Null RARE FOND DE COIFFE DE NUIT EN DENTELLE BRODÉE PAR LA REINE MARIE-ANTOINETT…
Description

RARE FOND DE COIFFE DE NUIT EN DENTELLE BRODÉE PAR LA REINE MARIE-ANTOINETTE Morceau de coiffe de nuit en dentelle blanche en forme d'écu, à décor floral brodé à la main. Fin du XVIIIe siècle. Coiffe : H.25 x L.28,5 cm Il est encadré sous verre, et accompagné au recto d'un papier d'époque manuscrit, inscrit : « fond de coiffe de nuit / brodé par Marie Antoinette, reine de France ». Au dos plusieurs documents de provenance : - une enveloppe : « à Trianon sur la tablette inférieure. Service de l'Empereur (Maison de l'Impératrice). Monsieur le docteur Bonnejoy, rue Fontaine St Georges 43, Paris ». - une lettre en partie manuscrite à en-tête du Secrétariat des Commandements de S. M. L'Impératrice (Eugénie), Paris, le 9 mai 1867 : « Monsieur, vous avez adressé à l'Impératrice une pétition par laquelle vous offrez pour l'exposition de Trianon un objet en broderie ayant appartenu à la reine Marie-Antoinette. J'ai l'honneur de vous informer, Monsieur, que d'après la règle établie, j'ai transmis cette requête à M. le Comte Lepic, Surintendant des Palais Impériaux. (…) signé de M. Damas-Hinard. » - un papier manuscrit : « Paris le 31 décembre 1928. Le fils du Dr Bonnejoy a cédé cette coiffe à Mr Mons, et Mr Mons l'a cédé à Mr Zippeau 65 rue de Clichy. Monsieur Zippeau l'a cédé à Monsieur Paul Lederlin 22 avenue du Bois de Boulogne à Paris. » - un papier manuscrit : « Paris le 31 décembre 1928. Le fils du Dr Bonnejoy a cédé cette coiffe à Mr Mons, et Mr Mons l'a cédé à Mr Zippeau 65 rue de Clichy. Monsieur Zippeau l'a cédé à Monsieur Paul Lederlin 22 avenue du Bois de Boulogne à Paris. » Cadre : H. 43 x L. 34 cm (à vue). Provenance - Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France (1755-1793). - Donné par la Reine à Hélène Augustine Guillauden, comtesse de Néel (?-c.1830), dont le mari Armand-Gérôme-Aimé, comte de Néel (c.1852-1807), maître de camp au régiment de Vermandois, était gentilhomme de la maison du duc d'Angoulême (le 15 avril 1787, le roi Louis XVI avait signé au contrat de leur mariage). - Puis au Dr. Ernest Bonnejoy (1833-1896), puis à son fils. - Puis à Mr. Mons. - Puis à Mr. Zippeau. - Puis à Paul Lederlin (1868-1949), sénateur des Vosges puis de la Corse. - Puis collections privées françaises. Exposition Les Palais de Trianon. Histoire-Description. Catalogue des objets exposés, sous les auspices de Sa Majesté L'Impératrice, par M. de Lescure, Paris, Henri Plon, 1867, sous le n° 85 : « Coiffe (fond de coiffe de nuit) brodée par la reine Marie-Antoinette et donnée par elle à une de ses dames, la comtesse de Néel, dont le mari était gentilhomme de la manche des ducs d'Angoulême et de Berry en 1789. La comtesse de Néel est morte vers 1830, et cet objet provient d'elle par une filière authentique. Appartient à M. le docteur Bonnejoye. » Expert : Cabinet Royal Provenance - Monsieur Maxime Charron.

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RARE FOND DE COIFFE DE NUIT EN DENTELLE BRODÉE PAR LA REINE MARIE-ANTOINETTE Morceau de coiffe de nuit en dentelle blanche en forme d'écu, à décor floral brodé à la main. Fin du XVIIIe siècle. Coiffe : H.25 x L.28,5 cm Il est encadré sous verre, et accompagné au recto d'un papier d'époque manuscrit, inscrit : « fond de coiffe de nuit / brodé par Marie Antoinette, reine de France ». Au dos plusieurs documents de provenance : - une enveloppe : « à Trianon sur la tablette inférieure. Service de l'Empereur (Maison de l'Impératrice). Monsieur le docteur Bonnejoy, rue Fontaine St Georges 43, Paris ». - une lettre en partie manuscrite à en-tête du Secrétariat des Commandements de S. M. L'Impératrice (Eugénie), Paris, le 9 mai 1867 : « Monsieur, vous avez adressé à l'Impératrice une pétition par laquelle vous offrez pour l'exposition de Trianon un objet en broderie ayant appartenu à la reine Marie-Antoinette. J'ai l'honneur de vous informer, Monsieur, que d'après la règle établie, j'ai transmis cette requête à M. le Comte Lepic, Surintendant des Palais Impériaux. (…) signé de M. Damas-Hinard. » - un papier manuscrit : « Paris le 31 décembre 1928. Le fils du Dr Bonnejoy a cédé cette coiffe à Mr Mons, et Mr Mons l'a cédé à Mr Zippeau 65 rue de Clichy. Monsieur Zippeau l'a cédé à Monsieur Paul Lederlin 22 avenue du Bois de Boulogne à Paris. » - un papier manuscrit : « Paris le 31 décembre 1928. Le fils du Dr Bonnejoy a cédé cette coiffe à Mr Mons, et Mr Mons l'a cédé à Mr Zippeau 65 rue de Clichy. Monsieur Zippeau l'a cédé à Monsieur Paul Lederlin 22 avenue du Bois de Boulogne à Paris. » Cadre : H. 43 x L. 34 cm (à vue). Provenance - Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France (1755-1793). - Donné par la Reine à Hélène Augustine Guillauden, comtesse de Néel (?-c.1830), dont le mari Armand-Gérôme-Aimé, comte de Néel (c.1852-1807), maître de camp au régiment de Vermandois, était gentilhomme de la maison du duc d'Angoulême (le 15 avril 1787, le roi Louis XVI avait signé au contrat de leur mariage). - Puis au Dr. Ernest Bonnejoy (1833-1896), puis à son fils. - Puis à Mr. Mons. - Puis à Mr. Zippeau. - Puis à Paul Lederlin (1868-1949), sénateur des Vosges puis de la Corse. - Puis collections privées françaises. Exposition Les Palais de Trianon. Histoire-Description. Catalogue des objets exposés, sous les auspices de Sa Majesté L'Impératrice, par M. de Lescure, Paris, Henri Plon, 1867, sous le n° 85 : « Coiffe (fond de coiffe de nuit) brodée par la reine Marie-Antoinette et donnée par elle à une de ses dames, la comtesse de Néel, dont le mari était gentilhomme de la manche des ducs d'Angoulême et de Berry en 1789. La comtesse de Néel est morte vers 1830, et cet objet provient d'elle par une filière authentique. Appartient à M. le docteur Bonnejoye. » Expert : Cabinet Royal Provenance - Monsieur Maxime Charron.

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