, sur une structure en bois plus ou moins sculptée. Bien que les figures vestimentaires aient souvent été utilisées dans les processions, il s'agit ici d'une figure destinée à la dévotion privée, en raison de sa petite taille. Les parties visibles sont recouvertes d'une fine couche de stuc et de polychromie, tandis que le reste est recouvert de vrais vêtements. Il s'agit d'images particulièrement appréciées pour leur naturalisme, car le fait de porter des vêtements authentiques permet d'atteindre un plus grand degré de réalisme que les images simplement sculptées, qui n'ont souvent pas la qualité suffisante pour atteindre ce degré de naturalisme, si recherché dans l'art religieux depuis l'époque baroque.

24 

École espagnole de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle. "Vierge ". Sculpture de chandelier, bois polychrome. Yeux en verre. La structure articulée des bras est récente (XXe siècle). Présente des restaurations. Dimensions : 135 x 45 x 30 cm. Sculpture de robe, essentiellement travaillée sur le visage et les mains. Elle a dû fonctionner initialement comme une image de procession. Le visage délicat de la Vierge est ici représenté serein dans ses traits doux, idéalisé mais réaliste dans son expressivité. Les images "cap i pota" ou "de candelero" sont des figures travaillées en détail uniquement sur le visage et les mains, sur une structure en bois plus ou moins sculptée. Bien que les figures vestimentaires aient souvent été utilisées dans les processions, il s'agit ici d'une figure destinée à la dévotion privée, en raison de sa petite taille. Les parties visibles sont recouvertes d'une fine couche de stuc et de polychromie, tandis que le reste est recouvert de vrais vêtements. Il s'agit d'images particulièrement appréciées pour leur naturalisme, car le fait de porter des vêtements authentiques permet d'atteindre un plus grand degré de réalisme que les images simplement sculptées, qui n'ont souvent pas la qualité suffisante pour atteindre ce degré de naturalisme, si recherché dans l'art religieux depuis l'époque baroque.

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats