BOUILHET (Louis). ♦ Dernières chansons. Poésies posthumes. Avec une préface par …
Description

BOUILHET (Louis).

♦ Dernières chansons. Poésies posthumes. Avec une préface par Gustave Flaubert. Paris, Michel Lévy frères, 1872. Grand in-8, maroquin bleu nuit, janséniste, jeux de filets dorés intérieurs, doublure de maroquin fauve, gardes de moire bleue, tranches dorées sur témoins, couverture (Marius Michel). Édition originale, ornée en frontispice d'un portrait gravé de l'auteur. Pour les poésies de son grand ami Bouilhet (1821-1869), à qui il dédia Madame Bovary, Flaubert rédigea la célèbre préface qui paraît ici pour la première fois. Parfaite reliure en maroquin doublé de Marius Michel.

38 

BOUILHET (Louis).

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

RICHEPIN (Jean). La Chanson des gueux. Édition intégrale décorée de 252 compositions originales de Steinlen. [Suivi de] : Dernières chansons de mon Premier Livre. Édition originale décorée de vingt-quatre compositions de Steinlen. Paris : Édouard Pelletan, 1910. — 2 volumes in-4, 265 x 200 : (3 ff.), 366 pp., (2 ff. dernier blanc), couverture imprimée ; (2) ff., 39 pp., couverture imprimée. Brochés, couvertures rempliées. Carteret, Le Trésor du bibliophile. Livres illustrés modernes 1875 à 1945, IV, p. 341. - Ray, The Art of the French Illustrated Book, 341-342 : « The 252 designs which [Steinlen] provided include some of his best and most characteristic work. » Édition définitive de La Chanson des gueux et édition originale des Dernières Chansons de mon Premier Livre qui en forment le complément. Ces deux ouvrages renferment quelques-uns des chefs d’œuvres de Steinlen (1859-1923), selon Gordon Ray. Carteret de son côté jugeait cette édition ainsi : « Très belle publication fort cotée, en grande faveur chez les bibliophiles. L’éditeur a abandonné la lithographie, adoptant le procédé direct repris au burin, qui traduit admirablement le talent de l’artiste. » La Chanson des geux est illustrée de 252 compositions dans le texte, et les Dernières Chansons de 26 compositions dont deux à pleine page. Tirage mentionné dans La Chanson des gueux à 340 exemplaires alors que les prospectus en annoncent 325. Les Dernières chansons ont été tirées à 300 exemplaires. Chaque titre est ici l’un des 267 et l’un des 240 exemplaires sur vélin à la cuve, les deux portant le numéro 79, signés par l’éditeur à la justification. Exemplaires tels que parus, complets du prospectus de parution.