Null René Quillivic (1879-1969) 
Ma mère (version française). 1913. Bois gravé. …
Description

René Quillivic (1879-1969) Ma mère (version française). 1913. Bois gravé. 255 x 405 [330 x 430]. Très belle épreuve sur japon mince, avec l’inscription en français en haut à gauche, signée et datée au crayon dans l’angle inférieur droit du sujet. Infimes rousseurs. Toutes marges. Très rare. Timbre R. T. sur le support. Dans une autre version, un bol repose sur la table et l’inscription gravée en breton indique : « marie / bren / eol / gannet / e ker- / eval / maro / er vorch’ / e mab da viken » (« Marie Breneol, née à Kereval, morte au bourg, son fils pour la vie »). L’artiste a utilisé le même dessin qu’il a reporté sur un autre bloc de bois pour donner notre version. « Ami de l’artiste, le critique d’origine quimpéroise Charles Chassé […] situe ces débuts en 1912 et donne pour première gravure le portrait de la mère de l’artiste assise près d’une table, portant le costume du Cap-Sizun. L’estampe, que reproduisit la revue The Studio en 1919, est remarquable par sa gravité, son équilibre, une utilisation dramatique de l’opposition sans demi-teinte du noir de l’encre et du blanc de la feuille, qui indique probablement une connaissance des bois de Vallotton ». (P. Le Stum, « René Quillivic (1879-1969), graveur sur bois », in Nouvelles de l’Estampe, 2015, n° 253, p. 38-49).

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René Quillivic (1879-1969) Ma mère (version française). 1913. Bois gravé. 255 x 405 [330 x 430]. Très belle épreuve sur japon mince, avec l’inscription en français en haut à gauche, signée et datée au crayon dans l’angle inférieur droit du sujet. Infimes rousseurs. Toutes marges. Très rare. Timbre R. T. sur le support. Dans une autre version, un bol repose sur la table et l’inscription gravée en breton indique : « marie / bren / eol / gannet / e ker- / eval / maro / er vorch’ / e mab da viken » (« Marie Breneol, née à Kereval, morte au bourg, son fils pour la vie »). L’artiste a utilisé le même dessin qu’il a reporté sur un autre bloc de bois pour donner notre version. « Ami de l’artiste, le critique d’origine quimpéroise Charles Chassé […] situe ces débuts en 1912 et donne pour première gravure le portrait de la mère de l’artiste assise près d’une table, portant le costume du Cap-Sizun. L’estampe, que reproduisit la revue The Studio en 1919, est remarquable par sa gravité, son équilibre, une utilisation dramatique de l’opposition sans demi-teinte du noir de l’encre et du blanc de la feuille, qui indique probablement une connaissance des bois de Vallotton ». (P. Le Stum, « René Quillivic (1879-1969), graveur sur bois », in Nouvelles de l’Estampe, 2015, n° 253, p. 38-49).

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